Messages : 4 Date d'inscription : 20/05/2016 Age : 24 Avatar : Takenaka 329793 — dahliart.jp
| Sujet: Fiche récapitulative de Lila BLACK [à compléter davantage si nécessaire] Ven 20 Mai - 21:30 | |
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Nom — Black Prénom — Lila Âge — 15 ans Sexe — féminin Race — humaine Nationalité — anglaise Occupation — lycéenne Orientation sexuelle — hétérosexuelle
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physique De taille plutôt courte pour son âge — 1m 62 ; d'une masse légère — 0,45 newton ; corps très mince dans tout son ensemble, sans rondeur ou peu ; peau de teint diaphane ; visage en forme d'ampoule ; sourcils assez peu marqués par leur couleur davantage plus claire que celle de ses cheveux, sont très bien tracés ; doux regard brillant et d'un violet améthyste, ne porte aucun accessoire nécessaire à sa vue n'en ayant pas besoin ; petit nez fin et droit ; lèvres rosées et plutôt pulpeuses ; cheveux fins et noirs, souvent attachés en un chignon mal-fait, ce qui laisse rarement paraître leur longueur allant jusqu'au milieu de son dos ainsi que leur nature lisse, voire raide – frange droite lui permettant de cacher son front ; ce qui habille son corps, ce sont ses propres vêtements qu'elle confectionne elle-même à l'aide de son fidèle calepin et de son crayon à papier — inséparables ! — des tissus qu'elle trouve ou achète en grande surface, de ses ciseaux et enfin de ses aiguilles et fils ainsi que machine à coudre. Le résultat est surprenant de par la qualité des produits qu'elle se crée : un jean noir, un débardeur blanc-cassé et une veste rouge tomate. Tout ce qui est chaussure et sous-vêtements, son père les lui achète. En parlant chaussure, elle porte toujours ses vieilles converses grises datant de ses 13 ans qui lui vont toujours, ayant de petits pieds.
Détails : elle porte en elle le gène d'Alexandria lui permettant d'avoir cette teinte violette au niveau de ses iris ; d'avoir peu de pilosité (sauf aux sourcils, cils et cheveux) ainsi que cette pâleur tout comme le fait qu'elle ne puisse bronzer même au soleil. caractère Lila est une personne qui préfère de loin rester secrète et réservée sur ses sentiments, tout comme dans ses actes. Discrète au point d'en devenir quelqu'un de mystérieux, elle aime l'inconnu et l'étrange, ce qui fait d'elle une passionnée du paranormal et du surnaturel. C'est également une fille indépendante qui aime prendre des risques et qui a un goût prononcé pour l'aventure. Malgré cela, Lila reste une adolescente autant intéressée par la méditation et la réflexion que par l'action, ainsi sa priorité dépend du moment et de la situation. Lila ne souffre en aucun cas d'un quelconque manque de confiance en soi, ce qui lui ouvre de nombreuses portes et par extension de nombreux champs d'actions. Elle aime particulièrement la philosophie et les débats d'idées, notamment les sujets controversés. Côté carrière, elle est dans une optique afin de devenir inventrice depuis son enfance où elle créait d'ores et déjà des petits objets ingénieux à partir de trois fois rien.
Si Lila est casse-cou et ne se fait jamais du mourrons pour elle-même, elle n'en reste pas moins quelqu'un de sensible et de particulièrement axée sur les émotions, bien qu'elle le cache. Elle accepte parfaitement les critiques sur ce qu'elle entreprend, sur ses actions et sur ses créations, mais s'il s'agit de sa manière d'être ou de s'habiller, son comportement auparavant calme prendra une tout autre tournure, étant de nature susceptible. Si Lila est calme et érudit, elle cache cependant bien son côté rebelle qui croise les bras et répond à ceux qui tente de lui faire la morale ou encore de la dissuader d'entreprendre quelque chose d'inutile ou de dangereux. Lila ne manque jamais ou très rarement d'arguments. Elle est têtue, bornée et ne se laisse jamais marcher sur les pieds. Asociale sans pour autant être totalement isolée de tous — les débats d'idées étant d'uniques exceptions à sa vie d'ermite — elle préfère de loin sa chambre au monde extérieur qui l'entoure. Il y a un seul moment de la journée où elle accepte de sortir, c'est lorsque l'obscurité est à son comble, quand le ciel s'assombrit et que les rues sont désertes (du moins, paraissent l'être). Si cette jeune fille sort parfois la nuit, c'est avant tout pour se dégourdir les jambes et respirer l'air frai, mais également pour effectuer tranquillement sa sortie nocturne quotidienne, comme elle le fait depuis ces deux dernières années.
En plus d'aimer bricoler et débattre, Lila aime aussi s'instruire (elle a pour objectif d'acquérir la science-infuse), en apprendre toujours plus sur sa famille et les antécédents du côté de sa mère. Son arrière-grand-mère Rosa, sa grand-mère Violet et enfin sa vieille tante Iris. Enfin, vieille… tout est relatif. Ce qu'elle déteste en revanche, c'est de tomber malade ainsi que le quotidien. Surtout le quotidien. Il n'y a rien de pire pour elle que de revivre la même chose à chaque fois, et pire encore ! Il est davantage plus horrible de s'ennuyer à ne rien faire. histoire Hello, moi c'est Lila. Comme vous devez déjà tout savoir sur moi sauf mon histoire, je vais vous la raconter. Tout a littéralement commencé lorsque j'avais à peine un mois et que ma mère n'était même pas encore au courant de ma naissance et encore moins mon père, bref : personne ne savait que j'existais. Je ne vais pas plus en arrière, vous connaissez déjà sûrement la méthode de conception d'un petit être tel que je le fus lorsque je sortis la tête la première du vagin de la vie. Continuons… C'est uniquement vers le premier mois de grossesse que ma mère appris par ma tante Iris, qui avait accouru et s'était précipitée ce jour-là dans la cuisine, afin de joyeusement lui annoncer qu'elle était enceinte de moi… enfin, de papa… vous m'avez compris, quoi. Comment elle avait fait pour le savoir avant elle ? Disons que que tante Iris était voyante, une vraie, et c'était fort pratique. Et c'est là où tout à commencé pour mes parents, puis pour moi. Tandis qu'ils fantasmaient sur le bébé que j'allais être, j'étais recroquevillée en boule dans le ventre de ma maman, qui, huit mois après mon apparition dans sa vie, lors de l'accouchement, mourra alors que j'étais encore entre ses entrailles. Césarienne, bébé qui pleure – moi en l’occurrence – et père effondré. Tout cela s'est passé très vite à ce qu'on m'a dit, et on a eu le temps de rien voir passer si ce n'est ma p'tite bouille d'ange. J'étais née le jour d'Halloween, ça annonçait déjà la couleur.
Les jours, les mois, les années passèrent… et je grandissais à vue d’œil. Enfin, pas trop non plus puisque je restais toujours plus petite comparé à mes camarades. Toujours une tête de moins que les autres, comme une certaine marge… une vraie plaie. Mon père, lui, s'était reconstruit au fur et à mesure sans pour autant se diriger vers d'autres femmes, étant toujours resté fidèle à son amour envers mummy. Déjà à l'époque de mon « moi bébé », j'aimais construire et fabriquer (avec des légos, bien entendu) et je dessinais… bon, pas « divinement bien » mais je dessinais quand même ! Plus tard, étant enfant, je faisais des mélanges très douteux avec tout ce qui me passait sous la main (sève d'arbre ou de végétaux, pétales de fleurs, baies de Belladone, feuilles desséchées, le tout écrabouillé ou encore noyé dans de l'eau bouillante afin d'en faire une contenu odorant, et pourquoi pas, avec des vertus). Pour terminer, il y avait encore de ça un ou deux ans, je me complaisais à effectuer des mélanges scientifique en cours de chimie au collège. Rien de bien extravagant, mais c'était déjà un début pour moi dans le monde du danger et des risques — risques que tout explose. Tous ces intérêts me menèrent progressivement à penser à une éventuelle carrière dans la réflexion et conception de choses nouvelles.
Ce que daddy a eut du mal à supporter, c'était ma ressemblance fulgurante avec lui-même au lieu de ressembler à ma mère. J'avais tout ce lui, sauf ses yeux. Mes yeux violets, je les tenais de ma mère qui m'a elle-même transmis de gène d'Alexandria. Mais petit à petit, il a fini par accepté le fait que j'étais comme lui, bien qu'il puisse toujours me gronder lorsque je fais des choses trop dangereuses ou inconsidérées… Par exemple, vous ai-je raconté la fois, où, désireuse d'échapper aux terrible cours d'anglais de Mme. Rights, je décida de m'échapper subtilement par la fenêtre de la salle de classe afin de rejoindre le toit situé un mètre plus bas de la fenêtre pour ensuite rejoindre le sol et rentrer chez moi ?
Quoi qu'il en soit, à la fin de mon année de troisième au sein de mon petit collège anglais, daddy a décidé de déménager afin de quitter le manoir familial qui nous revenait trop cher en chauffage et qui nous imposait trop de temps pour être nettoyé. Nous voilà donc parti en direction de la capitale du Japon. AU JAPON ?! Pourquoi aussi loin ? Avais-je demandé à daddy lorsqu'il m'emmena à l'aéroport. Déjà, pour commencer, je n'étais pas vraiment d'accord pour abandonner la manoir, ma famille ainsi que tout ce que j'avais accomplis ici depuis tout ce temps. Certes, je n'avais pas d'amis, mais tout de même ! Ce fut alors avec un lourd déchirement au cœur que je du quitter Londres pour rejoindre un coin pommé du globe terrestre : l'archipel nippon. Je m'imaginais déjà les événements à la suite de notre arrivée — appartement pourris avec pas ou peu de place pour y ranger tout mon bric-à-brac d'inventrice méconnue, une ville vivante même de nuit, des voisins insupportables faisant partie d'une populations avec les yeux à moitié clos et un dialecte étrange (mais qui ne m'est pas inconnu, je suis multilingue : français, anglais, japonais, chinois, italiens et espagnol, ces langues-là me connaissent bien !). Et bingo, on a eu droit à tout ça. C'était plus qu'agaçant de se dire qu'on venait de troquer notre belle demeure pour un endroit miteux à souhait. Enfin, au moins, j'ai eu le droit d'apporter mes quatre valises remplis de tout ce que contenait sa chambre avec moi, mais la moitié des objets créés par mes soins se sont abîmé durant le voyage Londres-Japon. Super, de la réparation…
Mais mes malheurs ne s'arrêtèrent pas là, croyez-moi, et mon père eut la délicatesse de m'annoncer qu'il avait trouvé une école qui voulait bien de moi… sur une île parente à celle du Japon. « Hoshikami ». Je serai donc seule, avec mes quatre pauvres valises dont le contenu était à réparer en quasi-totalité étant donné que le voyage les avait sacrément amochées. Seule ? Oui, seule « comme une grande » disait mon père. Lui, il allait rester ici, à Tokyo, pour son travail, soi-disant car le lieu était propice pour apprendre à maîtriser de nouveaux aspects architecturaux, ce que je conçois bien. Moi, pendant ce temps, je serai… là. Oui, ici. Dans ce merveilleux endroit perdu que j'imaginais déjà barbant et nul au possible, Hoshikami. Appartement personnel, colocation ou pensionnat, on en savait rien pour le moment, mais j'étais déjà inscrite au lycée, en première année. Et c'est ainsi que je suis retrouvée et me retrouve encore ici, finalement en appartement, seule. Mon daddy étant assez disons… « aisé » au niveau argent, il a réussit à me payer de quoi avoir un logement – certes petit – mais au moins, il était à moi seule et j'allais pouvoir y exposer tout mon savoir-faire en matière d'invention. Machin-chouette en tout genre (la plupart étant des mini-robots mécaniques), bocaux contenant des liquides divers, plans et schémas… bref, tout un tas de trucs.
Et voilà donc où j'en suis, c'était-là mon histoire jusque dans ses moindres détails… les plus utiles comme les plus absurdes. A présent je vous laisse, je dois finir mon ébauche de plan afin de tenter de construire une machine à voyager dans le temps.
Pseudo — (aucun) Vous; en cinq mots — calme, sérieuse, sensible, susceptible, joueuse Personnage sur l'avatar — Takenaka 329793 / dahliart.jp Comment avez-vous découvert le forum — par une amie Présence ( /7) — ?/7 Pedobear ou bisounours — Bisounours |
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https://hoshikami.forumactif.org |
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| Sujet: Re: Fiche récapitulative de Lila BLACK [à compléter davantage si nécessaire] Sam 21 Mai - 10:31 | |
| Kiku Shima — Contente qu'elle te plaise et de ne pas t'avoir déçu. Merci de ton accueil !
Oksana Andreïev — Merci de même pour ton accueil ! — Je ne connaissais que brièvement ce gène, jusqu'à que je m'y intéresse davantage lors de la création de mon personnage... Je lui voulais des yeux singuliers et dont la couleur n'était pas factice (ni lentilles de couleurs, ni chirurgie). Si cela t'intéresse vraiment, voici quelques informations supplémentaires : Le gène d'Alexandria est rare, voire légendaire, mythique. Est-ce qu'il existe véritablement ou non ? Mystère. Rien n'a été prouvé scientifiquement. Apparemment, en plus de colorer l'iris des nourrissons d'environ 6 mois en violets, il prolongerait la vie de son détenteur, lui permettrait d'avoir peu ou pas de pilosité (hormis au niveau du visage) ainsi qu'une peau pâle qui ne bronze jamais au soleil. |
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| Sujet: Re: Fiche récapitulative de Lila BLACK [à compléter davantage si nécessaire] Sam 21 Mai - 16:41 | |
| Fenrir Abe — C'est bien ce qu'il me semblait. L'existence de ce gène me semblait un peu trop tiré par les cheveux... Merci pour les informations supplémentaires que tu as apporté. Quoi qu'il en soit, merci de ton accueil. Je suis contente que mon personnage te plaise et ce sera avec plaisir que je figurerai dans ton équipe.
Starless — Merci d'avoir validé ma présentation. Aucun problème du côté du gène, je comptais uniquement l'appliquer pour la couleur de l'iris, rien de plus. Elle vivra aussi longtemps que la vie le lui permettra sans pour autant tomber dans l'excès, c'est promis. |
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