Botan ne sait pas qu'il est une étoile ; et un homme aussi ; mais il le vit très bien ; Il est du genre passionné-e dans tout ce qu'il entreprend ; il adore les jeux vidéos, mangas, séries et tout ce qui existe d'amusant sur cette planète ; du coup Botan enchaîne souvent les nuits blanches ; Il à toujours l'air blasé et fatigué ; même si c'est pas parce qu'il ne dort pas beaucoup ; d'ailleurs il fait des insomnies ; alors c'est pour ça qu'il joue beaucoup la nuit.
Il est plutôt du genre silencieux-se ; même que des fois, les gens pense que Botan est muet-te ; c'est qu'en vrai il cache beaucoup de chose ; dont il ne veut pas penser ; dont il ne veut pas parler ; mais après au final lorsqu'il ouvre la bouche c'est pour sortir des propos sarcastique ou orgueilleux ; parce que Botan est parfois quelqu'un d'assez agressif-ve et ingrat-e ; Pourtant il n'en reste pas moi immature, ce qui s'allie parfaitement avec sa maladresse quasi-constante ; En fait, l'étoile à part moment le sang plutôt chaud ; du coup il se bagarre assez souvent parce qu'il est un brin susceptibilité; alors il rentre souvent blessé chez lui ; ce qui à le don d’inquiéter ses parents.
Sinon, même si il est immature Botan est intelligent-e ; enfin pas totalement ; ça dépend des moments ; Mais en gros, comme il a travaillé à la CIA ; c'est pas trop n'importe quoi ; En fait il est vachement lunatique ; vachement bizarre ; car même si il a le sang chaud, qu'il est susceptible ; bah des fois il est vachement calme ; genre d'habitude il aurait pété un câble ; sauf que là il s'en fou ; comme si il pensait à autre chose à ce moment, voyez ?
Mais il n'en reste pas moins une personne sympathique; même si ce n'est pas tout le temps ; du moins avec les inconnus ; C'est une personne sur qui on peut toujours compter ; à qui on peut tout confier ; Même si il ne le montre pas ; Botan aime beaucoup s'amuser ; c'est quelqu'un de curieux qui aime passer du bon temps et découvrir de nouvelles choses ; Malheureusement, il est plutôt faible d'esprit ; agit un peu comme un mouton pour se faire une place ; il n’apprécie pas vraiment la solitude ; alors avidement, il lui arrive de mal agir et de fréquenter les mauvaises personnes ; et cela depuis son enfance.
Par moment, il arrive que l'étoile divine envoie sur Terre une étoile. Malheureusement, par moment, les envois habituels ne semble pas être à son goût. Oui, lorsque ce fut ton tour, Botan, tu n'étais pas ce que tu devais vraiment être. Toi, cette étoile qui était censée apparaître sous forme masculine. Toi, ayant cette capacité de pouvoir changer de sexe à volonté. Il avait fallut que l'étoile divine pimente un peu ta vie. Avec dirait-on, une dose d'humour.
Tu avais cette petite apparence frêle, celle d'une adorable enfant de quatre ans. Tu étais atterris à quelques kilomètres d'Hoshikami, près de la plage en plein milieu de la nuit. Un jeune couple était alors sur la plage à s'amuser et ils t'avaient trouvé. Toi cette mignonne petit fille, sans le moindre souvenir.
Eux qui ne pouvaient pas avoir d'enfant, qui n'arrivaient pas à t'abandonner avec ton visage d'ange. Ils avaient attendus, cherchés, t'avaient gardés pendant plusieurs mois espérant trouver tes parents. Mais rien. Rien n'arriva. Car rien ne pouvait arriver. Alors ils avaient choisis de t'adopter. Toi la petite étoile. Toi qui ne savais rien, Botan Watanabe.
Plus tu grandissais, plus tu devenais un garçon manqué. Tu n'aimais pas tes cheveux longs, tu n'aimais pas les jupes et les robes. Tu aimais bien te bagarrer et jouer aux foot, les histoires de demoiselle ne t’intéressaient aucunement. [je sais ça fait un peu cliché. Mais moi j'me bats si vous êtes pas content] Ce n'était pas quelque chose qui enchantaient tes parents adoptifs, tu revenais souvent blessé avec tes habits déchirés et crasseux. Tu ne traînais que très peu avec les filles de ton âge, préférant sans cesse te retrouver avec la gente masculine.
Mais malgré tout tes débordements et ta jeune rébellion d'adolescent, tu n'étais pas à plaindre scolairement parlant. Du moins, principalement grâce au sport et aux langues. Cependant, aussi surprenant que cela semblait-être avec toutes tes actions que l'on aurait pu considérées comme mauvaise. Tu avais cette envie de rejoindre la police. C'était quelque chose qui te passionnais, sûrement avec toutes ses séries et films que tu regardais.
Et rapidement, on te présente ce que ta nation t'offrais. Ces mangas, ces jeux vidéo ; toutes ces choses que tes parents t'empêchaient de rencontrer par peur que cela affecte ton devenir. Et ils avaient bien eu raison. Ce nouvel horizon, les mauvaises fréquentations te transformèrent en véritable cancre, jusqu'à même commencer à sécher les cours. Tu étais quelqu'un de fragile, qui cherchait toujours à se faire une place, qui suivait les plus intéressant pour en devenir un à ton tour.
Évidemment, il y avait eu cet ultimatum que tu avais simplement violé. Plusieurs fois, par ailleurs. C'était une chose qui t'amusais, toi qui pourtant te vouais à la justice. Tu t'étais fait une place que tu souhaitais garder, quitte à ce que cela te ruine totalement ton avenir. Mais tes parents l'avaient vue venir. C'est pour cela qu'ils t'avaient posé un ultimatum, parce qu'ils savaient que tu allais vouloir le surpasser.
Ainsi tu n’eus pas le choix. Une fois le lycée terminé, ils t'envoyèrent terminer tes études aux États-Unis. Tu y continuerais tes études, te remettrais dans le droit chemin. C'est ce qu'ils pensaient.
Et c'est ce qui arriva.
L'Amérique était totalement différent du Japon. Tu t'y sentais à l'aise, l'anglais étant d'ailleurs la langue que tu appréciais le plus parmi ton petit bagage. Tes parents te connaissaient bien, ils ne t'avaient pas envoyé en Amérique pour rien. Après tout, c'était un pays qui était aussi bien développé dans les jeux vidéo, et c'était de là que provenait la plus part des séries que tu aimais regarder. Au final, cette punition n'en était pas vraiment une. Mais tu avais compris où tes parents avaient voulu en venir.
Là-bas, dans ta vingtaine tu trouvas l'homme avec qui tu pensais finir ta vie. Chacun de vous terminais ses études, enchaînant des petits boulots pour éviter de profiter de la gentillesse de vos parents. Tout cela assez longtemps pour que tu obtiennes la nationalité Américaine. Vous viviez ensemble, cherchant l'indépendance de vos proches. Malheureusement, cet homme n'était pas l'âme sœur qui t'étais destiné. Toi, l'étoile ignorée.
Sept ans plus tard, alors qu'avant vous étiez dans l'optique de vous marier. Vous avez finalement arrêté de vous fréquentez. Toi qui avait tout juste commencé de travailler à la CIA. Pour diverses raisons tu avais du quitter ce métier que tu avais tant adulé étant jeune. Plus rien n'allait entre ta démission et ta rupture. Tes chers parents, ayant conscience de ton état actuel et de ta faible mentalité te proposèrent de revenir aux sources. Chose que tu acceptas.
Parce qu'après tout, tes parents t'avaient manqué depuis tout ce temps. Surtout parce que tu ne revenais que très rarement au Japon. C'était quelque chose que tu n'aimais pas vraiment. Mais c'était en quelque sorte la seule punition que tu avais trouvé pour eux. Parce que tu sentais qu'ils te cachaient quelque chose, mais tu ignorais de quoi il s'agissait. Tu ignorais que tu n'étais pas leur enfant, toi l'ignorante étoile. Ils n'avaient pas voulu te le dire, de peur que cela te détruise.
Toi qui avait tant vécu en Amérique, tu te devais de revenir aux optiques japonaises. Là encore, ce n'était pas vraiment quelque chose qui t'avais manqué. Mais tu devais faire avec. Trouver un travail, continuer la vie que tu avais laissé tomber aux États-Unis. Toi avec ton curriculum vitae pour le moins charmant, tu accomplis une seconde fois ton rêve d'enfant : rejoindre la première division d'enquête. Ce n'était pas aussi charmant que la CIA, mais tu devais faire avec. Oui et cela serait peut-être aussi amusant. Le temps passe lentement, sans que les choses changes vraiment. Et au fond, c'était tant mieux.
Surtout qu'en vrai Botan, tu ne sais strictement rien sur ta personne. Sur tes origines. Tous ce que tu penses être vrai n'est que pur mensonge. Et il faut juste espérer que tu ne découvre jamais cette triste vérité.