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 Something Better ft. James E. Collins

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Tadashi Kogane
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MessageSujet: Something Better ft. James E. Collins    Something Better ft. James E. Collins  EmptyVen 18 Mar - 12:20

Something Better

Tadashi Kogane & James E. Collins

Une table couverte de bouteilles de bière, et de verres à cocktail vides, un écran, des micros et une banquettes pleine d’amis éméché qui entament tous ensemble le refrain de la dernière chanson de cette idole pop japonaise dont j’ai oublié le nom. Ca fait un moment que nous sommes là, comme de bon japonais, à boire, chanter, rire, applaudir. Tout ce qu’on peut trouver pour relâcher la pression. Pour moi, c’est juste une autre façon de remplir ces soirées vides, ces soirées où la solitude me pèse. Les amants finissent par partir, se faire rare et les livres manquent de chaleur humaine. Mais après quelques cocktails et quelques bières, c’est moi qui ne manque pas de chaleur . Le bar karaoké finit par fermer et c’est le moment de se séparer. Une amie remarque mon état d’ébriété avancé et me propose de me ramener.Je refuse catégoriquement avec une élocution plus qu’approximative :

Naaaaaaaaaaan. T’sais quoi. J’vais marcher. Vi. Marcher un peu. J’passerai...j’passerai récupérer ma voiture demain.  Bonne nuit, bisous mwaaaa ~♥

 

Un signe de la main, je mime un baiser et je pars sur mes deux pieds, un sourire de vainqueurs sur les lèvres, et l’impression de marcher sur un sol de marshmallow à chaque pas. Je me dis : c’est sympa. Ca fait un bail que je me suis pas baladé comme ça, en pleine nuit. Pourquoi pas . En marchant, je regarde les façades des immeubles, les quelques fenêtres encore allumées à ces heures tardives, parfois laissant passer une silhouette furtive.

Il y a toujours ce moment magique au milieu de la nuit où on prend conscience que la ville vit, qu’elle respire, au milieu de la nuit comme en plein jour.

Pour me rendre chez moi, je dois traverser le parc. Il commence à faire un peu froid. J’essaie de reboutonner le haut de ma chemise et ma cravate que j’avais allègrement défait lors d’une chanson pour un effet théâtral ( et récolter quelques sifflements d’approbation). Mes doigts me semblent inutiles, aussi réactif que de vieux boudins de chewing-gum. Je finis par abandonner et serrer ma veste contre moi. Le parc est quasiment désert à cette heure de la nuit et les installations ludiques pour les enfants ressemblent vaguement à celles que l’on pourrait trouver dans un film d’horreur. Glauque.

J’ai cette sensation d’ivresse, celle d’être entouré d’une boule de coton qui me rende insensible et en même temps heureux comme un imbécile. Je lève les yeux un instant et je m’arrête. Je pense : C’est marrant, on parle d’humains et d’étoiles mais plus personne ne regarde vraiment le ciel. Je le faisais toujours quand j’étais gamin. Alors pourquoi les adultes se contentent de fixer le bout de leurs chaussures. C’est triste. De ne pas regarder le ciel. C’est si joli. Tiens, est-ce qu’il manque des étoiles ? Je me le demande . Je suis obligé de m’arrêter, incapable de marcher le nez en l’air. Soudainement ça bouge un peu. La voûte piquetée d’étoile commence à tourner un peu autour de moi. C’est joli. C’est marrant. Mais c’est surtout dangereux vu que je risque de me planter sur les pavés. Alors j’écoute cette partie encore censée de ma conscience qui me dit : Arrête toi deux secondes, tu sens la planète qui tourne. J’ai envie de m’allonger. Non ! Je risquerai de m’endormir sur un banc et d’être pris pour n’importe quel clodo. Non. Mon choix se porte alors sur l’aire destinée aux enfants, complètement déserte. Je m’assieds sur l’une des balançoire, en me laissant légèrement aller. Je n’étais pas un grand fan de balançoire quand j’étais gosse. Ma soeur en revanche… j’étais toujours obligé de la pousser. Ah ils sont loin, ces doux souvenirs de ma jeunesse, quand tout était plus simple. Je pousse un long soupir.

J’entends des pas. Un mec passe, en survêtements en train de promener son chien. Il me lance un regard, j’y réponds avec un sourire malicieux, il passe son chemin, faisant mine de ne pas m’avoir remarqué. Evidemment cet endroit est rempli gens qui ignorent les autres. En même temps, comment le blâmer. Je ne sais pas de quoi j’ai l’air à ces yeux. D’un ivrogne ? D’un dealer ? D’un diablotin qui attend qu’une pauvre vienne signer un contrat ? D’un pédophile ? D’un déséquilibré ? D’un pervers qui attend son rendez-vous ? Ca m’est égal.

Je pose ma tête contre la chaîne de la balançoire et je ferme les yeux un instant. Ca tourne encore un peu. Et donc, je commence à chantonner cette chanson familière, avec peu de paroles. Cette chanson à propos de trouver quelque chose de mieux.




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MessageSujet: Re: Something Better ft. James E. Collins    Something Better ft. James E. Collins  EmptyDim 20 Mar - 4:58




Something Better ft. Tadashi Kogane

La journée avait été si longue quand j’y repense. Entre marcher dans les rues à la recherche d’une âme qui vive ou de croiser ceux que j’arrivais un minimum à côtoyer et trouver un vendeur de clope ouvert tôt le matin, ça avait été si chiant. Bon au moins j’avais mes cigarettes pour facilement trois quatre jours, c’était déjà ça. J’avais beau regarder par la fenêtre et avoir mangé un bon casse-croute, je me faisais tellement chier. Il était temps que je sorte de ce studio aussi vite que possible avant que mes douleurs reprennent de plus belle. Je quittais mon canapé en éteignant la télé restée sur un vieux film, qui allait partir en live et en prenant mes clefs, je quittais l’appartement. Il faisait relativement bon pour un soir comme celui-ci. Je m’étonnais presque de trouver ça agréable alors que mon bras commençait déjà se zébrer de rouge pourpre et de me faire mal. Rah bordel, j’en avais vraiment marre de souffrir comme ça, mais de toute façon, j’allais devoir faire avec. Que je voulais ou pas, j’étais une de ses étoiles et avec un don pareil, bah ça ne passait pas et ça cassait régulièrement. Plusieurs vies de faucher dans tout ce merdier incessant et pas une seule fois, j’avais trouvé des gens bons. Non pas des jambons, abruti. Enfin s'il y en avait, mais entre ceux qui comme moi était des étoiles et les autres humains qui me voyaient comme bien des choses, c’était assez confus. Hun, être une étoile aussi sympathique que ça avait l’air sur le papier, bah en somme sans son humain, on était useless. Je n'aimais pas me dire que ça allait finir par me retomber sur la gueule sans que je puisse ne serait-ce que me préparer à ça, mais de toute façon, je n’avais pas le choix. Une étoile avait toujours à protéger un humain, c’était plus vieux que le monde lui-même alors comme tous mes confrères et consœurs que ça m’emmerde ou pas, j’allais le faire, point.

Une cigarette au bec, je prenais mon zippo en fixant donc sa flamme pendant quelque minute avant de finalement me décider à allumette mon bâton de nicotine. Bon dieu, enfin étoile divine, ce que ça faisait du bien cette merde dans les poumons, la gorge et le corps. Je n’étais pas humain, alors ce n’était qu’un vulgaire placebo, mais au moins ça soulageait un peu tout ce que je ressentais. Mon rythme cardiaque avait décidé de se calmer, mes veines reprenaient leur forme normale et surtout cette foutue marque brûlante commençait à s’atténuer. Si je tombais sur mon humain ce soir, je préférais ne pas ressembler à un foutu feu rouge. J’avais le sentiment que cela allait se passer cette nuit, les picotements sans mes doigts, la sensation d’une proximité, tout ça me donnait la puce à l‘oreille. Ce n’était pas dû  au courroux interne qui sévissait depuis ma naissance dans mes viscères, non, c’était dû à autre chose de plus important encore. Je me sentais quelque peu perturbé sans vraiment l’avouer. Je faisais tomber ma cigarette sur le sol qui avait semble-t-il bien séché par rapport à la pluie de la veille. Je secouais la tête parce qu’on s’en foutait royalement du beau temps et je ramassais ma dose de bien-être, mortelle pour tous. J’avais pas mal de lieu à disposition aussi bien le centre-ville que le parc ou encore mon autre appartement. Ouais, vu l’heure très avancée de la soirée, me pointer là-bas comme dans un moulin aurait été assez con de ma part. Je préférais donc prendre un chemin beaucoup plus simple et connu : le parc. Je pouvais peut-être tomber sur mon humain. Enfin, les chances pour que cela arrive étaient aussi infime que celle que je devienne un gentil garçon adorable et délicat. Et comme tout le monde devait se douter, gentil, adorable ne faisait pas partie de mon vocabulaire, sauf si on avait suffisamment de douceur à m’offrir en retour, sans aspect charnel hein.

Comme bien souvent, il était vide de toute vie et je savais bien que cela n’allait pas aller en s’améliorant. Un parc pour enfant, vu comment il caillait dehors ça n’allait pas attirer les mômes avant un moment. Enfin, j’avais la paix comme je le voulais donc je n’allais pas cracher dessus. Je me hissais dans un arbre pour rester à l’écart de tout le monde et finir paisiblement ma cigarette. Une bouchée, puis deux et voilà elle était terminée. Je ne voulais pas en reprendre une, car la douleur avait fini par me foutre la paix. Je soupirais en fixant les feuilles devant moi et décidait de me plonger dans les songes puisque de toute façon, il n’y avait personne d’autre que moi ici. Et même après l’heure qui s’était passé où j’avais lourdement dormi sur la massive branche, personne n’avait pointé le bout de son nez enfin, c’est ce que je pensais avant de voir un homme sur une balançoire. Il foutait quoi ce con, complètement bourré à faire de la balançoire ? Oh la dégaine de clodo qu’il se tapait celui-là, je me demandais bien ce qu’il faisait ici. Non pas que voir un mec ivre ne soit pas amusant surtout quand on venait de se réveiller, mais justement, j’étais encore un peu dans le gaz. Je me laissais le temps d’émerger suffisamment pour prendre une décision. Je ne savais pas vraiment ce qui clochait chez lui, mais tout que semblait étrange chez ce gars. Son taux d’alcoolémie était assez élevé limite si je ne sentais pas ce qu’il avait bu d’ici. Je ne le jugeais pas, je fumais comme dix personnes alors j’aurais été très mal placé pour l’ouvrir sur les drogues et les abus. Il allait bien falloir que je me décide à sortir de mon coin pour voir si ce mec allait bien. Je savais que de toute façon, j’en avais rien à foutre, mais j’étais une étoile et me soucier des couillons d’humain bourrés dans un parc, c’était mon boulot.

Je quittais enfin l’arbre sur lequel j’avais dormi une bonne heure, en me laissant tomber sur mes pieds dans l’herbe. Je sentais une chaleur se répandre dans mes veines, mais incomparable à celle de la souffrance. Je ne me sentais ni énervé, ni en train de douiller, j’étais…apaisé ? Mon cœur ratait deux fois de suite un battement avant de reprendre son rôle après avoir pris un coup de mon propre poing en plein poitrail. Je m’étais fait mal, mais ça m’aurait fait chier de mourir comme un con au milieu du parc sans avoir si c’était lui, mon humain. Je voyais un homme avec son clébard me passer devant après avoir croisé le regard de l’homme saoul sur la balançoire. Mes yeux plein de haine avait suffi à calmer directement le maitre et le chien. Je n’avais pas d’emmerde en ayant les yeux de la rage elle-même, pratique par moment, lourd bien souvent. Je m’avançais en tentant d’être discret pour ne pas le faire se réveiller ou qu’il me grille dessus, mais c’est en entendant son chant relativement horrible pour mes oreilles, que je pigeais que même un éléphant en rut n’aurait pas pu le déconcentrer. Il était en train de fusionner avec la chaine de la balançoire et s’il ne tombait pas avant que j’arrive à son niveau ça allait être un beau spectacle. Non, mais sérieusement ce mec allait être mon humain ou pas ? Si c’était le cas je sentais déjà arriver les emmerdes par paquet de dix, mais c’était mon rôle de le protéger et j’allais le faire d’une main violente et enragée. Le bruit de mes chaussures sur les gravillons du parc était en grande partie camouflé par ses jérémiades de mecs bourré. Je finissais à son niveau et ayant la flemme de le regarder encore longtemps debout, je me penchais un peu et finissait par m’assoir sur la seconde balançoire près de lui. Merde, il allait bien falloir que je l’aborde cet ivrogne sinon je ne saurais jamais si nous pouvions nous entendre. Je soupirais et me lancer sans trop savoir comment ça allait finir.

« On dirait que tu as eu une rude soirée mec, tu devrais décuver un peu, mais au chaud. Là, c’est un coup à choper une foutue pneumonie et ça serait con non ? Oh répond moi-même si tu as trois grammes dans le sang, je ne te juge pas. »

On ne pouvait pas dire que mon approche avait été très délicate ? J’étais connu pour ma colère, mes poings et la violence qui régnait en moi et pas pour avoir eu le prix Nobel de la paix. Je me doutais qu’avec tout l’alcool qu’il avait dans le sang et son haleine made in bière japonaise, il avait dû entendre la moitié et en comprendre un quart. Je restais quand même près de lui en remontant sa veste parfois voyant bien qu’il allait se les geler. J’aurais pu tomber sur une jeune femme timide, un vieux fébrile, mais non, j’avais un grand gaillard totalement ivre. À y regarder de plus près avec le peu de fringues qu’il avait encore sur lui, il n’était pas spécialement pauvre pu du moins vu la matière de la chemise, avait assez d’argent pour boire et gérer sa vie. C’était sans doute une façon de me dire que j’avais fait bien assez de mal pour ne pas devoir gérer un cas. L’étoile divine était une garce avec moi, mais j’évitais de le penser trop fort, car personne ne savait vraiment de quoi elle était capable. La nuit allait être longue aussi bien pour celui qui me donnait l’impression d’être plus zen et moi-même. Je ne le connaissais pas, je ne savais rien de lui, alors pourquoi avait-elle choisi ce mec bon sang ? Je me prenais la tête dans les mains en cherchant un moyen de trouver des réponses, mais comme toujours en avoir de la folle là-haut aurait été aussi simple que d’enfiler des gants à un Manchot. C’était si compliqué que ça de donner à l’étoile attribuée à un humain, le moyen de savoir au moins à qui il avait à faire ? Je me sentais quelque peu con devant ce mec que je qualifiais de tous les noms alors qu’il aurait pu aussi bien être père de famille que garagiste. Enfin, vu le costume ou ce qu’il en restait, il n’avait l’air d’être ni l’un ni l’autre. Peut-être un petit PDG d’entreprise, un mec qui travaillait à la télévision ou que sais-je encore. J’étais une étoile pas physionomiste merde. Je soufflais en entendant des sons venant de lui et continuait de la surveiller autant que possible. À jouer un rôle autant le faire jusqu'au bout hein. J’espérais qu'il ne me vomisse pas dessus ou décuve un peu, plus simple pour discuter comme on dit. Pas le choix, j’étais son étoile, je devais attendre et voir la suite sans broncher ou me plaindre.


[HRP: Je sens que ce rp va être comique, James en nounou d'un Tadashi ivre x) En tout j'espère que mon post te plairas mon étoile alcoolique. ♥]
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MessageSujet: Re: Something Better ft. James E. Collins    Something Better ft. James E. Collins  EmptyLun 21 Mar - 15:00

Something Better

Tadashi Kogane & James E. Collins

Quelque chose de mieux. Quelque chose de plus profond. N’est ce pas ce que nous désirons tous ?

C’était paisible ici. C’était calme. Presque confortable. Cela changeait de l’atmosphère de tout à l’heure, l’effervescence sociale et alcoolique, les chants et les cris que l’on utilise pour couvrir le son de sa propre détresse et son coeur qui bat, sans s’arrêter, d’en vouloir plus. Oui, ici je peux réfléchir - du moins c’était ce que mon cerveau baignant dans l’alcool pensait. Réfléchir à quoi ? Je ne sais pas. Réfléchir. Défoncer les portes de la conscience et se inhibitions à violents de coups de pieds, pour découvrir quoi ? Pour réaliser quoi ? Je l’avais sur le bout de la langue.

Des bruits de pas. J’entrouvrais les yeux. A mon avis je ne distinguais qu’un pantalon et un torse. Ce mec devait être grand. Mais surtout pourquoi il se tenait en face de moi ? Un mouvement après et il s’asseyait juste à côté de moi. Moi ? Je regardais le bout de mes chaussures, raclant les gravillons avec un ricanement. C’est alors qu’il s’adressa à moi. Une voix grave et un peu rocailleuse avec un accent que je connais. Une odeur de cendrier. Ca doit expliquer la voix un peu rauque. Comme je comprends à moitié ce qu’il me dit, je redresse ma tête vers lui.

What ?  

 

C’est alors que je remarque son visage. Occidental sans aucun doute, des cheveux blancs, comme mon ex, et un regard rouge comme un lapin albinos, un regard qui a sans doute l’habitude d’être un peu menaçant car il me dit “ tu me touches, je te bouffe” comme s’il le criait. Un petit air de truand, mais pas méchant. Pas rassurant pour autant. Mais ce mec, à ce moment il me file une drôle d’impression. Mais tout ce que je trouve à lui dire, c’est


Kess tu m’veux, mec ?



Il n’a pas l’air aussi bourré que moi. Il ne semble pas chercher pour autant à me faire partir. Au contraire, avec ses grosses mains - ou plutôt ses gros poings, il cherche à remonter ma veste, serrer ma chemise. Ca me secoue un peu, me fait dodeliner la tête et je me redresse un peu, lui faisant signe d’arrêter, les paumes levées.


Okay, okay, okay, okaaaaYyyyy.



A mon tour j’ajuste mon col un petit peu et je reprends. Pourquoi est-ce qu’il me pelote ce type ? Pour qui il se prend au juste ? Ensuite une possibilité éclaire la lanterne.


Okay. J’ai pigé. Ch’suis mignon et tout et j’admeeets. Oui, j’admets, que cette situation pourrait porter à confusion. Mais ch’suis pas ce genre de mec, bro. J’attends pas la nuit, pour me taper le premier venu dans le parc municipal. Hun,hun. Passe ton chemin.  



Je faisais signe que non avec l’index. Quoi vous ne connaissez pas cette légende urbaine ? On dit que tous les gays refoulés de la ville se retrouvent dans un parc au beau milieu de la nuit pour… et bien. J’imagine que j’ai pas besoin de vous faire un dessin. Franchement ça ne m’étonnerait pas que ce soit vrai.

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MessageSujet: Re: Something Better ft. James E. Collins    Something Better ft. James E. Collins  EmptyLun 21 Mar - 18:31




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LJe laissais mon corps suivre le mouvement de la balançoire en croisant les doigts et patientais toujours de voir quand est-ce qu’il décuverait pour de bon. Il avait une sale tête le con, mais en même temps, je me disais qu’à sa place, je n’aurais pas été mieux, voire pire en fait. Il avait dû fêter un truc random avec des amis et avait pas mal de difficulté à assumer que son alcoolémie dépassait de loin la norme. J’avais remarqué qu’il avait entrepris de refaire les gravillons du sol en y dessinant, je ne sais pas quoi avec ses chaussures. J’avais remarqué qu’il avait entrepris de refaire les gravillons du sol en y dessinant, je ne sais pas quoi avec ses chaussures. Je crois qu’il y avait son corps ici et ses pompes à 500 mètres vu son état. Il m’avait fixé comme si j’étais une stupide œuvre d’art ou alors je lui rappelais quelqu’un.Je ne savais pas vraiment si je devais me réjouir de ressembler à une de ses connaissances ou me sentir blaser de m’attendre à ce qu’il me compare à ladite personne. Ce que je pouvais te maudire à cet instant, foutue étoile divine, tu me refourguais un sacré cas merde. Ce que je pouvais te maudire à cet instant foutu étoile divine, tu me refourguais un sacré cas merde. J’avais bien capté que mon geste pour éviter qu’il se caille le cul l’avait fait un peu réagir, mais il me faisait quoi là ? Je ne lui avais pas braqué un flingue sur la tempe pour lui faire les poches, j’avais juste remis sa veste en place. J’avais vraiment une sale gueule si un simple geste lui faisait faire ça. Je devinais qu’avec ma tronche de tout sauf de porte-bonheur, j’étais relativement bizarre, mais quand même. Il m’avait repoussé dans mon action alors j’avais disons préféré pas insister, parce que si j’en venais aux mains ivres ou pas, il aurait souffert.

Je continuais de le fixer dans les yeux en me rappelant un collègue de celui qui avait été mon père quand j’étais plus jeune. Il y avait cette même brillance d’ivresse dans son regard, et même s’il me parlait, je crois qu’avec un traducteur, j’aurais été plus rapide. Son haleine, je la sentais tellement bien que ça me piquait les narines. Mec, il allait falloir que tu manges un truc, un laitage enfin quelque chose pour te virer cette odeur pestilentielle sinon j’allais virer rouge. Ce n’était pas contre lui, mais si c’était pour devoir m’occuper d’un gars comme s’il avait cinq ans, j’aurais préféré qu’il ne sente pas tout ce qu’il avait bu dans sa soirée. Son haleine, je la sentais tellement bien que ça me piquait les narines. J’arrêtais de déblatérer dans mon crâne cent sept ans sur son haleine et me reconcentrait sur sa surveillance. Non, parce que je n’allais pas me barrer après ce qu’il m’avait dit, mon humain devait être protégé et c’était à moi de la faire, même si j’avais eu une soudaine envie de me barrer chercher des clopes bien sûr. Il avait profité de la situation pour remettre lui-même sa chemise avant de me lancer une énorme connerie dans ses relents d’alcool bien désagréable en pleine face. Je ne le trouvais pas spécialement mignon et je n’en avais même rien à foutre de ça en fait. Je ne voulais pas me le farcir pour le dîner ou encore faire de lui mon clébard, juste lui protéger son cul. Enfin façon de parler vu qu’apriori me dire ça était mal choisi vu ce qu’il disait de moi. Passer mon chemin et puis quoi encore ? Je n’avais pas fait l’effort de ramener ma graisse jusqu’à lui et d’agir avec un minimum de gentillesse pour me faire renvoyer dans les cordes par ce mec. Je devais rester zen, frapper un homme ivre n’était pas du tout glorieux et encore moins très utile. Je serrais donc les poings pour contenir ma rage afin d’éviter de lui refaire le nez ou l’arcade avec ma main et soufflais. Je devais penser à quelque chose de calme, d’apaisant, de…oh et puis merde, j’étais énervé h24 donc c’était mort d’avance. Je sentais qu’il allait vite me gonfler ce gusse, mais comme bien évidemment ce n’était pas moi qui décidais, mais son altesse sérénissime dans le ciel, je devais ENCORE faire un effort.

Je le regardais agiter son index en lui soupirant à la tronche avant de finalement me lever pour sortir une cigarette. Ouais, j’en fumais une seconde alors que je m’étais moi-même stoppé bien avant. Malheureusement, il était assez lourd et cela allait m’évitait d’en venir aux mains avec lui. Il ne savait clairement pas la chance qu’il avait de me faire avoir autant de retenu. Il aurait été n’importe quel badaud du coin, ma main aurait déjà refait son visage à coup de droite. Pourtant, d’un air serein, j’allumais mon bâton de tabac à l’aide mon Zippo et le fixait de nouveau. Ce n’était qu’un air vu que dans mes entrailles une vraie guerre civile de colère, violence et rage s’activaient. Je voyais déjà la suite à trois kilomètres et ce que je redoutais se passait encore une fois. Mes bras, ainsi qu’une partie de mon visage commençaient à prendre une légère lueur bordeaux avant que plusieurs formes me lézardent la chair sans impunité. Ah, mais génial, en plus de penser que je voulais l’enfiler, il allait se demander si je n’étais pas branché sur une prise ou le fils caché d’un feu rouge. Personne ne restait neutre devant un tel spectacle, pas même un mec totalement bourré, à moitié débraillé sur une balançoire. Enfin, vu que je ne le regardais pas, maintenant de profil, je pouvais au moins cacher un peu ma face, sans pour autant voir ce qu’il faisait. Je me massais les tempes de ma main libre en repensant à ses mots passés. Il avait évoqué quelque chose que je n’avais pas réalisé sur le coup, il aimait les hommes ?! Hun, fait chier, j’avais vraiment récolté le gros lot. J’avais rien contre l’homosexualité, mais pour ma part, j’étais hétérosexuel et je ne voulais ni explorer son fondement ni qu’il explore le mien. Je n’étais clairement pas le roi des étreintes ou autres douceurs et ce n’était pas maintenant que j’allais commencer, surtout avec lui. Il fallait que je trouve une solution, sinon je me doutais que j’allais tourner en rond. Il fallait que je résonne ce mec éméché, lui fasse comprendre la situation et lui virer de la tête que j’en avais après ses fesses. Avec quelqu’un de sobre, la discussion aurait été simple, mais là, il n’avait pas dû m’écouter longuement. J’écrasais ma cigarette dans les gravillons avant de la ramasser, m’éloignais de quelque pas pour la jeter et revenait près de lui. Non, je n’étais pas un bobo écolo, mais il avait des enfants alors autant éviter qu’il tombe dessus. Les adultes, je n’en avais rien à foutre, mais ces petites têtes blondes souvent innocentes, il valait mieux les préserver de ce genre de saloperie

« Bon vu que tu as l’air d’avoir du mal à imprimer ce que je t’ai dit avant je vais recommencer. Je ne suis pas venu pour te draguer ou t’enfiler comme une vieille chaussette. Tu sais ce que sont les étoiles ? Parce que si ce n’est pas le cas, je vais me faire un plaisir de te l’expliquer. En somme, je suis comme toi sauf que moi, je viens du ciel de ce que je me rappelle. Je suis né dans la voie lactée et mon rôle est de te protéger toi, le gars qui penche que je veux lui refaire le cul. Je ne te trouve pas spécialement mignon et de toute façon, je préfère les femmes, maintenant ça serait possible de t’arracher deux trois mots audibles et sans odeur de bière ? »

Je me doutais qu’il devait bien comprendre la colère et la frustration qu’il me foutait à être aussi perché et inattentif. J’espérais ne pas être le seul à vouloir que cette situation totalement merdique, sans aucune logique et surtout sans réel dialogue change. J’avais envie de connaitre cet humain dont j’étais l’étoile que ce soit pour l’apprécier ou le haïr. Mon rôle restait quoi qu’il arrive de lui sauver la peau alors même si l’ivresse lui suffisait, il allait devoir se faire à ma présence qu’il le veuille ou non. C’était assez merdique, il n'y avait pas beaucoup de solutions, mais peut-être qu’une fois plus sobre, il serait plus bavard. Je me demandais si c’était une bonne ou une mauvaise chose au final, de confier une telle responsabilité à toutes les étoiles comme moi connaissant ou non leur pouvoir et leur nature. On nous mettait un sacré poids sur les épaules sans même nous demander notre avis. Condamné à protéger un être qui ne pouvait pas forcement croire en nous ou se fichait royalement de notre existence et de notre utilité. Je ne savais pas si je devais juger ce mec, il avait peut-être passé une soirée de merde. En tout cas, il allait me répondre, parce qu’on n’allait pas passer la soirée à se regarder dans le blanc des yeux sans s’écouter. J’étais même tenté d’aller lui chercher de la flotte pour qu’il se réhydrate et se nettoie la face, pour se réveiller, mais bon en attendant, je voulais sa réponse donc je n’allais pas bouger de là.


[HRP: James un peu en galère qui se demande la suite c'est comique x) ]
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MessageSujet: Re: Something Better ft. James E. Collins    Something Better ft. James E. Collins  EmptySam 26 Mar - 12:54

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Quelque chose de mieux. Quelque chose de plus profond. N’est ce pas ce que nous désirons tous ? N’est-ce pas ce que nous cherchons toute notre vie ? La pièce isolée qui viendra complétée le puzzle que ce soit un être aimé, une carrière rêvée, des enfants, etc… C’est ce que nous sommes des êtres constamment incomplets et insatisfaits. On se complaît dans cette éternelle insatisfaction, pour braver l’ennui ou encore l’inertie.

C’est une affirmation générale. Je ne peux pas dire que là, assis sur cette balançoire, je ne cherche après l’élément qui va combler ma vie. Non. Je cherche juste un peu de repos, un peu de calme, un peu de temps pour laisser mes reins, mon foie, bref, mon corps assimiler l’alcool qui s’attarde dans mon système sanguin. Et ce type, avec cette tête bizarre, qui vient limite m’agresser. Dans mon esprit embrumé je me dis que c’est logique, je veux dire, comme mon ex, tous ceux qui ont des cheveux blancs ont forcément un petit, non, gros problème quelque part.

Quand je lui explique la situation comme je peux, ce type, avec sa tête de truand se contente d’allumer sa cigarette. Je regarde le bâton incandescent avec un peu de dégoût. Je n’ai jamais vraiment aimé les fumeurs. Quelque chose chez eux.. l’odeur âcre de la fumée, la vieille odeur de cigarette...les dents jaunies. Et puis il faut dire que les fumeurs sont généralement des gens sales. Et puis à quoi ça sert de commencer à fumer à part faire le malin, faire le rebelle ou encore suivre les autres, avoir l’air cool. Très peu pour moi. D’ailleurs l’inconnu en question ne fait pas exception. Il écrase sa sale cigarette sur le sol, comme si la planète lui appartenait et qu’il pouvait décider d’en faire sa poubelle personnelle. Oui, l’arrogance des fumeurs aussi, un gros problème. Dégeulasse. Mais heureusement, ou pas, l’inconnu doit être un peu schizo ou bipolaire sur les bords vu qu’il la ramasse pour la jeter. Okay. Chelou. J’ai envie de dire : assume-toi mec, sois un gros dégueulasse ou respecte la planète mais pas les deux en même temps . Rien de pire qu’un indécis.

Mais j’ai pas le temps qu’il m’agresse de nouveau verbalement tout en poésie. Enfin ce qu’il dit n’est pas particulièrement agressif, tout est dans le ton et dans le regard. Pour le reste, il est juste vulgaire et un peu homophobe. J’entends ce qu’il me dit mais ça me semble….idiot. Si idiot que je baisse la tête, incapable de retenir un début de rire, à voix basse avant de franchement rigoler.

Ce mec ? Mon étoile ? Pitié j’en ai mal aux côtes. Et que je le rencontre, maintenant là tout de suite ? Hilarant.

Toutefois je finis par me calmer en poussant un soupir de soulagement, la main sur mon torse. C’était limite éprouvant de se marrer comme ça.

Okay, okay alors…. Ravi de te rencontrer heum… peu importe quel est ton nom. Mais comment dire….T’es trop tard. Et franchement, t’es pt’être mon étoile mais honnêtement… tu peux pas savoir à quel point j’m’en bats les c*uilles. Ahahaha !  

 

Je rigole un peu. C’est spontané, absolument pas maîtrisé.

Nan mais sérieusement. Si tu veux me protéger, arrête de fumer et trouve toi un nouveau but dans la vie. J’sais pas moi. Va insulter d’autres gens, éclate-toi. J’ai pas besoin de protection, je suis un grand garçon maintenant.



Ce n’est pas que j’ai pas envie d’apprendre à le connaître. C’est juste que là, il me fait pas trop envie. J’ai pas besoin d’étoile. Je ne laisse pas le destin me forcer la main. L’étoile divine peut dicter ses lois autant qu’elle veut, c’est mon choix de les ignorer. Et je suis prêt à en assumer les conséquences.


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James E. Collins
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MessageSujet: Re: Something Better ft. James E. Collins    Something Better ft. James E. Collins  EmptyVen 1 Avr - 18:34




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Moi qui allais lui rapporter de la flotte, là, j’avais surtout envie de lui carrer le verre dans le fion, en fait. Il se prenait pour qui à me parler comme au dernier des clochards ? Il se pensait fort, beau et élégant dans sa chemise débraillée, sa tignasse en vadrouille et son haleine plus chargée que jamais ? Il avait fallu que la personne que je protège ait un comportement plus débile que la moyenne. Il ne m’avait pas spécialement donné envie d’être courtois ou agréable, mais avec ce qu’il venait de me dire, j’avais encore moins envie de l’être. Il devait se penser très malin à faire son fanfaron devant moi sans réfléchir tellement l’alcool lui imbibait les neurones. Ou alors ignorait-il que nous avions tous un pouvoir, nous autres étoiles ? En tout cas, je tentais tant bien que mal de contenir mes envies de meurtres, sur ce sombre crétin. Si je le frappais maintenant, il n’allait vraiment pas me faire confiance, malgré tout une pensée me traversait l’esprit. Il voulait faire son rebelle, son petit solitaire, alors il allait se démerder. Je n’allais quand même pas me faire suer si monsieur ne voulait pas d’aide et préférait se débrouiller comme un grand. Je le fixais encore en m’étirant un peu dans des sons de craquement assez sonore. Il fallait dire que vu l’état de mon corps avec ou sans douleur, entendre ça n’avait rien d’étonnant. Bon, c’était tout de même anormal, mais j’avais autre chose à faire que consulter un vulgaire médecin.

Rien que me dire cela, me rappelait qu’il m’avait clairement dit de me trouver une autre vie et d’arrêter de fumer. Il était plein comme un tonneau de vin, donc très mal placé pour l’ouvrir là-dessus. Surtout qu’au contraire de lui, moi, je tenais la route. Il m’échauffait plus que légèrement les nerfs sincèrement. Il avait cette tronche agaçante, ce rire en mode, je me fous royalement de ta gueule et un discours tout sauf agréable. L’étoile divine, où elle se trouvait, n’allait pas pouvoir le sauver et comme il ne voulait pas non que je le fasse, le ménager n’était pas une option. On ménage un gamin quand il chiale parce qu’il pense avoir une connerie, ou encore un petit chaton après qu’il ait fait tomber un truc, pas ce genre de mec. Plus je me questionnais sur la suite, plus mon envie de devenir violent ou agressif comme il n’allait pas de me qualifier, continuait de monter lentement. Il savait qu’on ne devait pas mettre le feu aux poudres ou était-il simplement très con quand il était ivre ? Il avait un air de drogué, d’ivrogne et faisait vraiment pitié. Ouais, je n’avais pas envie d’être sympa avec un trou du cul pareil, même si c’était mon humain. Il me rappelait un abruti de voisin que nous avions quand j’étais plus jeune, le genre de mec qui se prenait pour le juge de n’importe qui et pétait plus haut que son derche. Hors, il avait fini par prendre ma main dans la face, un début d’après-midi sans autre forme de procès. Bizarrement, par la suite, il était beaucoup moins grande gueule. La question restait de savoir si j’allais m’abaisser à loger mon poing dans la tronche d’un mec bourré. Oh puis merde, il avait déjà l’air d’un con, au moins ça lui ferait peut-être la fermer un peu. Je venais donc lui mettre mon poing en pleine poire sans prévenir avant de reculer d’un pas.

« En attendant le grand garçon, il joue tellement au con qu’il en devient lui-même un abruti. Si tu veux jouer au roi des connards, jouons donc, mais je sais pertinemment que de nous deux, celui qui repartira sur ses deux jambes en entier ça ne sera pas toi. Arrête de jouer au malin avec moi, tu ne sais rien des étoiles, on dirait. Et tu sais, ce n’est pas en me lançant que je dois trouver un nouveau but dans ma vie, avec ta face de poivrot, que ça va m’affecter. Je n’ai pas besoin, au contraire de toi, de me mettre une race pour me sentir avoir des couilles. Reparle-moi encore une fois mal et je jure que tu vas roter du sang, humain ou pas, l’étoile divine ne va pas m’empêcher de te faire comprendre les choses à coup-de-poing si besoin. Et tu as l'air d'en avoir besoin. »

Il n’y avait rien à ajouter au final. Il voulait être désagréable, piquant et totalement nonchalant, bah, j’allais ne pas me gêner pour être pire. Il y avait des étoiles sympathiques, d’autres compressives même avec les cons, mais je n’étais ni l’un ni l’autre. Même si on devait en venir aux mains, pour qu'il redescende sur terre et me parle correctement, soit, je n'allais pas me contenir pour sa petite gueule de con.


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