Messages : 149 Date d'inscription : 28/12/2015 Age : 25 Avatar : human luna - sailor moon Disponibilité : quand je peux (•́⌄•́๑)૭✧ Post-it : dc ; grim iejima
aka le connard
j'ai juste reboot fay-
ok maybe i'll rp
idk
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Carte d'identitéOccupation: gérante d'un caféNationalité: françaiseLié à: Charly Blairs
| Sujet: [ ended. ] I have seen the movement of the sinews of the sky, And the blood coursing in the veins of the moon. Mar 29 Déc - 1:52 | |
| nota bene : je suis euh, en train de refaire cette fiche, y a plus que l'histoire et j'ai fini, parce qu'elle était sacrément bâclée en fait.
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Nom — Ashcombe. Prénom — Fay, Arin. ge — 21. Sexe — ♂. Race — Étoile. Nationalité — Anglaise. Occupation — Photographe. Orientation sexuelle — ♂ / ♀.
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physique couleur des yeux — bleu vert ; couleur des cheveux — rose ; taille — 172 cm. ; poids — 61 kg. ; Piercings — plusieurs, à l’oreille principalement. ; cicatrices — none. ; style vestimentaire — random pouvoir Nom du pouvoir — Voile. Description du pouvoir — Le don qui lui avait été accordé serait trop effrayant s’il n’avait aucune limite. En effet, le pouvoir de créer toutes choses possible et imaginable était surdimensionné, de sorte qu’il lui fallait quelques contraintes. Tout d’abord, l’énergie dans laquelle elle puise pour créer ses objets provient des différentes sources de lumières mises à sa portée, du soleil à la lampe torche, et même la lumière produite par son portable. Mettez là dans le noir le plus complet, et elle sera incapable de faire quoi que ce soit. Comme vous devez avoir compris le principe, je ne m’étalerais pas plus dessus, et je vais donc en profiter pour continuer à développer le don de ma petite étoile.
En théorie, elle serait capable de créer tout ce qu’elle souhaitait, mais là encore, ce n’est que de la théorie, puisqu’elle ne peut pas le faire. Il y a différents type de choses sur terre, et ces types là rentraient bien évidement en jeu lorsqu’elle souhaitait les avoir. Chacun de ces “ types “ correspondant bien sûr à une difficulté bien particulière, à savoir que cette difficulté n’est absolument pas liée à la liste que j’en ai fait en suivant. Ces types correspondent donc à...
Ce qui est inanimé, comme par exemple, une bague. Ce qui est mécanique, comme une machine, ou un robot. Ce qui est vivant, comme un chat. Ce qui est imaginaire, mais matériel, comme une arme qu’elle aurait représentée dans son esprit après avoir lu un livre. Ce qui est imaginaire, mais vivant, comme un elfe, ou une licorne.
Tout ce qui est inanimé, matériel, et donc basique, est ce qu’il y a de plus facile à créer pour la demoiselle. Demander lui un crayon, elle vous en créera dix, et en plus, elle ne détruit même pas d’arbre pour les faire, si c’est pas écolo tout ça. Par contre, demandez lui de vous créer quelque chose de vivant, et de suite, ce sera bien plus compliqué.
Premièrement parce que, pour qu’elle puisse créer quelque chose, il faut qu’elle la connaisse, que ce soit par un dessin, par un texte, ou par son imagination, ou même par une photo. Sans ça, elle en sera incapable. Si elle ne connaît aucune représentation d’un éléphant rose à dix pattes avec des ailes, et une queue de chat, non, elle ne pourra pas le créer. Dommage hein ?
Deuxièmement, créer quelque chose lui demande de l’énergie. Créer un crayon lui demandera tellement peu d’énergie qu’elle pourra la récupérer rien qu’en mangeant du pain ou en buvant un verre d’eau, puisque sur l’échelle humaine, il est insignifiant, créer quelque chose de valeur, comme par exemple le dernier modèle de téléphone lui demandera assez d’énergie pour qu’elle ai besoin d’une ou deux heures de sommeil pour refaire le plein. Un animal de compagnie, vivant et durable si possible, lui prendrait l’équivalent d’une semaine de sommeil pour récupérer, et encore. La licorne lui prendrait plus de temps, mais ce serait toujours possible. Un humain ? Évitons, elle perdrait bien trop de temps à revenir à elle, et elle ne le souhaitait pas.
Dernièrement, plus la source de lumière est faible, plus la création de l’objet prenait du temps. Même pour faire son crayon, si elle n’a pour lumière qu’un laser rouge, vous pouvez revenir le lendemain avec la certitude qu’il ne sera toujours pas fini. En effet, son pouvoir dépends de la quantité et l’intensité de la lumière présent autour d’elle. Si la source est petite mais puissante, elle ira assez vite. Si elle est grande, mais très faible, elle prendra à peut près le même temps que le cas précédent. Si c’est grand, et intense, elle pourra vous le créer dans la seconde qui suit, sans aucun problème. Encore une fois, plus la chose est complexe, plus elle prends de temps à le faire.
Pouvoir qui est donc très intéressant en soit, si on retire toutes les complications qu’il peut entraîner. Allez créer un couteau lors d’une bataille nocturne, pendant une nuit sans lune vous. Non, franchement, sans lumière, c’était pas possible. Par contre, le lampadaire là bas est fort intéressant…
caractère Sans être bipolaire, on peut dire que Fay est l’heureuse propriétaire de deux personnalités différentes, sans que celle ci ne se confrontent ou ne se mêlent, non, c’est un concept bien plus complexe qu’il ne semble, déjà parce que la personnalité qu’elle partage est bien la sienne, elle en est consciente, et surtout, c’est celle de son passif étoilé car oui, en devenant humaine, elle avait développé un tout autre caractère et elle ne pouvait pas simplement le jeter à la fenêtre en retrouvant la mémoire. Bien. Si vous avez compris tout ça, on peut continuer. Dans tous les cas, je continue.
La demoiselle, lorsqu’elle était encore sous forme de gaz et de lumière et d’un mélange de chose un peu trop compliqué à comprendre pour sa joueuse était quelqu’un de tout à fait ignorant et indifférent. Bien sûr, elle était remplie de connaissance sur l’histoire humaine en général, et n’aurait aucun soucis à vous raconter ce qu’il c’était passé pendant la naissance d’un Roi, ou même la mort d’un ancien thébain à la vie méprisable. Elle pourrait même vous détailler la création de l’imprimerie, vous donner la ville où un célèbre explorateur était né, pour elle, tout cela n’était que d’insignifiant détails qui étaient trop important pour les humains. Ce qu’ils appelaient de la “ culture général “ n’était pour elle qu’un simple savoir dénué d’intérêt. Pourtant, cette connaissance ne faisait pas d’elle quelqu’un de savant, puisqu’elle ignorait tout de la vie. Elle ne savait pas ce que cela faisait de grandir, de voir ses traits se transformer pour devenir plus ferme, plus adulte, ou même plus féminin, plus gracieux et bien d’autre encore. Elle ne comprenait pas la joie que procurait l’idée de grandir, de dépasser certains de ses amis, de voir le monde autrement, celui de se sentir fort ou jolie, de dominer, ou d’être passif, tout comme la tristesse des malheurs humains lui était inconnu. Jamais elle n’aurait pu deviner à quel point il était dur de vivre en étant trop gros, trop petit, ou lorsqu’on ne rentrait pas dans les cases que la société nous prévoyait. Le sentiment de honte et de haine en étant victime de racisme ou d’homophobie mais aussi la colère d’être rejeté par ceux qui nous sont le plus proche, ceux à qui on aurait confié sa vie s’il l’avait fallu. Elle était ignorante de tout ce qui était essentiel à l’existence d’un homme. Elle ne connaissait pas le frisson procuré par la brise sur la peau nu, celle irritante de l’eau glacée le long de la nuque, ni la bienfaisance du feu en hiver.
Elle restait pourtant détentrice de savoir que les hommes n’auraient pas, puisqu’elle savait à quel point il était dur au bout du compte d’avoir une vie longue et interminable, de pouvoir voir et enregistrer tout ce qu’il se passait sur terre, et surtout, a quel point au final, il était facile de se sentir seul même en étant entouré d’autres personnes, ou conscience dans son cas, puisqu’au bout du compte, on ne pouvait pas dire d’eux qu’ils étaient des choses concrètes, ou matérielles capable de se déplacer ou de communiquer. Non. Les étoiles, pour elle, ça restait de petites loupiotes éternelles pensant indépendemment et qui s’avéraient incapable de partager leur opinion. Elle savait également à quel point l’univers était vide de chaleur, alors qu’il était si peuplé, et ce de tant d’entité différentes. Malgré la place qu’elle avait dans le ciel, elle ne comprenait pas comment tout cela fonctionnait. Comme tous les autres probablement, elle savait qu’au sommet de tout régnait l’Étoile Divine. Leur mère et reine à tous et à toute, sauf peut-être aux humains, qui ne daignaient pas lever les yeux assez haut pour remarquer sa présence et en tenir compte. Pour sa part, elle ne la respectait pas plus que les autres. Mais c’est qu’elle n’avait pas non plus une réelle considération de la hiérarchie. Son statut d’étoile était déjà bien assez distant pour qu’elle puisse réellement juger ce qui l’entourait.
C’est exactement en ce point que tout le personnage de Fay en tant qu’étoile est indifférent. Elle ne voyait strictement aucun intérêt aux choses en tant que telle, parce qu’elle n’arrivait pas à les comprendre. Elle ne saisissait pas le principe de la vie humaine, si bien qu’elle s’en moquait éperdument. Elle ne comprenait pas pourquoi elle même existait, alors elle préférait passer outre ce point pour rester à sa place en tant que simple spectatrice et retenir plein d’informations, enfin, elle n’en était pas vraiment consciente, mais quelque part, elle stockait tout ce qu’elle voyait, ce qui lui était plutôt inutile. Elle pouvait connaître tout ce qu’elle voulait sans que vraiment ça ne lui serve, elle ne pouvait rien faire de sa place, pas dans ce corps ci. Ceci dit, elle n’éprouvait pas non plus une jalousie immense pour les humains, au contraire, il serait plus juste de dire que jusqu’à présent, elle leur vouait un mépris plutôt intense, et elle n’avait aucune raison de ne pas le faire. Mettez vous à sa place quelques instants. Depuis ses premiers jours, elle voyait - de loin - de minuscule et fragile créatures se faire la guerre pour des prétextes sans intérêt. Son territoire ? Sa race ? Tout cela était des choses qu’ils partagaient sans s’en rendre compte et ils ne s’en rendaient même pas compte. C’était stupide. Tant de vies avaient cesser d’être à cause de cela. Tant de monde. Homme, femme, enfant, adulte, français, anglais, allemand, japonais, chinois, russe, et tant d’autre. Une liste exhaustive de noms qui n’en finissait jamais.
Alors quand elle avait su que certains de ses camarades étaient réduit à l’état d’humain, sans même se souvenir de ce qu’ils avaient vécus, elle avait trouvé ça ridicule. Autant leur donner une fin maintenant, cela revenait strictement au même. Elle voyait petit à petit leurs corps se former, perdant leur éclat céleste pour prendre la couleur terne des humains. Certains étaient plus grands que d’autre, et elle se demandait si c’était dû à leur âge céleste avant de balayer cette pensée pour continuer à observer leur évolution. Leur corps lui paraissait, à elle, bien trop petit et bien trop fragile pour survivre en étant seul dans ce monde inconnu et pourtant, à sa grande surprise, tous s’en sortirent très bien. Ils ouvraient de grands yeux émerveillés à découvrir autant de chose d’un seul coup. Chaque brise, chaque mouvement semblait sujet à l’émerveillement. Tout ce qu’ils vivaient, tout ce qu’ils ressentaient semblait fabuleux. Et elle, depuis le ciel, elle ne comprenait pas. Elle ne savait pas comment réagir face à ceux qui lui avaient été semblable et qui étaient maintenant si différents. De plus, ils ne se souvenaient ni d’elle, ni des autres, ni du lien entre l’Etoile Divine et leur présence sur terre. Ils n’avaient aucune idée de ceux qu’ils avaient à y faire. C’était source d’indignation à ses yeux.
Puis avant qu’elle ai eu le temps d’y réfléchir un peu plus, ça avait été son tour. Elle s’était révoltée, dans ses pensées, car c’était le seul moyen qu’elle avait de dire quoi que ce soit. Elle ne pouvait pas parler, s’exprimer, hurler comme elle le souhaitait, elle aurait tant voulu le faire pourtant, qu’il lui semblait injuste que des créatures frêles comme les humains en soient capable et pas elle, une étoile, si supérieure à eux. Elle sentait s a conscience se fermer, ses perceptions également, elle ressentait un vide s’installer en elle, se faire une place chaleureusement entre son coeur et sa mémoire. Elle sentait toutes ses convictions s'effacer, pour laisser de la place à une personnalité nouvelle qu’elle créerait lors de sa toute nouvelle existence. Elle était persuadée qu’elle ne changerait pas.
Ce ne fut pas le cas. Elle était devenue ce qu’elle détestait le plus. Elle aussi s’était émerveillée devant tant de couleurs, tant de splendeurs, tant de vie dans ce monde. Tout était si spontané, irréfléchi, que c’en était émouvant. Pour une raison quelconque, elle en avait pleuré. Enfin, ceci n’est pas l’histoire. Au début, tout était embrumé. Elle avait ressenti la faim sans la comprendre, la soif, le besoin d’amour, la solitude, et le froid. Puis était venu l’amour, la joie, la colère, la taquinerie, la chaleur. Elle était devenue une enfant espiègle et insupportable. Elle hurlait au moindre caprice, riait et parlait fort dans l’intention de se faire remarquer, de recevoir de l’attention de la part de ses parents ou amis, d’être le centre de leur monde. Elle était égoïste, comme tous les enfants de son âge. C’était ses jouets, ses affaires, son gâteau d’anniversaire ! Et tout ça, on y touchait pas, sinon, elle criait, et tapait de ses petits points sans force. L’innocence même. Ceci dit, cela ne l’empêchait pas de taper une crise dès qu’on l'engueulait pour ne pas avoir fini son repas, ou pour avoir un peu trop débordé en ayant laissé traîne ses jouets dans le salon elle gueulait à en perdre sa voix, pleurait, et au final partait bouder, car ça n’avait pas l’effet qu’elle souhaitait. Une enfant basique, et pourtant si attachante qui ne correspondait pas du tout à ce qu’elle croyait auparavant. Oh bien sur, elle ne s’en souvenait pas.
Et grandir ne l’avait pas aidé. Elle avait certes perdu les traits caractéristique de la petite enfance, mais elle n’avait rien perdu de son espièglerie. Elle était resté maligne qu’auparavant et si elle ne dépensait plus son énergie en hurlement, elle préférait s’en servir pour exécuter tous les mauvais coups qu’elle avait en tête. Si au début ça relevait de la taquinerie et restait supportable, c’était vite devenu intolérable. La voir sauter partout en exhibant les clés de la voiture alors qu’il fallait bouger rapidement, ou se dévêtir à tout bout de champ c’était trop. Elle avait apprit et ce à regret ce qu’était la douleur quand ils avaient du lui mettre quelques fessées pour éviter qu’elle ne récidive, ce qui avait été fichtrement efficace par ailleurs. Elle préférait désormais rester joyeuse, mais sage. Un peu plus disciplinée. Ça n’avait évidemment pas marché d’un coup, et il lui avait fallu du temps pour comprendre que calme était égal à moins de douleur, mais une fois le concept intégré, elle l’avait appliqué fermement. Pas question de souffrir plus que nécessaire. Stupide, mais pas trop non plus. Du coup, elle continuait de faire quelques bêtises tout en veillant à ce que leur impact ne soit pas trop grand afin que ses fesses restent sauves.
Puis était venu son frère. A partir de ce moment, Fay, c’était la définition même d’un ange. Adorable, soigneuse, attentionnée, serviable. Elle adorait ce petit être qui lui provenait vraiment du ventre de ses parents et qui pourtant, ne lui volait pas tout l’amour des adultes. Cette petite chose fragile étant désormais de sa famille, et attention, sous sa responsabilité, elle devait grandir. Alors elle avait arrêté les bêtises ( pour les remettre à plus tard ) et tentait de faire de son mieux pour devenir une sorte de mini adulte responsable de tous ce qui l’entourait. Elle s’amusait à devenir gardienne de tout et n’importe quoi, reine du royaume de Ma Chambre, et veillait à ce que rien de dangereux ne dérange son frère. Du coup, sa chambre était rangée, et c’est certainement le point le plus réjouissant de toute cette histoire. Enfin passons, car Fay ne va pas restée une enfant toute sa vie. Avançons plutôt jusqu’à son adolescence.
Tout d’abord, il faut préciser que depuis son enfance, certaines choses n’ont pas changées. Elle était restée tout aussi espiègle, et à ce trait de caractère c’était rajouté le fait d’être principalement chiante lorsqu’elle le souhaitait. Oh, le fait d’être sérieuse quand on parle de son frère n’avait pas changé, mais après tout, elle restait une jeune fille. Elle voulait briser les règles qu’on lui établissait, passer au dessus, et s’amuser. Sortir en ville avec ses amies, embrasser des garçons et même des filles, elle était le genre de demoiselle à tout tester et à en s’en réjouir. Elle avait apprit ce qu’elle était, et c’était indignée, mais cela ne l’empêchait aucunement d’avancer.
Cette partie d’elle même était révolue et elle lui prouverait qu’être humaine valait le coup. A partir de cette pensée, elle avait crée son caractère et il lui était resté. Elle était passé de l’adolescente mijaurée à l’adulte charmante. Sans changer sa bonne humeur évidente, elle pouvait parfois s’avérer très sérieuse et s’investir dans son travail, bien que cela dépende encore trop de son patron pour qu’elle le soit réellement. Elle ne niait pas qu’elle tenait un rôle important dans sa boite et que par la même occasion, elle gagnait pas mal. Mais cela, elle l’avait mérité d’arrache-pied, et elle n’hésitait pas à montrer un doigt à ceux qui oseraient dire le contraire. Ce n’est pas comme si elle était riche de base après tout. Elle appréciait sortir boire un verre avec ses collègues, et renforcer les liens qu’elle avait avec eux puisqu’elle les savait éphémères. Elle voulait pouvoir profiter de ce qu’elle avait devant les yeux tant qu’elle en avait encore l’occasion plutôt que de trop attendre. Une vraie philanthrope la petite Fay.
Cela ne l’empêchait pas d’avoir ses propres vices. Elle aimait le risque, et n’hésitait pas à faire tout ce qui pouvait lui apporter ce petit frisson de plaisir qu’elle ressentait à l’idée qu’on pourrait l’attraper en train de pratiquer on ne sait qu’elle activité illicite… qui consistait surtout autour de la fumette et de l’alcool, tout en connaissant ses propres limites, et en sachant quand s’arrêter lorsqu’elle le devait. Elle aimait partager son lit de temps en temps, bien que cela reste tout de même très rare puisqu’elle était le genre de fille à préférer les relations longues aux aventures d’un soir.
Mais tout ces pavés, c’est Fay, et c’est pour ça qu’on l’aime.
histoire Loneliness expresses the pain of being alone and solitude expresses the glory of being alone. Ce jour là, la reine s’ennuyait. L’enfant, lui aussi, s’ennuyait. Mais lui ne pouvait rien y faire, il n’était pas comme sa reine. Il n’était pas créateur. Alors, pour s’occuper il regardait cette sphère bleuté, qui se trouvait juste sous ses yeux. Il en admirait les courbes, imparfaites, et le détail de chaque recoin. Petit à petit, l’enfant avait vu les créations de sa reine évoluer, quitter leur vie primitive. Ils cessèrent, petit à petit, de croire en elle. Ainsi évolua la société des hommes, passant du polythéisme au monothéisme, des périodes de guerre à celles de paix, de monarchie à république. Mais il ne comprenait pas. Pour lui, tout cela n’était que futilité. Il ne comprenait pas. Ceux qui vivaient sur cette planète cherchaient la compagnie des autres. Ils ne pouvaient vivre seuls. Lui l’était. Il était seul, mais en même temps plongé dans un espace qu’il partageait avec un nombre incalculable de ses semblables. Ensemble, ils formaient ce que les hommes appelaient les “ étoiles ”. Mais l’enfant ne se souciait pas d’être nommé. Il n’avait pas conscience de tout cela. Cette solitude n’était pas subie, mais vécue pleinement, profitant d’une sérénité continue qu’il ne pouvait qu’apprécier. Il était reconnaissant de cette existence, et n’en connaissait pas d’autre. Alors vint le changement. La reine décida de renouveler ce monde qui semblait voué à la déchéance. Ceux qui l’entouraient finirent par se détacher de leur voûte, rassemblant les quelques particules qui les composaient, et changeaient de forme. Ils devenaient comme eux. Des êtres fugaces. Des hommes. Ils rejoignaient leurs nouveaux compagnons, et les aidaient, les guidaient. Ils s’habituaient petit à petit à ce qu’ils appelaient maintenant des “ mains ” ou des “ pieds ”. Bien qu’ils vinrent du ciel, là où l’enfant lui était resté, ils ne s’en souvenaient que très rarement. Cette existence passée leur échappait. De son point de vue, quelque chose se brisaient en eux, laissant germer un instinct nouveau. Celui de protéger, de servir leur reine comme il le fallait usant de leurs dons avec sagesse et bienveillance. Ainsi, lui aussi se mit à changer. Toutes les étoiles qui le composaient prirent forme, devenant une petite créature fragile, un enfant de quelques années seulement. Une fille. De ses mains nouvelles, elle se mit alors à tâtonner son apparence, effrayée par ce brutal changement. Car en tant qu’étoile, jamais elle n’avait envisagé d’être choisie. Elle se complaisait dans son corps céleste sans jamais avoir souhaité changer. Our greatest glory is not in never falling, but in rising every time we fall. Sans avoir le temps de s’y habituer, elle tomba. Longtemps, dans une chute qui semblait sans fin. Tout au long de sa chute, elle oubliait. Son existence paisible s'effaçait pour laisser place à une page vierge de toute encre. Une page d’un livre qui demandait à être réécrit. La terre qu’elle avait admirée depuis la voûte et ce pendant des siècles durant, se rapprochait. Les continents se dessinaient, grossissaient, rendant les couleurs plus vive, et offrant à ses yeux tout neufs une palette de couleur bien plus vaste que celle qu’elle connaissait jusqu’à présent. Les masses vertes, qu’elle n’arrivait pas à définir précisément se détaillaient. Les troncs étaient maintenant plus massifs, somptueux, imposant. Naissant de la terre qu’elle ne connaissait pas, s’en nourrissant, ils s’étendaient en une multitude de branches, qui s’accompagnaient de feuilles. Pour la première fois, elle vit les rayons lunaires passer à travers ces feuillages, baignant ce lieu inconnu d’une lueur qui lui semblait familière. Alors elle se posa là. Délicatement, à peine vêtue, juste couverte d’un voile blanchâtre. Elle n’avait pas la moindre idée du lieu où elle se trouvait. Ni comment tout cela s’appelait. Sometimes it's the smallest decisions that can change your life forever. Fay. Anglaise. Apparue à Londres le 12 Février 2000 vers 5 H 23. ge estimé, 6 ans. Identité précise inconnue, ne se souvient pas de ses six années passées, potentiellement une “ étoile ”, en attente d’éléments plus précis. Cheveux roses, yeux bleu vert, semble dépendre de la lumière, semble faire environ 115 centimètre, un poids aproximatif de 20 kilogrammes. N’était pas vêtue, seulement couverte d’un voile blanc. Retrouvée par la famille Ashcombe. - - - - Two years later.A huit ans désormais, Fay c’était parfaitement intégrée à la vie de cette famille qui habitait le plein centre de Londres. Ses parents étaient des plus adorables, faisant d’elle une petite fille comblée. Choyée, elle avait vécu dans une atmosphère convivial, et un rythme de vie actif puisqu’à son arrivée, les deux adultes attendaient un autre enfant. A sa naissance, elle s’était révélée être une grande soeur pleine de bon sens et de tendresse envers cet être innocent qui ne savait rien de ce qui l’entourait. En parallèle, elle s’était mise à aller à l’école, ce qu’elle refusait au début. Ce fut une expérience toute nouvelle qu’elle finit par accueillir avec joie. Elle apprécia plus que tout l’uniforme qu’on lui demandait de porter, ainsi que le petit sac qui allait avec. De manière indirecte, elle se sentait plus proche de ses parents et de leurs tenues de travail. Malgré tout, elle arrivait a s’amuser comme tout les enfants de son âge, allait au parc près de chez eux, invitait ses amies, fêtait son anniversaire. C’est à cet âge là que sa nature reprit petit à petit le dessus sur sa part humaine. Elle se levait en pleine nuit, regardant de manière nostalgique le ciel étoilé. Laissait son regard fixé sur la lune avec un respect qu’on ne lui connaissait pas, même en classe. Elle s’amusait alors à recréer la voûte céleste. Puis se rendormait, telle une somnambule. De ces actes nocturnes, rien ne subsistait, sauf une bride illusoire qu’elle rattachait immédiatement à ses rêves. All truths are easy to understand once they are discovered; the point is to discover them. Eight years later.A seize ans, Fay avait réalisé ce qu’elle était. Une part de la brume dans laquelle elle vivait jusqu’à présent s’était évaporée. Étonnée, elle avait constaté qu’être humaine l’avait changé. Elle avait découvert une à une les diverses sensations qui habitait l’être humain, et à quel point sa vie lui semblait longue et fastidieuse, contrairement à ce qu’elle pensait lorsqu’elle n’était encore qu’un astre. Rien ne ressemblait. Elle se souvenait d’un elle-même savant, qui n’avait pas désiré cette existence qu’elle considérait comme “ futile ” et “ indigne d’intérêt ” ce qui vexait bêtement celle qu’elle était aujourd’hui. Elle s’était éveillée à la colère, la gentillesse, l’amour, la compassion, le regret, la mélancolie, et avait même décidé de s’ouvrir au don qui lui avait été offert pour son changement d’état. Elle avait compris que son existence ici n’est pas vide de sens, mais qu’elle avait un but bien précis. Elle se mit alors à chérir plus de choses qu’elle ne l’avait jamais fait, et passait plus de temps en compagnie de son petit frère, qui était désormais âgé de 10 ans. Alors qu’elle n’en avait peut-être pas le droit, elle utilisait ce don pour l’amuser, et pour lui offrir les petites choses qu’il désirait. Elle ne le faisait pas par vantardise de posséder ces pouvoirs, mais plus par envie de rendre service à ceux qui l’avait logée il y a dix ans de cela. En cours, elle ne le montrait pas, vivait comme le reste de ses camarades, et essayer de paraître la plus humaine possible, ce qui s’avérait parfois difficile puisqu’elle pouvait se souvenir parfois avec détails d’évènements arrivés il y a des décennies et des siècles de cela. Mais mettre ça sur le dos des lectures arrivaient parfois à soulager ceux qui l’entouraient. Travel becomes a strategy for accumulating photographs. Entre le passé et le présent Fay avait évolué. Elle était devenue une femme adulte, passionnée par tout ce qui touchait à la photographie, ayant l’avantage de pouvoir utiliser la lumière comme elle le souhaitait. Ayant réussi à se faire une place dans ce domaine, elle se décida à voyager. Après avoir remercié copieusement sa famille d’accueil, et s’était séparé avec une difficulté énorme de son petit frère, elle parti pour le Japon. Le Japon, car elle savait qu’une grande parti de ces confrères et consoeurs originels vivaient là bas. Il s’agissait pour elle du lieu idéal, l’autorisant ainsi à vivre pleinement sans risquer de choquer qui que ce soit qui n’y serait pas habitué. De plus, elle souhaitait pouvoir accomplir son but, une bonne fois pour toute. Malgré son boulot qui l’occupait la majeure partie du temps, elle ne pouvait se défaire de cette envie qui l’habitait. Qui commençait à la hanter. De cette manière, elle arriva à Hoshikami.
Pseudo — Azalys. Vous; en cinq mots — bleu, patate, bisounours, manger, dormir. Personnage sur l'avatar — Megurine Luka - Vocaloid. Comment avez-vous découvert le forum — blblblbl. Présence ( /7) — 2 jrs / 7, je suis interne, donc je suis pas la du lundi matin au vendredi soir en période scolaire. Pedobear ou bisounours — Carrément bisounours.. |
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