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 Non, mais vas-y laisse des fringues chez moi, je te dirais rien.  Feat Charlie Aristarkh.

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James E. Collins
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MessageSujet: Non, mais vas-y laisse des fringues chez moi, je te dirais rien.  Feat Charlie Aristarkh.   Non, mais vas-y laisse des fringues chez moi, je te dirais rien.  Feat Charlie Aristarkh. EmptyJeu 28 Avr - 18:56




FT Charlie Aristarkh dit la hippie bobo nudiste de service.

La radio résonnait dans ma chambre et j'avais tellement mal au crâne. Pas d'alcool, de fille éventuelle, vu que personne ne venait ici ou encore de drogue. Enfin personne, c'était vite dit vu que Charlie avait encore une fois au désarroi de Randall et de moi, squatté notre appartement. Depuis que je l'avais fait venir à l'appartement pour simplement discuter ça lui arrivait de temps en temps de venir pour taper l'incruste. Les cheveux dans un état totalement dégueulasse, je bouffais mes biscottes après avoir pris une douche qui avait simplement réussi à me faire me sentir un peu plus propre. Je sentais que la journée allait être un peu molle. Je n'avais pas spécialement la forme et surtout une grosse flemme. Randall me voyait traverser l'appartement en baillant encore, dans mon vieux tee-shirt de basket défoncé et mon caleçon Hulk. Je n'avais pas du tout la classe ou peut-être enfin, j'en avais rien à foutre à vrai dire, j'étais chez moi. Je montais les marches pour mettre quelque chose sur mon corps en mode larvesque et soupirais devant mon armoire. Je n'avais toujours pas rangé le bordel que j'avais mis dans ma penderie la veille autant par fatigue que flemme. Je prenais une vieille chemise complètement abîmée, un jean dont la couleur avait fait son temps et une cravate usée. Autant la chemise et le futal étaient justifiés, autant la cravate c'était plus pour cacher la marque j'avais remarquée sur mon cou.  Je me doutais que dans la nuit comme souvent je bougeais et qu'encore une fois le ressort détendue de mon matelas avait choisi de me marquer la peau. Je me faisais même ridiculiser par un ressort de matelas, mais sérieusement ça n'allait plus. Je me regardais une dernière fois dans le miroir non pas pour faire le narcissique de service ou m'admirer, mais surtout voir si ça cachait cette blessure à la con. Bon ça ferait l'affaire.

En descendant, je me dirigeais vers le canapé avant de voir un tee-shirt y traîner. Je le fixais quelque seconde en me demandant s'il n'était pas à Randy, ça lui arrivait des fois, de ne pas ranger un truc, même si je n'en faisais pas tout un cirque. Je toquais à la porte de sa chambre pour le voir lui aussi en train de se fringuer et en lui parlant de profil, je m'assurais que le tee-shirt était bien à lui. Sauf que non vu la taille ce n'était pas à lui. Il me lançait d'un air calme et aimable que ça devait être à l'autre avec ses cheveux roses, la genre de hippie et je tiquais. Ce que je tenais dans les mains, c'était un souvenir de Charlie ou plutôt un truc laissé par la reine des fainéantes. Hors j'allais devoir aller lui rendre ce qui m'amusait vachement de faire autant de chemin pour un pauvre truc en tissu. Je ne sais pas si c'était mon envie que ce putain d'appartement ne soit pas envahi par l'anarchie ou juste de ne pas être redevable à miss massage en tout cas, j'enfilais déjà mes chaussures. J'avais laissé mon cher colocataire en plan, mais je crois au bout d'un moment, il avait fini compris que même si je n'étais pas bien chiant, me suivre était relativement fatiguant donc il valait mieux me laisser partir dans ma lancée. Une fois mes chaussures aux pieds, une veste sur le dos et une vieille écharpe pourrie autour du cou pour mieux cacher cette horreur due au matelas, je le saluai sans rien dire et filait. C'était parti pour l'expédition : je rends un foutu tee-shirt de merde à une fille qui squatte chez moi et l'oubli. J'étais entre l'énervement de faire autant de route et l'envie de sortir donc en un sens, j'avais trouvé une raison valable pour le reste, j'allais bien voir.



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MessageSujet: Re: Non, mais vas-y laisse des fringues chez moi, je te dirais rien.  Feat Charlie Aristarkh.   Non, mais vas-y laisse des fringues chez moi, je te dirais rien.  Feat Charlie Aristarkh. EmptySam 14 Mai - 17:08

bioup
  bioupbiuop
 En ce moment, la belle Charlie passait la plupart de son temps à être chez les gens. Malgré qu'elle est un propre chez-soi, elle ne pouvait pas s'empêcher d'embêter quelques personnes. L'avant dernière nuit, la dessinatrice avait décider d'aller chez une personne qu'elle apprécie, mais qui parfois, lui casse un peu les pieds : James. Il est plutôt gentil. Et mignon en plus ! Charlie connaît quelques parties de lui, comme, il aime bien dessiner et l'étoile ne se dérange pas de donner son avis. Après tout, elle s'y connaît comme son boulot est dans ce domaine artistique.
 Cependant, à cause de passer les nuits chez des amis, la chevelure rose bonbon en oubli souvent son boulot, qu'elle laisse largement de côté. Pourtant, il y a des impôts à payer et Lucian, son cher humain, ne peut pas se permettre de le faire à la place. Dans tous les cas, Charlie aurait dit non. Elle n'aime pas trop quand on l'aide. Surtout, financièrement. C'est pour cela, qu'elle a pris la décision de bien travailler aujourd'hui pour rattraper son énorme retard. Or, pour bien faire son travail, il faut être dans de bonnes conditions. Charlie aime bien bosser dans un tenue confortable et sur une table plutôt bien ranger. Ce qui est en aucun cas le cas. Ayant glandé chez les gens, elle en avait aussi complètement oublié de ranger au minimum son appartement. C'est alors qu'elle décida de faire du ménage. Du ménage, que sur sa table. Le reste, elle s'en fiche un peu.
 Une fois la table propre, sans croquis volant, la belle décida de prendre une bonne douche. Elle prit un peu son temps, comme à son habitude. Au début, elle grogna car l'eau était froide, mais un cri de soulagement vint dès que l'eau chaude arriva. Une fois la petite douche finit, elle se précipita vers le salon pour trouver des fringues correctes et confortables. Elle avait déjà une idée de ce qu'elle voulait porter. Un t-shirt plutôt basique, mais avec un motif à fleur, et son éternel jogging gris, qu'elle utilise pour tout. Pyjama ou bien pour aller dehors. Mais avant de faire de quelques recherches de vêtements, elle mit ses sous-vêtements basiques : noirs.

« Merde, il est où ce putain de t-shirt. »

 L'illustratrice jurait dans sa barbe, ne trouvant pas son précieux bout de tissu. Charlie mettait encore plus de bordel qu'il y avait dans son appartement. Sur son canapé qui lui faisait office de lit, chaises et même le sol était tapisser de tissus. Cherchant bien que mal dans sa commode son vêtement adoré, elle ne le trouvait guère. Pour se remémorer où l'avait-elle bien pu le poser, elle s’assit sur son lit, croisa les bras, et creusa dans sa tête quand est-ce qu'elle avait bien pu le mettre la dernière fois. La miss fronçait les sourcils, embêtée de ne rien retrouver dans sa mémoire.
 D'un seul coup, elle se relava, comme si une illumination venait d’éclaircir ses pensées. Mais bien sûr ! Elle l'a dû l'oublier chez quelqu'un, et ce quelqu'un ne peut qu'être le gentil James. Décider à retrouver son t-shirt à motif, Charlie commença à s'habiller d'une bien autre manière. Elle ne mit d'abord qu'une chemise, qu'elle ne prit même pas la peine de boutonner. Avant ça, pour essayer de paraître plus poli que d'habitude, elle prit la décision d'envoyer un message au jeune-homme pour l'annoncer de sa venue. Elle se retourna, et pu admirer le magnifique bazar qu'elle avait encore mis. Elle souffla et parti une nouvelle fois à la recherche d'un objet précieux : son téléphone portable.
ft. james, le rageux de la vie -Thanks


 

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MessageSujet: Re: Non, mais vas-y laisse des fringues chez moi, je te dirais rien.  Feat Charlie Aristarkh.   Non, mais vas-y laisse des fringues chez moi, je te dirais rien.  Feat Charlie Aristarkh. EmptyMar 17 Mai - 17:05




FT Charlie Aristarkh dit la hippie bobo nudiste de service.

LLa route promettait d'être longue et comme un vieux réflexe, je regardais mon portable. Il n'y avait aucun message que d'habitude, même pas de cette idiote pour me dire qu'elle avait paumé mon tee-shirt. Elle devait encore décuver d'une soirée ou peindre à poil dans son atelier comme un pseudo-artiste de mes deux en manque d'inspiration. Ce n'était pas contre elle, mais je devais avouer que son attitude de bobo hippie à côté de ses godasses avait parfois le don de m'énerver et pas qu'un peu. Et vu qu'elle semait les fringues plus qu'on pouvait le faire avec des graines dans un champ, si elle avait été ma colocataire, je devinais qu'elle aurait rendu le studio en véritable bordel. Hors, même si le gamin ne parlait pas, des masses, je n'avais pas besoin d'une pelle pour dégager les objets qui traînaient éventuelle et je pouvais facilement me déplacer chez moi. Je ne savais pas si j'étais trop dur avec elle, vu que je ne la connaissais que très peu au final, que de façade. J'ignorais ce qu'elle avait vécu, si elle me foulait vraiment du bien ou pas et j'en passe. T'façon qu'est-ce que ça pouvait me faire en fait, je venais pour lui donner son haut, pas refaire sa biographie en vingt exemplaires. J'espérais au moins qu'elle daigne « m'accueillir » autrement que totalement à poil, car au-delà de l'agréable, c'était particulièrement gênant en fait. Je ne la connaissais pas tellement, et même si ça avait été le cas, je n'avais pas besoin de savoir où elle avait un grain de beau, si elle portait des piercings sur le corps ou quoi d'autre. Elle faisait ce qu'elle voulait avec son corps, mais ça ne devait pas me concerner, point barre. Pourquoi je sentais déjà que ça n'allait pas le faire tout ça, mon intuition sans doute et elle était rarement fausse, malheureusement.

Je sortais mon portable pour lui envoyer un message pas du tout agréable, comme toujours : « Charlie tu fais chier, je dois me taper tout le trajet simplement pour te ramener le tee-shirt que tu as oublié chez moi comme la foutue nudiste que tu es. Tu ne peux pas simplement garder tes fringues sur toi, genre deux minutes ? Je ne suis pas ta mère et j'ai autre chose à foutre que de ramasser tous tes vêtements, surtout chez moi. J'arrive, alors met quelque chose, pour une fois. » J'avais encore ce foutu tee-shirt à la main en avançant en direction de ce qui m'avait semblé la première fois que j'étais venu et qu'elle m'en avait parlé, être son appartement. De ce que j'avais pu en comprendre, il lui servait aussi bien de salle d'exposition, d'appartement que d'atelier, enfin je pouvais me tromper, ce n'est pas comme si je retenais correctement ce genre de détail. On pouvait se dire que j'étais du genre à en avoir rien à foutre des gens, mais c'était surtout que savoir ça n'allait pas m'avancer dans la vie en fait. C'était plutôt « cool », je ne dis pas, mais foncièrement que je le sache ou non, je n'allais pas m'en relever la nuit. Je croisais pas mal de gens avec un visage souriant, qui en me croisant se retrouvaient à faire la gueule. Bien faits, ils m'énervaient avec leurs tronches niaises et fausses, ces abrutis. Je sentais les émotions et sincèrement sur la bonne vingtaine de gusses que j'avais pu croiser, à peine cinq avait un sourire sincère. Ce n'était pas beaucoup et ça montrait bien que souvent les gens étaient clairement faux, dans le fond. Je ressortais de ma réflexion un poil philosophique en traversant un passage clouté à deux doigts de me faire écraser. Je m'approchais du mec, l'insultais et attendais qu'il ouvre sa fenêtre pour lui en mettre une avant de repartir. Je n'avais pas frappé fort, juste suffisamment pour qu'il n'ait pas l'idée de sortir et se la jouer caïd. J'approchais de chez Charlie et je commençais à avoir la dalle en fait. Même n'en étant pas du tout croyant, je priais qu'elle ait à bouffer chez elle, sans contrepartie en retour d'un repas. Je ne savais pas à quoi m'attendre après tout. Je lui envoyais un second message un peu dans le style du premier. « Hey la rouquine, j'arrive dans pas longtemps et si tu as le courage, prépare un truc, j'ai la dalle alors évite que je fasse le trajet aller-retour le ventre vide. »



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