L'ombre et la lumière. [Finis]

couleur des yeux — bleu ; couleur des cheveux — Blanc, bleu, noir; taille — 1.50 ; poids — 38 kg ; tatouages ou piercings — Lorsque Hoshiko adopte sa forme de nuit, le tatouage d'une tête de chat orné de fleurs sur la poitrine. Elle possède aussi un piercing sur le haut de sa lèvre supérieure et deux sur sa langue. Pour sa forme de jour, de nombreux piercings aux oreilles sont à notés. Un autre piercing a la langue et aux clavicules. ;voix — Fluette mais roque ;cicatrices — // ; style vestimentaire — Hoshiko aime se vêtir d'habits orientés sur un style rock/ gothique.

Nom du pouvoir — Solaris Capilarus. - ON SE MOQUE PAS, KAY -
Description du pouvoir — La couleur capillaire de la donzelle change en fonction du positionnement du soleil. Il n'y a pas seulement cette différence à noter sur son physique. Toute modification corporelle effectuée lors d'un cycle particulier restera sur ce cycle. Imaginons que si elle décidait de ce faire tatouer un petit pénis sur sin front sous la forme bleue, ce petit phallus resterait sur sa forme bleue. Sa forme bleue a les yeux marrons, la blanche les yeux bleus azur et la noir les yeux légèrement violets. Le seul inconvénients qui n'en ai pas réellement un, est qu'il arrive parfois qu'une forme reste plus longtemps que le temps qu'elle devrait rester.

Heure des cycles :   Blanche : 9h ; 18h.
Noire : 18h; 1h
Bleue : 1h; 9h

△▽ FÊTARDE △▽ PERVERSE △▽ CALINE △▽ SOURIANTE △▽ BOUDEUSE △▽ GOURMANDE △▽ SPORTIVE △▽ JALOUSE △▽  PROVOCATRICE △▽ ATTACHANTE △▽ PROTECTRICE -quand elle le veut - △▽ FUMEUSE  △▽ GROSSIÈRE △▽ SENSIBLE △▽ MALADROITE △▽ VIOLENTE △▽ AVENANTE △▽

AIME : Musique, jouer du piano, de la guitare et du violon, les sucreries, le contact physique, les choses sombres et gore.

N'AIME PAS : les araignées.

La jeune fille n'est ni pour, ni contre le conflit qui s'étend de jours en jours. Elle peut comprendre que les liens qui unisse les hommes et les étoiles puisse agacer certaines personnes. Le seul truc qui la ferait rejoindre le crépuscule est de savoir que son humain est l'homme de sa vie et qu'il risque de mourir à cause d'elle.

Elle ouvrait lentement les yeux. Les alentours n'étaient que noirceur et ténèbres. Étrangement, elle se sentait à l'aise dans cet environnement-là. Comme si elle ne faisait qu'un avec cette ombre qui l’entourait. Elle n'avait aucune idée d'où elle était, n'y même comment elle était arrivée là. Tout ce dont elle se souvenait, c'était qu'il y a quelques instants elle se trouvait loin de cet univers là. Il n'y avait personne aux alentours. Elle resta là, grelottant dans son coin. Blottie contre un arbre elle observait le ciel qui lui était si familier. La voûte céleste disparaissait lentement pour laisser place à des rayons dorés. Un aboiement de chien fit sursauter la donzelle. Elle tourna la tête quand un petit chien sauta sur elle et lui lécha le visage. Hoshiko ne put s'empêcher de rire aux éclats. Quelques instants plus tard, un homme avec une tenue distinguée arriva vers la petite fille. Il fut étonner lorsqu'il remarqua que les cheveux de l'enfant passèrent d'un noir ébène à un blanc pure. L'emmenant avec lui, Hoshiko trottinait gaiement à ses côtés, heureuse d'avoir trouvé quelqu'un avec qui vivre.


Sur le pas de la porte, la jeune femme trépignait d'impatience, souriant à pleine dents. Elle ouvrit sa porte et elle entra comme une furie dans sa nouvelle maison. Sautillant et rigolant, elle s'extasiait devant la fenêtre, devant une plante, devant sa chambre. Partout ! Elle avaient enfin 20 ans. Cela faisait à peine un mois qu'elle avait la majorité et la voilà dans son nouveau chez sois. La jeune femme s'allongea sur son lit. On peut dire qu'elle était bien tombée dans sa famille. Pour son départ, ses parents avaient tenu à faire aménager comme elle le souhaitait sa chambre. Pour le coup, ils avaient tenu parole ! Un sourire béa était figé sur les lèvres de la donzelle. Les mûrs noirs à carreaux rouges respiraient le neuf. Ça garde robe était remplie de tenue sombres et satanique. Des peluches de petits démons tous mignons étaient posées de si, de là. Les yeux bleus de l'étoile regardait le plafond. Elle repensait aux nombreuses années qu'elle avait passé au côté de sa famille adoptive. Malgré ça, la jeune femme avait eu la lâcheté de quitter le domicile familiale. Certains diront que ce n'est pas de la lâcheté, mais Hoshiko, se sentait coupable. Coupable d'être apparue un jour, sans crier garde. Coupable d'avoir engendré des frais supplémentaires, d'avoir été au centre de l'attention, coupable de tous, coupable d'avoir existé.