| Sujet: L'argent fait le bonheur ✦ uc. Mer 2 Mar - 0:03 | |
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Nom — Kimura. Prénom — Touko ( essayez de voir la référence hihi ). Âge — 18 ans. Sexe — Femme. Race — Humain. Nationalité — Japonaise avec quelques touches chinoises ( du côté maternel ). Occupation — Elle aime lire et se promener dans des lieux assez calmes et distants. Elle vit encore avec l'argent de sa famille même si le cordon se verra bientôt couper. Orientation sexuelle — Indéfinie.
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physique Des yeux bleus qui ne passent pas vraiment inaperçus. Ils sont allongés, presque en amande, telle une mignonne petite asiatique qui se respecte. Des yeux qui se font perçants voir parfois menaçant, c'est un regard intense qui s'apprivoise aux lumières du soleil. Ses cheveux sont mi-court, tombant un peu n'importe comment sur ses épaules, cheveux noir, typiquement et encore une fois asiatique mais diverges un peu dans les gênes à cause de leur petit foutoir capillaire qui donne à Touko un visage ébouriffé et joli à regarder. S'il vous plaît, Touko ne souffre pas de nanisme. Du haut de ses 145 centimètres, on peut confondre la jeune fille pour une enfant mais hélas, non, elle a hérité d'une taille minuscule mais pourtant d'un appétit de géant. Un appétit qui se résulte en 33 kilogrammes de chair et de fierté, oui, encore une fois, Touko bat les records. Elle bat aussi celui de la poitrine la moins plantureuse de tout les des temps. Elle a quelques formes mais rien d'extravagant. On va dire que c'est approprié à sa petite taille. Taille qu'elle montre parfaitement en se mettant toujours bien droite. Elle est souple et plutôt agile. Sous ses airs infantiles, elle cache une force énorme. Une adrénaline forgée au Kendo dont est elle est un des meilleurs membres de son dojo. Elle garde de ce sport, quelques cicatrices aux niveaux des avant-bras et une plus importante longeant ses côtes droites.
Elle ne cherche pas à attirer l'attention avec des vêtements de marque et autres fanfreluches artificiels. De ce côté-là, Touko est plutôt coincée. Elle préfère être à l'aise dans ses vêtements. D'ailleurs, malgré son caractère assez fermé, elle adore porter des kimonos assez sobres. Sinon, dans la vie de tous les jours, elle porte des jupes ou parfois encore des jeans. Un style banal, une fille aux allures peu spéciales. caractère Sobre. Tu n'as pas la tête de quelqu'un d'intéressant. Même, les gens n'ont pas envie de t'aborder. Les lèvres cousues, le regard lointain voir et le dos droit. Pas vraiment attirant. Tu marches silencieusement, regardant droit devant toi car jamais, au grand jamais, tu ne baisseras le regard. Après tout, depuis quand le sol est intéressant ? Non, tu préfères nettement regarder les gens, leurs mimiques, leur fous rire et tout simplement leur comportement. Analyser les personnes, voilà ce que tu aimes faire. Certes, avec pas beaucoup d'éléments. Mais ça te suffit amplement pour passer ton temps. Car dehors, ce n'est pas vraiment ton point fort. Tu n'aimes déjà pas les lieux publics. Pourquoi ? Car ta confiance en toi est au plus bas et que le regard des personnes sur toi mettent ton cerveau en effrois. Comme indiqué ci-dessus, tu ne regardes jamais vers le bas. C'est pour la simple et une raison que ce regard rempli de confiance n'est rien d'autre qu'une mascarade destinée à mettre un mur entre toi et les autres. Oui, c'est aussi simple que ça. Tu es facilement dégoûtée. Dégoûtée par les gens et leur façon de vivre. En fait, tu juges trop facilement, tu te prends de haut et tu ne prends pas la peine de t'intéresser aux autres. Pour toi, tu es la seule personne qui existe, le bonheur des autres ce n'est pas pour toi. Cette façon de penser individualiste tient de ton père et sur ce point, tu es d'accord avec lui. L'argent crée le bonheur. Car de nos jours, ce sont les gens riches et intelligents qui règnent. Les déchets, comme tu dis, ne sont rien d'autre que les pauvres et les criminels. Une basse classe de la société. Rien de plus. C'est cruel de penser comme ça, Touko. Mais franchement, as-tu déjà un pauvre endetté être heureux ? C'est l'argent qui achète les plaisirs, c'est l'argent qui réunit les gens, l'argent, ces précieux billets verts qui crèvent les yeux des humains. Ces morceaux de papier qui remplissent les poches de la fourmilière. Mais que faire ? Rien. Alors tu étudies, tu manges les livres, tu croules sous le poids pesant d'une famille stricte et tu te fonds dans la moule de la famille ou plutôt de l'entreprise Kimura. La famille est un mot qui a été pour toi abolis. Mais malgré ça, tu as quand même un coeur. Oui, un vrai de vrai, avec des hauts et de bas. À trop vouloir rentrer dans le moule, tu oublies la simplicité de la vie. Tu oublies toutes ces choses simples qui font sourire, tu as voulu devenir une personne froide et distante pour convenir à ce format qui t'as été imposé. Tu es loin d'être épanouie, mais tu ne t'en plains pas. L'amour ? Tu ne t'en souviens pas. Tu as oublié depuis longtemps ce qu'était la notion d'aimer et d'être aimée en retour. C'est futile pour toi, ce ne sont juste que des batifolages qui font des ravages. Des marées des larmes qui ont séché avec le temps. Mais oui, Touko, tu es seule. Et ça, c'est l'argent qui te l'offre. Tu n'es pas capable d'ouvrir les yeux, l'or qui est devant toi n'est pas vivant, la voiture qui est garée dans ton garage ne pourra jamais te conduire aux gens que tu aimes. Car ces gens sont tout simplement inexistants. Si une main pouvait traverser ce smog de fierté, tu la saisiras n'est-ce pas ? Tu as ce côté assez sombre, la rage ou plutôt la noirceur de ton âme. Ce côté humain repoussant et pitoyable, oui, toi aussi tu l'as. Tu l'as prouvé mainte et mainte fois que ton coeur était fait presque que de glace. Seul ton jugement compte, peu importe la douleur qu'il procure. Oui, c'est ça être égoïste. Ton seul but est d'arriver au sommet de la pyramide, de devenir le rapace qui traque les proies, oui ça te plaît tout ça. Tu utiliseras encore et toujours cette échelle faite de chèques, tu graviras les échelons, mais lorsque tout brûlera, Touko, il ne restera que toi. Seulement la fille qui s'est voilé la face avec un éventail de billets, il ne restera que cet humain au bord du néant, s'apprêtant à tomber et être emporté avec le vent. Tu es éphémère, ton temps de jeu ne durera pas très longtemps. Mais le temps est certes existant, ta volonté et ta motivation de gravir les échelons l'est aussi. Plus puissante que jamais, tu donneras tout ce qui est dans ton pouvoir pour réussir ta vie. Tu as de nombreux points négatifs. Certes. Mais sous cette carapace aride et presque infaillible, se cache une femme, du moins, une fillette. Une fille qui n'a pas pu grandir comme les autres. Une gamine qui n'a jamais eu de poupée entre ses mains, mais un sabre. Ce plaisir doux de trancher les airs. C'est fin, c'est précis, c'est ça que tu aimes. Un des seuls plaisirs qui puisse te faire encore sourire. Le kendo, 5th Dan, tu t'est toujours bien débrouillée. Malgré ce sport un poil violent, tu es une personne plutôt timide qui ne parle pas énormément. Tu n'as jamais été habituée au contact amical. Tu peux facilement t'embrouiller quand tu parles, dire des choses absurdes ou dire des propos qui se devaient être retenus. Franchise, quand tu nous tiens. Haut les coeurs, tu en as un d'ailleurs. Un coeur qui parfois, se trouve sur la main. Tu ne restes pas moins humaine avec des principes et une éducation. Pas au point de laisser ta place dans un transport en commun. Tu te soucies parfois des gens. Mais rarement. Car en ce moment, peu de gens te sont chers. Mais toi aussi tu arrives à rire, un sourire et parfois même à apprécier. Car aimer, c'est un grand mot. De l'humour ? Tu en as. Ironique tu es et tu ris parfois pour un rien. Le cerveau flanche et parfois tu deviens quelqu'un de détendu voir sympathique. Certes c'est rare mais il suffirait que tu te lâches un peu plus et que tu sortes de tes préjugés mal fondé pour que tu puisses voir la vie beaucoup plus simplement. Tu n'es qu'une enfant avec un balais dans le cul, oui Entant que fille, tu es plutôt soignée et tu adoptes une hygiène de vie assez propre, du moins, tu essayes. Tu essayes par moment d'être coquette mais rien de concret. La féminité, c'est tout d'abord le sourire et les pommettes roses. Comme écrit ci-dessus, tu es une personne criblée de complexes. Ton père t'ayant toujours poussé, tu te dois d'être meilleure que les autres. Mais à force de t'avoir mis en tête cet ordre, ta carapace, c'est criblée de fissures prêtent à exploser. La pression, ça fait mal et les larmes deviennent fréquentes. Nombre les fois où tu es tombée, incalculable les moments où tu as sombré. Alors avec toute la fierté qu'il te reste, tu te relèves, de plus en plus affaiblie, toujours plus fatiguée. Un jour, tu vas exploser, promis, juré, craché. Le vide, le néant. Tu en as peur hein ? La mort déjà, ça te fais flipper. Comme tout être humain. Ou presque. Mais ce sentiment de ne pas savoir où mène le temps te terrifie. Puis ces étoiles là. Tu voudrais en savoir plus, beaucoup plus. Mais ce n'est qu'une légende urbaine, une légende avec une fin de creepypasta. Une fin morbide qui ne veux connaître. Le noir absolu. Tu as une peur bleue de te retrouver seule, au milieu du noir, des ombres et des murmures. La mort est peut-être celle qui est décrite dans la bible. Les enfers, les limbes, le paradis ? Ou tout simplement un trou sans fond dans lequel tu tombes encore et encore. Tu as 18 ans, c'est jeune mais il suffit d'une balle de plomb, d'une voiture qui roule à fond ou de quelques pensées suicidaires pour en finir une bonne fois pour toute. L'être humain est fragile. Amoureuse ? Toi ? Bonne blague. Tu l'as été. Follement même. Mais ça reste derrière toi tout ça, c'est un de tes point faible, l'amour. Un sentiment qui fait des ravages. Un esprit qui se détraque pour quelques messages mignons, pour quelques baisers sur le front. Mais ô combien tu as aimé être folle de cette personne. Ce garçon qui avait le secret pour apaiser tes maux, un amour brisé par une rude éducation, une stupide tradition. Cette rupture te reste en travers de la gorge. En tombant amoureuse, ta vision du monde avait quelque peu changé. Les gens riches étaient cupides et faux. Ton utopie s'écroulait à petit feu, c'est flou, c'est noir. Tu ne veux pas te rappeler de cette soirée à te vider les yeux dans ton lit. Alors à partir d'aujourd'hui, tu scelles ton coeur. Les liens, une horreur. Plus jamais tu n'oseras poser une main amicale sur l'épaule de quelqu'un, plus jamais tu n'embrasseras. Tout ça, c'était avant. Son avis sur les anti-étoiles : Tu trouves que leur cause est juste et mérite d'être entendue. Tu ne veux pas que quelqu'un se mêle à ton destin, tu veux voler seule et uniquement seule. Le fait de mourir pour une connerie te terrifie au plus haut point. Tu les rejoindras, toi, ta fierté et ton sabre avec le plus grand des plaisirs. Ce qu'elle pense de l'humanité : Tu penses que l'humanité n'est rien d'autre fourmilière géante et que pour te faire une place, il faut savoir user de son savoir, de sa puissance et en grande partie de son argent. Car sans argent, nous ne sommes rien. Tu n'hésiteras pas à utiliser tes atouts même jouer la comédie et jongler avec les sentiments des autres quand l'enjeu est gros. Ne la fuyez pas, voyons donc. Quelques petites anecdotes random : aime prendre des photos ✦ est une vraie gloutonne ✦ a peur de la mort mais trouve la religion absurde ✦ a cette manie de mordiller les lèvres et de se craquer les phalanges lorsqu'elle est stressée ✦ adore écouter de la musique ✦ même si c'est contradictoire à sa vision des choses, elle s'autorise de parfois dormir durant des heures ✦ n'a jamais été à l'école mais a toujours eu des cours à domicile, tradition familiale ✦ pour cacher sa gêne des endroits publics, elle plonge parfois son nez dans un bouquin ✦ préfère le salé au sucré ✦ malgré une éducation extrêmement stricte, elle n'est reste pas moins vulgaire par moment ✦ ... histoire
S y n o p s i s
« FM Japrock : Alors c'était le célèbre groupe Blue Trouble et nous enchaînerons avec quelques tubes d'Ayako Hide, la nouvelle petite perle des média qui fait beaucoup parler d'elle. Jolie fille aussi héhé. Mais avant ça, prépareeeeez vos téléphones, CONCOUR TIME ! Nous mettons en jeu l'un des derniers ordinateurs portables tout dernier cri de la marque " Shorai ". Pour cela, composez le ... » off. Déjà ? Bravo, papa. Argent, Argent, argent, oui argent. Je sais que l'argent est futile, je le vois. Mais je ne vois que ça. Partout, tout le temps, ma vie n'est qu'un nid de billets verts soigneusement conçu par mes parents. Mariés, foutaise. Mariés juste dans les papiers. C'était un gros avantage d'acquérir une femme dont la famille possède une bonne partie des gisements de pétrole au Moyen-Orient, une famille d'ampleur ça se paye. Puis vraiment, mon père n'est pas l'homme idéal, il n'a pas une seule cuillerée de tendresse dans son regard, pas un seul mot doux dans sa bouche, aucune caresse dans les cheveux avant d'aller se coucher. Ma mère ? Juste une coincée. Une fille de famille chinoise stricte qui l'ont maté et dressé pour couvrir correctement son rôle de femme au foyer et soumise à son mari. Triste ? Non, pas vraiment. Elle ne travaille pas alors elle se doit d'être heureuse non ? Elle se le doit. Après tout, ce n'est pas moi qui brûle les plafonds des dix mille cartes bancaires pour aller m'acheter le dernier sac Prada sortis en vitrine, non, moi je préfère la simplicité. Elle, elle est artificielle, et ô combien je suis heureuse de ne pas avoir hérité de sa niaiserie féminine. Je pense avoir hérité de sa discrétion et de son visage, un beau visage oui. Un visage crispé lorsqu'elle remarque les factures. Les prix stridents des hôtels. Des hôtels qui devraient être des bureaux, un homme qui devrait être au travail, un mari qui devrait aimer sa femme. C'est hélas bien trop utopique. Mon père trompe ma mère et je l'ai toujours su. Et elle aussi je pense. Mais bon, ce n'est pas mon problème. Tant que mon père excelle, tout va pour le mieux. Puis, j'aime mes parents. J'aime beaucoup regarder mon père, l'œil dans le trou de la serrure. Il est charismatique, intelligent, c'est le genre de gars dont toutes les Pretty Woman à la Julia Robert voudrait s'arracher. Mais qui sait, je ne connais pas la vie sexuelle de mon paternel. Puis enfin vient ma mère. Elle est gentille mais stressante. Elle fait bien à manger puis parfois on rit, sans plus. Elle est triste, ça se voit. Mais moi, qu'est-ce que je peux faire ? " Oh Maman, tu sais, ce n'est pas grave si papa se fourre dans les jupes des femmes étrangères, on s'en fout ! ". Non, ça ne marche pas comme ça le cœur d'une femme. Alors j'embrasse son front et lui apporte le petit-déjeuner le matin, c'est son lot de consolation.
Pseudo — Jiikan, Licofoxe, von.terror. Vous; en cinq mots — cul, naruto, perfection, one piece, bouffe, dormir. Personnage sur l'avatar — Rukia Kuchiki dans Bleach. Comment avez-vous découvert le forum — Depuiiis longteeeemps je le connais ( je m'étais inscris il y a longtemps ) mais c'est Cael qui m'a incité. Présence ( /7) — Durant les cours : 4/7 et durant mon temps libre : 7/7. Pedobear ou bisounours — Pedobear car les creepypastas c'est bien. |
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