Here comes spideyyy - No i'm not spiderman [done]

couleur des yeux — D'un orangé étrange, un peu comme le soleil. N'ayez pas peur, il lui pousse parfois des yeux sur le front; bah quoi ? c't'une araignée. -Ce ne sont pas des yeux humains, mais bien des quenelles rouges d'araignée. ; couleur des cheveux — Noir, lécher naturellement vers l'arrière. Parsque oui, ça existe ça, ''lécher naturellement''. Agrémenter de nombreuses mèches rouge. ; taille — Deux mètres et un centimètre. Il est plutôt gigantesque l'petiot. ; poids — Donnée non répertoriée. ; tatouages ou piercings — Si l'on peut compter ses marquages naturelles comme des tatouages ? C'est un être haut en couleur ! ; cicatrices — Quelques-une, par-ci, par-là. Stupidité de jeunesse. ; style vestimentaire — Des fringues ? Kézaco ?

Plus sérieusement les loupiots, ce n'est pas comme si cet être pouvait être aussi simplement décrit. Parsque déjà, il a l'air monstrueux. Pourquoi me demandez vous ? La réponse est simple... Mec t'as déjà vue un type avec six bras se balader dans les rues ? Non ? Bah voilà. C'est pas casse-cul, six bras plus deux jambes, ça donne combien ? Huit. Devine quelle bestiole possède huit pattes ? Bawéh, une araignée pardi. Tu sais être brillant, ma foi, tu devais avoir d'bonnes notes à l'école.

Sans être totalement svelte, t'es muscle sont bien dessiner, mon petit Vhaal. T'as de la gueule pour un étrange bestiaux. Mais pour en être un, tu l'est. Tu n'as pas besoin de vêtements, au contraire. Partant du bassin, tes jambes sont typiquement... Monstrueuses ? Recouvertes d'un duvet délicat arborant une myriade de couleur peignant ce fond noir, ce sont des griffes qui en ornent la pointe. Après tout, tu n'est pas vraiment humain, n'est-ce pas ? Et que dire de tes bras ! Certes, tu sais en diminuer le nombre à deux, voir même leurs donner un air humanoïde mais... Mh. Ça s'arrête un peu là. La maîtrise de ton corps est cependant parfaite; Autant sous ta forme totale que partielle.

Mais cela ne t'empêche point d'être un homme au charme animal. Ton sourire carnassier en témoigne, agrémenter d'un doux regard. Regard dont le dessous semble être marquer par deux tâches rouge. La question étant; mais qu'elle type d'araignée es-tu donc pour posséder autant de couleurs ?

Tien, d'ailleurs. Pour expliquer rapidement la partie ''vêtements''... Vhaal est un sauvage. Rares seront les moments où il sera vêtu, car ce dernier peu... Comment dire. Couvrir ses parties génitales sous sa carapace duveteuse ? Donc, oui, techniquement il se promène tout nu. La majorité du temps.

Click here; Son full body en partielle, lorsqu'il était adolescent. [Parsqu'une image vaux mille mots.]

Nom du pouvoir — Spider boy.
Description du pouvoir — Tu n'est pas humain, de but en blanc. Personne ne pourrais te considérer comme tel après t'avoir vue, même en tentant de te camoufler. Ton physique est partiellement celui d'un monstre. En tant que tel, tu n'est pas considérer comme un ''hybride araignée'', mais plutôt comme un simple monstre. Capable de créer une toile solide et collante, grimper aux murs du simple bout de tes doigts, transformer partiellement ou entièrement ton corps, ce sont toutes des possibilités que tu possède. Mais ça ne te rend pas invincible. Une simple gifle te fera du mal. Alors que dit-on d'un coup de poing ? Certes, vue à quel point t'es du genre casse-gueule, ton endurance est plutôt bonne, mais à la limite du raisonnable.

C'est un maniaque. Maniaque de quoi ? Maniaque de fleurs. Il les sent, il les mange, il dort dedans. Alors ne soyez jamais surpris si vous trouvez un intrus, étendu comme une carpette dans vos bandes. Sauvage de nature, c'est un être qui ne correspond sûrement pas à la bonne année. Il ne connaît pas la technologie, ayant grandit dans les bois. Pour lui, un avion, c'est un oiseau géant. N'ayant jamais approché la ville jusqu'à tout récemment, Vhaal n'avait aucune notion du monde réel.

Bestial en sois, c'est un jeune homme au dialecte cru et sans détour, qui manque cruellement de politesse. Et de pudeur. Recueillit par des prêtres reclus, c'est une vie... Étrange qu'il a vécu. Beaucoup de notions sont manquantes dans la vie du loupiot, mais ce n'est pas ce qui lui nuis. Au contraire ! Ayant été tenu aussi loin de toute impureté, comme disaient les prêtres, c'est un jeune homme au coeur bon. Ou tout du moins, c'était ce qu'ils pensaient. Lui tenant à coeur cette notion de pureté qu'on lui avait enseigné, il dédaigne quelque peu les inconnus, voir même beaucoup trop.

Plutôt innocent en son genre, il est souriant et, malgré ses vingt-trois ans, agit encore parfois comme un enfant. Joueur et taquin, c'est un adulte qui semble emmener la bonne humeur là où il va. Mais une fois sortie de son immense territoire que sont les bois, c'est un changement drastique qu'il subit. Sauvage, animal, il craint le monde extérieur et s'en méfie, incertain. Il semble avoir beaucoup à apprendre.

Mais faut pas se méprendre. Il est certes un peu niais et innocent, mais il reste un être vivant -si les étoiles peuvent être considérées comme telles-. Notre spiderman a aussi ses mauvais côtés.

Ô petite étoile. Tu n'as que de vagues souvenirs de ton temps dans ce vaste ciel étoilé. Tout était noir, tu regardais de loin cette petite planète bleu. Elle était belle. Et elle, au moins, pouvait profiter de la clarté de cet astre géant et lumineux. Chose que toi, tu n'avais pas. Tu te souviens avoir vaguement eu un temps d'arrêt, puis tout était devenu noir. Combien de secondes étaient passées ? De minutes, d'heures, de semaines... D'années ? Puis finalement, tu avais redécouvert le monde. La première chose que tu avais vue était... Attend, c'était quoi ? Une personne, bien entendu. Il parlait dans un langage que tu ne connaissais point mais que, bien entendu, tu as finis par apprendre avec le temps. Même si tu n'est pas forcément à l'aise avec.

Il parlait en anglais. C'était un américain. Apparemment non surpris de t'avoir trouver là, ce dernier t'avais simplement recueillis, toi, du haut de tes cinq ans... Et de ton apparence étrange. Il était plus qu'évident que tu étais une étoile. Mais ton périple dans les montagnes, juché dans les bras de cet homme, n'avait été que de courte duré. C'est finalement avec quelques paroles que tu ne comprenait point qu'il te laissa au pas d'un temple, avant de partir. Abandonné, tu t'étais contenté de regarder sa stature s'éloigner sur le sentier.

Tu avais désormais une dizaine d'années. Petite bête sauvage que tu étais, tu avais encore du mal à assimiler le langage des prêtres qui t'avais recueillis. Et ce, sans compter le fait que tu refusais catégoriquement de te plié à leur volonté. Au fil du temps, ils avaient abandonnés, non par manque de volonté, mais simplement parsqu'ils s'étaient rendu à l'évidence; Vhaal n'était pas né pour être éduqué à leur façon. Et ce, peu importe la façon dont ils tentaient de s'y prendre.

À quinze ans, tu n'étais plus l'équivalent que d'un animal qui revenait de temps en temps à la maison. Malgré l'inquiétude des hommes qui t'avais élevé, ceux-ci ne semblaient pas plus contrariés par l'attitude bestiale de leur protéger; après tout, ce dernier semblait plus apte à se débrouiller que quiconque d'autre. Mais une chose contrariait toujours l'un d'eux. Vivre ainsi coupait totalement Vhaal du véritable monde, duquel il n'avait aucune notion. À un point où ce dernier en était même à fuir les visiteurs. C'était attristé que tes «pères» t'avais finalement invité à leur côté pour discuter avec toi.

Ô, l'idée ne t'avais pas plus. Tu avais longuement rouspéter, râler. Tu avais même un peu chialer, aussi dignement qu'un gamin. Mais finalement, ils t'avaient fait compris une chose; Tu ne pourrais pas passer ta vie entière comme un ermite dans les bois, tu te devais de découvrir ce bas monde pleins de richesse et de découvertes. Que tu t'y ferais sûrement des amis. Et qui sais, peut-être leur reviendrait-tu un jour en homme changé ?

Malgré la bourse d'argent qu'ils t'avaient remis et les vêtements, les adieux que tu leur avaient fait... Tu n'avais pas obéis, encore une fois. Tu pouvais très bien te démerder par toi-même dans les bois, sans problème. Après voir jeté les vêtements, que tu jugeais inutile, ne resta qu'une simple cape verte, bout de tissu qui eut la vie rude et qui pourtant, faisait toujours l'affaire malgré les années passées. Tu t'étais esquivé comme le sauvage que tu étais dans cette forêt que tu connaissais comme ta poche -poche que tu n'avais jamais eu, ceci dit-.

À vingt ans, la solitude commençait à ravagée ton esprit. Peut-être devenais-tu fou ? C'était une option. Mais tu savais que tu ne pourrais pas faire face aux prêtres. Plus le temps passait et plus tu réalisais par toi-même que ta curiosité naturelle te poussait à te rapprocher de la ville. Elle t'intéressait, mine de rien. Plus le temps passait et plus tu envisageais d'y faire un tour. Juste un petit, pas très longtemps... Finalement, tu atteignais tes vingt-et-trois ans. C'était la journée de ton anniversaire. Peut-être ? Tu ne t'en souvenais plus, mais tu pensais. Tu te tenais debout, à l'orée de la ville, un peu plus loin de la route. Nerveux que tu étais, les bâtiments te donnaient le tournis. Toi et tes quelques notions données à la vite du monde... Tu devais te démerder comme un grand maintenant, non ?