Dans la sombre nuit d'hiver, alors que les feuillus dorment et que la neige tombe, une étoile brille. Par sa simple présence, elle illumine le ciel obscurcie par les nuages d'orages. Elle est comme le diamant enfermé dans la roche: elle irradie les ténèbres avec sa lumière. On la confondrait presque avec l'étoile du Nord. L'étoile scintillante chante et danse sa joie. D'une voix fluette, propre à l'enfance, elle met en musique l'espoir, l'amour et la vie; avec maladresse, elle effectue des pas dansés emprunter aux adultes pour illustrer sa musique. Mais petit à petit, l’ombre la gagne. Droite. Gauche. Elle vacille. Fragilité. Une note sonne fausse, elle perd l'équilibre. Elle tournille. Une phrase s'emplie de dissonances, elle tombe. Aucunes blessures, elle se relève. Mais elle n'est plus aussi haute qu’avant. Désespérément, elle essaye de monter, en vain. .
L'étoile chute.
Une flamme traverse le ciel noir, laissant dans son sillage un rayon blanc immaculé. C'est une étoile filante, fais un voeux: il se réalisera.
“Moi, l’étoile qui ne cesse de dégringoler, je veux te protéger: c'est la mission qu'on m'a donnée. L’autre, là-bas, il souhaites un avenir radieux avec son fils et sa fille. Et toi, que demandes tu? Je t'aiderai à le rendre réel, car cela fait partie de mon devoir de te protéger.” Protéger. Un bien petit mot face à sa puissance. Protéger, un mot au pouvoir gigantesque. Les mots. La meilleure défense qui soit. Seulement, ils ne l’ont pas empêchés de rejoindre le monde d’en bas, celui qui est parallèle au monde ciel. Car ce sont ces mots de pouvoir qui lui ont redonné vie. Qui ont donné un sens à sa futur vie.
L’étoile enflammé se transforme. Se métamorphose. De lumière, elle devient un être de chair et de sang. C’est encore qu’une enfant, de quelques semaines seulement, et pourtant, la voilà dans le corps d’un petit garçon de sept ans. Les flammes rouge-vif s'obscurcissent, laissant pousser de long cheveux ébènes, contrastant avec sa peau presque porcelaine. Un visage se dessine. Des yeux noirs, entourés de long cils. Un petit nez. Une bouche rose pâle. Enfin, le corps prend une forme définitive. L’étoile voit apparaître deux bras, deux mains, deux jambes et deux pieds. Elle bouge les membres de son nouveau corps et sourit.
L’étoile chute toujours plus bas, jusqu’à rencontrer brutalement le sol enneigé. L’étoile roule, s’écorche, mais finit par se relever avec difficulté. Sans chaussures ni veste, l’étoile a froid. Blessée, certaines blessures dégoulines de sang, tachant de rouge vermillon son vêtement claire, ample et large. Elle grelotte. Ses lèvres se foncent, deviennent violacées. Elle se replie sur elle-même, pour se projeter de froid, sans grand succès. Elle lutte, puis, fatiguée, ses paupières se ferment et elle s'endort contre une dalle de pierre. Incrusté dans la roche, on peut y lire le texte suivant: “Haru Teruki, né le 10 octobre 1999 - mort le 24 janvier 2006”.
***
L’étoile ouvre péniblement les yeux, gêné par la luminosité des lieux qui lui sont inconnu. Allongée dans un lit immense, des bandages couvrent presque l’intégralité de son corps. Comment est-elle arrivée là? Pour quels raisons? Elle sait seulement une chose: elle doit trouver cette personne et la protéger. Qui? Elle ne sait pas encore, mais elle est convaincue que où qu’elle soit, elles partagent le même ciel et la même terre. Rien et personne ne pourra ébranler cette certitude. C’est ce pourquoi elle vit. C’est ce pourquoi elle est descendu sur la planète bleue.
L’étoile est seule, dans une une chambre presque vide, ayant pour simple décore une grande armoire, une étagère remplie de jeux, et bureau pour enfant où siège des feutres, des crayons de couleurs, un cartable et des manuels scolaire. C’est un lieu froid, où les murs blanc, ainsi que les meubles rustiques et modernes, peignent un tableau sans vie. Voilà une pièce bien loin du bonheur de la vie et de l’innocence dont les petits gardent si précieusement le secret!
Avec difficulté, elle se lève, laissant sa couverture jonché au sol, dévoilant une large robe beige lui arrivant jusqu’au cheville. Lentement, comme un bébé qui apprend à marcher, elle met un pied devant l’autre. Elle fait un pas, puis deux, puis huit, puis vingt. Enfin, elle arrive à l’entrée de la pièce. Liberté! Elle fait coulisser la porte avec maladresse, et sort de ce qui ressemblait à un cimetière doré avec joie, ignorant la présence d’une photo représentant un jeune garçon lui ressemblant trait pour trait.
Plus l’étoile marche, plus elle prend de l’assurance. C’est avec une certaine hâte qu’elle gambade dans les couloirs, à la recherche de la sortie. Elle a une mission. Elle doit la mener à bien. Elle ne peut rester ici très longtemps, ce serait contre productif. On dit que sept ans, c’est l’âge de raison. Dans son cas, c’est plutôt l’âge des grandes résolutions. Celles qui changeront sa vie à jamais.
Elle tourne à gauche, puis descend les escaliers. Des voix se font entendre, provenant de par delà la porte à moitié vitrée. L’étoile tend l’oreille et écoute. Ca l’intrigue. Elle s’approche. Elle tend sa main vers la poigné. Hésitation. Réflexion. Elle n’a rien à perdre, se dit-elle.
Elle ouvre la porte.
Devant ses yeux émerveillées, une salle richement décorée se présente devant elle. Canapés. Fauteuilles. Table basse. Télévision. Meubles modernes. Une dame, un homme, ainsi qu’une jeune fille sont présent. La femme la regarde avec insistance, ne croyant pas à ce qu’elle voit. Son fils, son petit garçon est bien là, devant ses yeux. Vivant. Des larmes perlent sur ses joues. La fille, un peu plus âgé que l’étoile courent vers cette dernière, joyeuse. Elle la serre contre elle, dans un câlin fraternel, manquant d’étouffer l’astre tombé sur Terre.
— Haru! Tu es réveillé! s’exclame la jeune fille, j’ai cru que plus jamais tu ne te lèverais!
— Lâche-le, Hatsu. Ton frère vient à peine de se rétablir, tu ne veux pas qu’il rechute, n’est-ce pas? demande l’homme, assis dans un fauteille, d’une voix grave.
— Mais il est solide, mon petit frère! Hein, Haru? Dis à papa que tu es fort, comme le grand Clow Read!
L’étoile ne comprend pas ce qui se passe, ni les paroles de ses interlocuteurs qui parlent beaucoup trop vite, mais elle sait que, désormais, son nom est Haru. Machinalement, nz voulant vexer personne, le petit garçon hoche la tête.
— Ah, papa, tu vois!
Haru ouvre la bouche, voulant parler, mais la referme presque immédiatement. Il veut exprimer son désappointement, son incompréhension, et sa volonté de partir, mais le regard de l’homme suffit à briser toute ses envies. Il n’est pas le Haru d’origine, il le sait, mais il doit le devenir. C’est ce que le monsieur réussi à faire comprendre à l’étoile rien qu’avec sa présence.
Il ne pourra pas s’enfuir.
A contre coeur, l’étoile accepte de devenir Haru. Il est Haru. Haru, l’étoile tombé du ciel. Du moment que personne ne se met entre son devoir d’étoile et lui, il est prêt à faire ce maigre sacrifice. Ce n’est pas si mal, après tout. Il aura un toit, de la nourriture et une famille. Il s'intégrera plus facilement à la société. Qu’importe. La destinée a toujours été avec lui. Il en est intimement convaincue.
***
Haru, l’enfant merveilleux. Haru, l’élève chérie des professeurs. Haru, le précieux trésor des Teruki. Haru, le camarade de classe inaccessible. Haru le solitaire. Haru, qu’on admire, tant par sa prestance que son éducation. Haru, qu’on l’idolâtre tel une Star montante de la chanson. C’est qu’il incroyable ce jeune garçon, avec ses notes et son comportement exemplaire. On chuchote et soupire à son passage. C’est un prince parmis les roturiers: une étoile bien trop haute dans ciel, une étoile qu’on ne peut attraper de ses propres mains. On veut s’approcher de lui, mais on ne s'aperçoit que trop tard du gouffre présent entre lui et les autres. Vicieusement, il arrache les espérances, et les pousse les gens au bord du ravin. On tombe; et lui, de son sourir enjôleur, il les encourage à monter toujours plus haut. Mensonge, il sait que personne n’y arrivera.
Haru est fragile, c’est ce que n’importe qui dirait à sa vue. Il posséderait cette délicatesse propre à la gente féminine, et cette force donnée aux hommes. Le concerné en sourit, amusé face aux idées préconçus de ces inconnues. Ce n’est qu'une poupée, un feu d’artifice — une illusion, disent certains. Vérité? Mensonge? Il s’en soucient guère. Son air hautain, et légèrement narcissique font fuir la plupart des conspirateurs. Le masque se brise. Il n’est pas aussi parfait qu’il en a l’air.
Haru, lui qu’on dit honorable, n’est qu’une poupée de porcelaine dans les mains d’une petite fille. Sa grande soeur est toujours là, derrière lui, le coiffant, le conseillant, le chouchoutant. On croirait presque qu’il n’est capable de rien sans sa soeur, si ses notes n’étaient pas largement meilleure que cette dernière. Elle prend soin de sa peau pâle, en lui étalant de la crème solaire lors des chaudes journées d’étés. Elle veille à ce que les cheveux soyeux de son cher Haru soit correctement peignés, surtout après les heures éprouvante d’EPS. Il n’a jamais aimé le sport. Peu endurant, il s'essouffle vite. Il aurait la santé fragile depuis cette accident, disent ses parents, lui fournissant régulièrement des dispenses de sports. Haru ensemble ennuyé de ce constat, mais ne dit rien. Il ne peut rien contre le patriarche de la famille. Il ne peut rien contre son père.
On envie Haru. On le jalouse. On aimerait être à sa place. On voudrait avoir le même père. Son père, le patron d’une grande entreprise de jeux et jouets. Seulement, ses camarades de sembles pas savoir que signifie être un Teruki. Un Teruki remplaçant, de surcroît. Car Haru le sait: il n’est que le remplaçant d’une personne qui était son sosie. Une personne morte. Une personne censée être morte, mais qui continue de vivre depuis son arrivé à travers lui. Mais cela, seul deux personnes le savent vraiment: Le père et le fils Teruki.
Assis sur un banc de l’école primaire, le jeune garçon attend son aînée. C’est la fin de la journée: il doit retourner à la maison. Des camarades de classes passent devant lui, sortant de l’école. Ils se débrouille pour ne pas être trop près de lui, ni trop loin non plus. Un commentaire. On part le plus vite possible: Haru semble ni vouloir faire la discussion, ni tolérer leurs présences.
Une silhouette apparaît dans son champs de vision, il la reconnaîtrait entre mille. C’est Hatsu. Haru se lève, la voyant arriver. De sa voix stridente elle crie son nom, enjouée, et elle se jette sur l'interpellé, le prenant dans ses bras. C’est sans doute la seule personne ayant le droit de l’approcher d’aussi près. Haru a habituellement horreur des contactes physiques..
— Je te cherchais partout, Haru. Pourquoi tu n’étais pas à l’endroit habituel?
— Il y avait trop du soleil. Il faisait trop chaud. C’est plus rafraîchissant d’être ici, sous les arbres, soeurette.
— Ah, J’allais oublier! j’ai quelque chose à te donner.
La soeur de Haru, Hatsu, fouille son sac, à la recherche d’un petit paquet. Quant elle le trouve, ses yeux s’illumine, et elle le sort de son cartable, le donnant à son frère. C’est un paquet rectangulaire rouge. Curieux, il l’observe. Pourquoi? Il ne saisit pas la raison de ce cadeau soudain.
— Un professeur t’as demander de me donner ça? interroge Haru.
— Bien sûr que non! rigole Hatsu, c’est pour ton anniversaire! J’ai demandé à papa de faire faire un cadeau spéciale pour tes 11 ans!
— Ah, c’est vraie que c’est aujourd’hui. Père a été particulièrement indulgent ce matin, remarque Haru, amère.
— Arrête de dire des sottises sur papa! s’indigne la soeur. Et puis j’ai hâte de voir ce qu’on mangera ce soir! Maman a dû cuisiner tes plats préférés!
— On mangera des pâtes, comme à chaque anniversaire, et un gâteau au chocolat, soupire Haru.
— De toute façon, les seuls gâteaux que tu daignes de manger sont au chocolat! s'exaspère sa soeur. Tu ouvres mon cadeau?
Haru ouvre avec délicatesse le paquet, et y découvre une boîte, semblable au livre de Clow du manga que sa soeur aime tant. Dedans, il y découvre sans réel surprise les cartes de Clow. Depuis qu’il la connaît, elle ne cesse de le comparer au fabuleux magicien qu’est Clow Read. Personnage purement fictif, mais qui prend vie, pour Hatsu, par le biais de Haru. C’est, sans aucun doute, le seul véritable lien entre les deux rejetons Teruki.
— Tu n’aurais pas dû, remercie Haru.
— Mais si! Maintenant, tu es véritablement Clow Read!
***
Un bureau à l’ancienne blanc, des étagères fixées aux murs où s’entasse des livres, une armoire rustique, un lit coloré et confortable, une chaise en bois, une table de nuit très simple, ainsi que des boîtes de couleurs vivent où sont stockés divers objets; voilà à quoi ressemble la chambre de Haru. Au fils des années, elle n’a pas vu de grand changement. Toujours aussi simple. Toujours aussi froid. Toujours aussi peu chaleureux. A l’image de l’éducation qu’il a reçu des Teruki: être le meilleur. C’est de là que vient sa détermination. C’est pour cela que son chemin est tout tracé.
Il est le meilleur. Il doit l’être. Pour père.
Haru est assis au milieu de la pièce, ses cartes étalées devant lui. Il est contemple, un air interrogateur sur le visage. Il ne comprends pas. Pourquoi agissent-elles bizarrement? Quoique...C’est une normalité pour Haru : hier, il y a eut un livre, dont les écritures ont disparu. Aujourd’hui, cela a été au tour d’une pile de papier brouillon de devenir poussière. Enfin, ce n’est pas la première fois que ça arrive. Depuis qu’il a ces cartes en sa possession, elles ont toujours eut des actes inexpliqué, humainement parlant, et c’est un casse tête épouvantable que de fournir une cause plus
réaliste de la chose. C’est comme ça. Ca ne s’explique pas. C’est magique, comme le dirait certains.
Seulement, ce qui l’inquiète le plus, n’est pas les dégâts que les cartes causes, mais le message qu’elles lui livre. Haru, qui a toujours eut un lien spéciale avec elles, n’arrive pas à déchiffrer ce qu’elles veulent lui dire. Il ne les comprend pas, et cela le surprend. Cela n’est jamais arrivé auparavant. C’est un mauvais présage, Haru. Un mauvais signe, alors que la destiné lui a été favorable jusqu'à maintenant.
Une voix bourrue. Un appel. Des bruits de pas dans le couloirs. Un porte qui s’ouvre brusquement. Haru sursaute et se tourne vers son père qui vient d’entrer dans sa chambre. Ils se regardent dans les yeux où l’agacement et la colère peut s’y lire. Le fils, dont son nid à été violé, le dérangeant dans la lecture des cartes, fait comprendre de son irritation un peu trop témérairement du point de vue du père qui ne supporte aucunes insubordinations. Ce dernier, en colère, le regarde de haut. Il ne saisit pas comment son enfant peut être si intéressé par quelque chose d’aussi futiles que les cartes, les jouets et les jeux de société.
—Ton trimestre n’a pas été très brillant, fils.
—75/100 n’est pas assez bien pour vous, père? J’ai pourtant eu les félicitations et je fais partie des meilleurs élèves de la classe.
—Ce n’est toujours pas assez. Tu dois viser encore plus haut. Ta passion pour les jeux t’empêche d’être le premier. Je vais devoir prendre des mesures drastiques si tu ne t’améliores pas.
Haru contracte les poings, énervé. Il expire et inspire. Il n’a l’impression de faire que ça: travailler, travailler, travailler. Les fameuses mesures drastiques, il les connaît, et il ne veut pas les subir. Pas encore une fois. Comment se soustraire de l’autorité écrasante de son père? Il ne possède aucune échappatoire. Père le connaît que trop bien. Lui qui, autrefois, pensait pouvoir faire ce qu’il voulait quand il voulait, il s’était lourdement trompé. Pour son père, en tout cas. C’est pour ça que la solution du mensonge lui est venu. Le mensonge, la meilleure arme qui soit.
—Bien père. Je serais l’étoile la plus brillante qui soit.
Nom du pouvoir — Haru's Cards, annihilation of power
Description du pouvoir — Les cartes à jouer, les cartes à collectionner, les cartes du tarot...Il existe toutes sortes de cartes, de toutes formes, et de toutes tailles. Elles ont une fonction première: se divertir. C'est pour s'amuser qu'on les a créer, c'est pour l'éducation qu'on s'en sert, c'est pour la divination que certaines existent, et c'est pour annihiler que d'autres sont là. Annihiler le pouvoir par le biais de cartes, tel est la faculté de Haru Teruki.
Comment ça, annihiler le pouvoir? Annihiler, c'est détruire, anéantir, ruiner complètement, que ce soit dans le domaine matériel ou moral.
Le pouvoir, c'est le pouvoir magique des autres étoiles. Le pouvoir, c'est la capacité qu'a quelque chose de produire certains effets, comme le pouvoir absorbant d'un tissu. Le pouvoir, c'est la faculté de quelqu'un de faire quelque chose tout comme c'est l'ascendant de quelqu'un ou de quelque chose sur quelqu'un.
On pourrait donc définir le pouvoir de Haru ainsi: par le biais de cartes, Haru supprime les pouvoirs magiques, les capacités des êtres non-vivant et vivant, ainsi que l'ascendant de quelqu'un ou de quelque chose sur quelqu'un.
Mais ce n'est pas cela. Pas vraiment. Haru ne peut en aucun cas agir sur les "capacités des êtres vivant ainsi que l'ascendant de quelqu'un ou de quelque chose sur quelqu'un", même s'il aimerait bien, parfois.
Le pouvoir "Haru's Cards, annihilation of power" se présente donc comme cela. Il y a deux types de cartes, les cartes paires et les cartes impaires (formant un total de 55 cartes), et ont chacune une faculté différente.
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Les cartes paires (27): En activant une carte, les pouvoirs des étoiles est inefficace dans un rayon de 15 mètres dont le centre est la carté activé. Si un(e) étoile entre dans ce rayon, son pouvoir de fonctionnera pas, mais marchera à nouveau si elle en sort. Tous pouvoirs émanant d'étoiles entrant dans le rayon de 15 mètres, des boules de feu par exemple, disparaitra.
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Les cartes impaire (28): En activant les cartes, toutes choses entrant en contacte avec l'une d'entre-elles deviennent incapable de faire ce pourquoi ils sont crées. Par exemple, un circuit électrique disjonctera, un stylo ne pourra plus écrire et un ordinateur ne s’allumera plus jamais.
Mais bon, il y a des limites à cela.
-Il ne peut qu'utiliser 4 cartes impaires et 3 cartes paires par jours: les cartes peuvent faire ce qu'elle font car elles puisent dans l'énergie de Haru, en utiliser plus peut être dangereux pour ce dernier.
-Les cartes paires ont une limite de temps qui est de 20 minutes, réutilisable avec le temps restant si les 20 minutes ne sont pas totalement écoulées.
-L'action des cartes impaires sont irrévocables.
-Haru peut seulement utiliser un deck de cartes personnalisés, unique en son genre, tirées du très célèbres manga
Card Captor Sakura, les Cartes de Clow/de Sakura. A la différence de l'originale, les cartes ne sont pas rouges/jaunes mais bleus/jaunes.
-Si une carte est déchirée, Haru l'est également. De plus, la carte en question n'est plus utilisable.
- Liste des cartes:
1 風 The Windy
2 翔 The Fly
3 影 The Shadow
4 水 The Watery
5 雨 The Rain
6 樹 The Wood
7 跳 The Jump
8 幻 The Illusion
9 静 The Silent
10 雷 The Thunder
11 剣 The Sword
12 花 The Flower
13 盾 The Shield
14 時 The Time
15 力 the Power
16 霧 The Mist
17 嵐 The Storm
18 浮 The Float
19 消 The Erase
20 灯 The Glow
21 移 The Move
22 闘 The Fight
23 輪 The Loop
24 眠 The Sleep
25 歌 the Song
26 小 The Little
27 鏡 The Mirror
28 迷 The Maze
29 戻 The Return
30 撃 The Shot
31 甘 The Sweet
32 駆 The Dash
33 大 The Big
34 創 The Create
35 替 The Change
36 凍 The Freeze
37 火 The Firey
38 矢 The Arrow
39 波 The Wave
40 秤 The Libra
41 抜 The Through
42 泡 The Bubbles
43 雪 The Snow
44 声 The Voice
45 錠 The Lock
46 雲 The Cloud
47 夢 The Dream
48 砂 The Sand
49 闇 The Dark
50 光 The Light
51 双 The Twin
52 地 The Earthy
53 無 The Nothing
54 無 The No Named
55 希望 The Hope