Messages : 86 Date d'inscription : 18/03/2016 Avatar : Sinbad • Magi Post-it :
| Sujet: [REWORK] I feel like Jekyll and Hyde {a que c'est fini} Jeu 18 Aoû - 3:52 | |
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Nom — Gotô Prénom — Kiyoshi Âge — 34 ans. Sexe — Masculin Race — Humain Nationalité — Japonais. Groupe — Crépuscule (ouai enfin ce qu'il en reste.) Occupation — Ex-policier Orientation sexuelle — Hétérosexuel.
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physique couleur des yeux — D'un ambre si clair, que l'on croirait presque qu'ils ont une couleur faite d'or.; couleur des cheveux — D'une couleur proche du noir mais dotée de nombreux reflets comme le plumage d'un corbeau. Ils sont d'ailleurs étonnamment longs, il faut dire qu'ils n'ont pas vu les ciseaux d'un coiffeur depuis des lustres. ; taille — 1m93 ; poids — 83kg ; tatouages ou piercings —Juste ses oreilles sont percées. ; cicatrices — Il en possède sur tout son corps, cependant on les qualifierait plus de "marques" que de véritables cicatrices; style vestimentaire — Très classique, sans grande prise de risque
caractère La haine. La violence. Et puis plus rien, le vide complet. Il n'y a rien d'autre que des sentiments négatifs qui sont aptes à réveiller en toi ce qui as disparu ce jour-là. Tu ne recherches plus à te contenir comme avant, ça ne sert plus à rien, il n'y a plus rien pour te contenir alors tu es redevenu celui qui tu étais avant elle. Avant d'avoir connu la douceur de son visage et de ses paroles, avant d'avoir connu pendant quelques années au moins la tranquillité d'un esprit apaisé et non torturé par ces envies de violences, ces envies de casser des gueules. C'est elle qui as fait de toi ce que tu as été pendant quelques temps, qui t'a donné envie de reprendre les choses en main, d'utiliser le fait de ne t'être jamais fait attrapé pour tes conneries pour éviter aux autres de finir comment toi tu aurais du finir. T'es passé du délinquant de la pire espèce à cet espèce de gros connard qui met un terme aux conneries des autres. Ah la douce ironie. Te voilà maintenant retombé dans les bas fond de la délinquance, ta tête est carrément recherchée. L'évolution de ton esprit ferait de merveilleuses montagnes russes.
Ton sens de la justice, ton envie de stopper les conneries d'autrui à changé de bord, tout à radicalement changé chez toi et rien ne semble vouloir te tirer de nouveau vers le bon côté. T'es juste en pleine chute libre, sans parachute, sans rien pour te rattraper. Tu sais qu'au final, ce qui t'attends au bout de la voie que tu as choisis, c'est juste le sol sur lequel tu vas t'éclater quand tu auras fait la connerie de trop. Aucun espoir de rédemption, tu ne t'accroches même plus à l'envie de vivre une vie normale. T'as juste envie de tout détruire, détruire ce qui t'as tout pris quitte à ce que ça signifie ta propre fin.
Tu as toujours été cette personne que l'on soupçonnait un brin manipulatrice, un brin provocateur. Et ça n'a pas changé, tu aimes toujours autant provoquer la colère, l'irritation chez les autres. Arrogance restée intacte malgré tout ce qui t'es tombé dessus à cause d'elle, t'es sûrement trop fier pour faire machine arrière, trop borné pour admettre le fait que mettre un peu d'eau dans ton vin t'aiderait sûrement à éviter les ennuis. Tu n'as jamais été tout blanc, ton côté gentil avait vite fait de se faire engloutir à chaque fois que l'occasion se présentait et pourtant, ceux qui te connaissaient d'avant cette descente aux enfers aiment dire que tu avais comme un démon qui sommeillait en toi, que tu avais quelque chose qui attendait le bon moment pour sortir et dévorer le peu de bonté qui te restait.
T'es retombé dans tes problèmes d'alcool, tes pulsions primaires ayant clairement repris le dessus sur toi. Ce n'était pas vraiment comme si le liquide qui te brûlait la gorge changeait radicalement ton comportement, il ne te rends pas plus violent que tu ne l'es déjà, il ne t'apprends pas à vous contrôler toi et tes provocations. Pourtant tu as l'impression que ça te fait du bien. Mais sûrement n'es-tu pas suffisamment stupide pour t'y plonger n'importe quand. Tu as pas replongé dans les substances illicites, non, tu n'y a jamais retouché à ces conneries mais ton addiction au tabac, elle, tu ne l'a jamais perdue de vue. Tu n'as jamais eu l'occasion de ressentir de nouveau "l'amour" ou une quelconque attirance autre que physique pour quelqu'un. Ainsi tu ne t'entiche de personne, tu sembles distant avec quiconque voudrait s'approcher un peu trop de toi. Au final, t'es juste un gamin blessé qui s'est refermé sur lui-même de la pire des manière.
histoire Pas d'amour, rien, juste cette pourriture qui te regardait avec mépris parce que pour lui tu étais juste un déchet comme un autre. Tu as grandi juste avec cet homme qui ne t'autorisais même pas à porter le statut de "fils", tu étais juste un défouloir pour lui, c'était celui qui te faisais sentir si mauvais, tu te sentais comme un moins que rien. Tu te sentais si misérable, pitoyable quand il était là. Alors tu as grandi seul, tu ne te mélangeait pas aux autres, tu fixais le vide avec un regard qui se remplissait jour après jour d'une haine sans faille. Tu subissais ses coups sans jamais rien dire, tu le sentais empester l'alcool, odeur nauséabonde qui te donnait des nausées parce que tu savais généralement ce qu'il s'en suivait. Tu voyais ses bras rongés par les piqûres qu'il se faisait, il était frustré, énervé en permanence. Il réagissait toujours d'une manière brutale et soudaine, il tremblait et son visage vide se déformait pas une rage venue de nulle part. Il fracassait tout. Au début il t'effrayait au plus haut point et petit à petit tu ne ressentais plus rien d'autre que de la haine vis à vis de lui.
Les ans passaient, ils défilaient et toi, tu étais de moins en moins présent chez toi, tu déambulais partout, sans jamais rester chez toi trop longtemps. Tu cherchais à l'éviter alors tu dormais jamais vraiment au même endroit, parfois dehors, parfois chez un de tes sois-disant amis. Toutes tes connaissances n'avaient rien de bien admirable, rien du tout même. Ils étaient des délinquants de la pire espèce et t'on traîné là dedans, te permettant ainsi de te défouler, d'extérioriser toute cette frustration sans jamais penser que c'était la mauvaise chose à faire. Et personne n'était là pour te dire de ne pas t'engouffrer là dedans. Tu vandalisais, frappais, te droguait, t'étais devenu un véritable déchet ambulant, tu étais devenu comme ton père. Exactement comme lui. Tu séchais de plus en plus l'école et le peu que tu y étais présent tu n'y faisais pas grand chose. Ce qui était dérangeant avec toi, c'était sûrement le fait que tu étais intelligent, tu avais de grandes facilités et tu les bousillais avec tes conneries, te fournissant que le strict nécessaire, le minimum pour ne pas te faire virer, pour ne pas que tu foutes en l'air le peu de stabilité qu'il te restait déjà à cette époque. Pourtant plus le temps passait et plus tu avais réellement envie de tout foutre en l'air. Et puis, elle est arrivée.
Une étrangère, elle avait des cheveux cuivrés, des petites tâches de rousseur et pourtant au début, tu ne lui portais pas la moindre attention, tu te moquais bien de cette étudiante venue de l'autre côté du globe qui parlait à peine le japonais. C'est elle qui s'est intéressée à toi, c'est elle qui, assise juste à côté de toi te posait des questions, te regardais du coin de l'oeil et petit à petit se mettait à te glisser des mots, des blagues. C'est elle qui à sut porter toute ton attention sur elle. Elle qui te faisait presque oublier tout le reste à toi, un pauvre lycéen qui était en train de foutre sa vie en l'air. Tu foutais la trouille à tout le monde, personne ne t'appréciait parce que tu étais impulsif, violent, que tu étais toujours à chercher les problèmes. Tu t'amusais à manipuler ton petit monde par la peur et aussi par ta malice. Mais avec elle, c'était différent et tu ne t'en rendais même pas compte. A cette époque tu n'aurais même pas sût comment décrire comment tu la voyais, ce qu'elle était pour toi. Tu n'aurais pas pu répondre spontanément qu'elle était une simple amie, ça ne collait pas, tu ne voulais pas la voir comme telle et il n'y avait pas de mots à placer sur elle. Pas encore.
Petit à petit, elle t'avais sorti de là, tu mettais de plus en plus de côté ces choses aux quelles tu t'étais accroché et qu'elle ne supportait pas chez toi. Elle réussissait à te faire décrocher un sourire, pas ce sourire provocant que tu arborais, pas ce sourire carnassier, non, juste un simple sourire franc, honnête puis un rire, discret, certes, mais au moins tu riais avec elle. Tu ne changeais pas tes habitudes d'éviter ton domiciles, mais tes activités aussi dangereuses que peu raisonnables se faisaient de plus en plus rare et ton côté virulent se cachait de plus en plus. Tu parvenais à te contrôler un peu plus malgré ton impulsivité qui elle, ne diminuait pas sans son aide et cela en dérangeait autant que ça en arrangeait : tu avais changé, c'était une certitude. Mais certains n'aimaient pas ce changement alors que d'autres se retrouvaient à être agréablement étonné de ton attitude à ses côtés. Cependant, tu n'étais pas devenu gentil pour autant, il ne fallait pas rêver...
Le temps passaient et petit à petit tu as finalement trouvé comment la définir, ton trésor le plus précieux, ta chère et tendre. Une histoire qui inspirerait plus d'un écrivain adepte des romans à l'eau de rose, certes, mais tu t'en moquais bien. Parce que tu avais trouvé une personne avec qui tu te sentais bien, avec qui tu étais apaisé, où tu ne sentais pas la rage te ronger l'esprit. C'est elle qui t'as poussé vers la voie que tu as suivi après l'école, c'est elle, qui t'as poussé à faire ce concours pour être policier. Au début, tu prenais ça comme une énième plaisanterie et finalement tu avais commencé à prendre ça bien plus au sérieux que tu ne l'aurais imaginé. Courir après les méchants alors que toi-même tu en étais un qui s'était repenti avant de se faire attraper. Une bonne farce.
Et avant même de comprendre, tu avais tout réussi, ton ancienne haine c'était transformée en une sorte de motivation et même si tu étais assez proche de te faire refouler par le psychologue, non, c'était passé. Tu avais réussi, tu étais devenu un allié de la justice. Tu pensais bien que le monde était devenu tout beau, tout rose. Ensemble, vous avez commencer à construire votre petite vie, à se projeter dans le futur. S'installer ensemble, vivre comme un vrai petit couple. Envisager l'engagement à vie et même penser à accueillir au sein de ce foyer un nouvel occupant. Cette histoire de lien, vous n'y pensiez même pas. Ni toi, ni elle, aucun de vous deux n'avait déjà rencontré sa fameuse destiné, aucun de vous deux n'avait eu à faire avec cette histoire. Juste des rumeurs que vous pensiez poussées trop à l'extrême. Si l'un meurt, l'autre succombe aussi ?! Trop irréaliste, trop injuste pour que ça ne soit vrai. Et pourtant, plus tu travaillais au sein de la police, plus il était répertorié des morts accidentelles, soudaines, brutales et survenues sans explications particulière et plus tu commençais à y croire. Tu lui en parlait de cette histoire qui te révoltait rien qu'au fait d'y penser, tu n'aimais pas cette idée de lien vital. C'était idiot, insupportable et injuste. Et comme pour te faire passer le message, comme pour te faire comprendre que toute cette histoire était ridicule et que le destin avait surement été trop généreux avec toi...On l'arracha de tes bras. Elle s'est écroulée juste sous tes yeux sans que tu puisses comprendre pourquoi, sans que tu puisses comprendre comment. Elle était là, dans le creux de tes bras sans vie alors que sur ton visage, les larmes coulaient pour la première fois. Tu avais l'impression que l'ont t'avais arraché le coeur alors qu'il battait encore, tu avais ce vide soudain, alors que tu la voyais mais qu'elle ne te répondait plus. C'était sûrement là, la première fois que tu comprenais ce qu'était la véritable douleur, ce que cela faisait de perdre quelque chose de précieux.
Décès soudain et inexpliqué. Il ne t'en fallait pas plus pour te mettre à maudire de tout ton être cette fameuse "Destinée", ce fameux lien que tu rêverais d'éradiquer de tes propres mains. Tu as commencé à redevenir celui que tu étais avant, détruit, on t'avais arraché ce qui retenais le monstre de violence qui avait été enchaîné.
Et il y eu ce fameux groupe qui commençait à se former. Le Crépuscule. Un groupe qui visait le même objectif que toi...qui se montrait bien plus violent que toi tu ne l'as jamais été. Votre chasse à ces personnes commençait et lorsque vous attrapiez des membres fraîchement recrutés, des fanatiques et que tu les entendais parler, tu désirais t'en rapprocher de plus en plus. Tu as mis un certain temps avant de te décider à faire le pas, à te décider de quitter cette sois-disant justice pour rejoindre une cause qui te paraissait certes cruelle, mais tellement plus juste.
Et finalement, tu avais trahi tes collègues, tes partenaires, les prenant tous de surprise. Tu avais décidé de finalement rejoindre le Crépuscule pour de bon...
Pseudo — Kazu / Owl Vous; en cinq mots — Pourquoi seulement cinq mots, sérieux ? Personnage sur l'avatar — Sinbad • Magi Comment avez-vous découvert le forum — ....Comment que dire. Présence ( /7) — 7/7 par contre pour les RP c'est méga aléatoire... Pedobear ou bisounours — Pedonours. |
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