12# Makoto Kyuku — Lilith Da Hellys

Makoto remettait ces lunettes après s'être frotté les yeux. La journée fut longue et malgré la fatigue, ce professeur de musique resplendissait. Aujourd'hui il avait décidé d'aller à la bibliothèque pour pouvoir lire le nouveau livre d'un auteur connu, USAMI-sensei. Il passa se changer vite fait mettre un kimono. Il était plus à l'aise en Kimono. Un Kimono blanc au motif de papillon bleu et argent. Il lui allait à merveille.
Et se dirigea vers la bibliothèque.
Le coucher de soleil resplendissait et le vent doux. Makoto prenait un long moment pour profiter du paysage. Et arriva enfin à la bibliothèque.
Après une recherche pousser, le jeune professeur le trouva et se mit en tête de le lire. Ce dirigeant vers les bancs de chaque côté des rangés, il senti comme une présence le fixant.
Il se retourna et aperçu un jeune homme d'une quinzaine d'année. Il ressemblait beaucoup à une étudiante du club de musique. Une certaine Lilith aux cheveux ébène et aux yeux couleur sang. Le voyant figé, le blanc s'approcha de jeune homme, le pensant malade.
« Vous sentez vous malade ? » questionna-t-il.
Le jeune homme muet ne le quitta plus des yeux. Makoto eu un petit recule, un frisson d'angoisse parcourra son corps. Son instinct disait que c'était dangereux de rester dans les parages. Ce retournant en direction de la sortie, le noir l'attrapa par le poignet. Dans le mouvement, le musicien glissa et le voilà dans une position compromettent sur le jeune homme à peine rencontrer…

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C'est en ouvrant ce livre que tout à commencer. La jeune fille aveuglée par le flash venait de rouvrir les yeux. Que c'était-il donc passé ? La jeune demoiselle reposa son livre sur le côté et continua ses lectures. L'étudiante ce demandais comment des filles pouvaient être aussi bruyante, cela faisait une bonne dizaine de minutes qu'elles gloussaient juste à côté d'elle, mais elle fut sortie de ses pensée lorsque l'une d'entre elle vint à sa rencontre.Malheureusement son attention fut retenue par un seul mot :homme. Homme ? Mais qu'est-ce qu'elle racontaient ? La jeune fille paniquée pris le miroir de poche dans son sac et se regarda, elle n'en croyait pas ses yeux, la surface de verre ne réfléchissait pas l'image d'une jeune fille mais celle d'un jeune homme. Tandis que l'héritière devenait peu à peu livide une voix retentit derrière elle: "Vous sentez vous malade ?". Cette voix elle la connaissait très bien après tout elle l'entendait tout les jours. En se retournant elle fixa un regard choqué dans celui de son professeur de musique. "Pourquoi fallait-il que je rencontre un professeur aujourd'hui ?!" Se demanda la demoiselle. C'est dans une action étrange que Lilith attrapa le poignet de l'enseignant. On ne sais comment les deux jeunes gens tombèrent l'un sur l'autre, la jeune fille se retrouvant au dessus de l'homme. Leurs regard surpris plongé l'un dans l'autre les isolaient du monde extérieur. La jeune fille commença à rougir légèrement.Celle-ci gênée se remit debout tout en aidant le jeune professeur à se relever. "Désolée!" tel était l'excuse pour ses actes, l'adolescente avait les yeux rivés vers un livre sur la table. Tout ce qui resta fut un malaise accompagné par un blanc.

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'Love Industry' :

Le professeur voyant les excuses de cet élève dont son uniforme (masculin) était légèrement ouvert sur le haut, voulu s’excuser d’avoir pris peur. Mais une tension bizarre s’était installée. Le nouvel enseignant essaya de l’aider mais le jeune homme commença à faire glisse sa main contre le bras du blanc. Un nouveau frisson parcourra le corps du musicien, un frisson de peur…
Etant 8e dame en aïkido, il s’échappa du jeune homme et courra vers la sortie. Mais son kimono obstruait son mouvement. Le noir nu aucune difficulté à le rattraper. Attrapant sa manche, le professeur eu un recule, il élança sa main pour coupe court à l’emprise de l’élève mais quelque choses de froid percuta son poignet… Des menottes… Qu’est-ce qu’un mineur fessait avec des menottes… Dans la confusion qui régnait, le professeur se retrouva attache à un banc de la bibliothèque. Essouffler, transpirant et pardessus tout, avec son kimono qui glissait sur ses bras laissant paraitre son corps pale, le professeur était en mauvaise posture, et position…
Le jeune homme allait fermer à clé la bibliothèque vide. Pendant ce temps le musicien essayait de se détaché mais peine perdu. L’élève était déjà revenu…
« Vous êtes Isaiah Mimasu, n’est-ce pas ? Je crois avoir vu que vous ressemblez beaucoup à une de mes étudiantes… Aurai-je fais quelque chose pour vous énervé ? » Dit le pianiste d’une voix paniqué.
« Je... Non… Je ne sais pas… » Le garçon semblais confus et perdu. Le violoniste essaya de le convaincre de le détacher.
« Vous... Vous détachés ?... Pour…Pourquoi ?... Votre odeur… me… rend… folle… » Dit-il essoufflé, plaçant sa main dans les cheveux du professeur, les caressant délicatement…
« Folle ? » pensa le musicien en regardant dans le rouge des yeux de ce jeune homme, embrumé ou plutôt contrôler par quelque chose de plus fort que lui.

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'Love Industry' :

Des menottes ? Mais que faisait la jeune fille avec des menottes dans son sac ? Elle ne s'en rappelait plus. Tout en allant fermer la porte de la bibliothèque elle se demandait pourquoi elle faisait tout ça ? Mais que ce passait-il à la fin ? Ce n'est pas elle qui voulais ce qui arrivait, le simple fait que le prof de musique sorte de cet endroit était dangereux... Après tout personne ne devais savoir ce qu'il c'était passé. La jeune demoiselle revint encore plus gênée qu'avant face au professeur. Celui-ci en essayant tant bien que mal de retirer les menottes avait fini par faire glisser son kimono, dévoilant ce corps pale et chétif du musicien.
"Vous êtes Isaiah Mimasu, n’est-ce pas ? Je crois avoir vu que vous ressemblez beaucoup à une de mes étudiantes… Aurai-je fais quelque chose pour vous énervé ?"
Ce nom... Comment le musicien pouvait-il connaitre ce nom? Il évoquait énormément de souvenir pour la jeune fille, beaucoup de souvenir heureux, mais principalement deux... Les deux seuls événement qu'elle ne pourra jamais oublié. Mais l'heure n'était pas à penser à lui, il fallait d'abord régler le problème présent.
«Je... Non… Je ne sais pas… » L'étudiante n'étais pas du tout énervée et elle bafouillait énormément, elle était déjà très gênée de la situation et la tenue de son professeur ne l'aidait pas. Mais que faisait-elle ?! Tandis que le professeur demandait à être  détaché, l'adolescente caressait les cheveux de l'adulte, mais il fallait avouer qu'elle trouvait sa chevelure très douce et soyeuse. Tandis qu'il eu encore un blanc un bruit étrange résonna du côté des fenêtres suivit d'un miaulement. Lilith distraite par le chaton qui venait d'entrer par la fenêtre alla le câliner, celle-ci ne pu voir le regard étrange sur son professeur, un regard jaloux ? Derrière le jeune fille le sons des menottes retentit, elle se retourna et observa, le musicien avait fait s'entrechoqué les chaînes des menottes pour attirer l'attention de la jeune fille. Il y avait dans son regard une certaine animosité envers le chat qu'il fixait. La demoiselle pris le bébé dans ses bras et retourna près du menotté. N'osant pas le regarder elle continua de câliner le petit chat.

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Un bruit, Makoto regarda plein d’espoir, pensant qu’une aide quelconque aller arriver.
Mais rien, simplement un chat. Un chat ? Par ou était-il rentré ? Le professeur regarda en direction du chat et du jeune homme. Une fenêtre ? Entrouverte ? La bonne occasion. Le musicien essaya de se détache à nouveau de ces menottes, mais le bruit des chaine s’entrechoquant averti le noir. Le violoniste souffla. N’y avait –il aucun moyen de s’échapper. S’il avait su, il ne sera pas venu dans cette bibliothèque.  L’élève venait, accompagne du chat, s’assoir à ces cotés.
Un blanc… Un très long blanc sans suit. Un silence pesant, alourdissait la situation déjà compliquer. L’enseignant fixa le jeune homme. Son uniforme lui sciait à merveille. Pour un mineur, il était plus grand que le professeur. Ces cheveux courts montraient son jeune visage. Ces yeux rouges regardaient avec attention le chat avec laquelle il jouait. Le tirant vers lui dès qu’il approchait l’otage. Son poignet commençait à lui faire mal. Pour un musicien, être attache ainsi était disgracieux. Autan pour ces mains, qui étaient assuré à des millions de yens, que pour la position où il était. En essayant de s’enfuir, son kimono avait glissé jusqu’à son bassin. Un coup de vent, le fis tremblé de froid. Ses cheveux flottaient au vent, inondant les environs d’un doux parfum fruité qui attira l’attention du jeune homme.
Le vent… le vent ? Le professeur manipula celui-ci et brisa ses menottes pour s’échapper. Mais il glissa… Sa cheville droite était attache avec un fil rouge. Un fil rouge, non, un liquide rouge. Le propriétaire de se pouvoir rigola. D’un rire effrayant…

La fenêtre était si près…

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Un courant d'air souffla dans la pièce faisant frissonner légèrement la jeune fille. Elle entendit un bruit de cassure et regarda à côté d'elle, Makoto avait briser les menottes par on ne sais quel moyen mais il ne devait vraiment pas quitter la bibliothèque. L'étudiante usa de son pouvoir pour lier Makoto à la chaise à l'aide de son propre sang heureusement que le chat l'avait griffé sans le faire exprès. Le professeur fixait la fenêtre alors que celle-ci avait été fermée juste avant, après un soupir le jeune homme fini par ce relever. Le chat sautant des bras de la demoiselle alla jouer avec le fil de sang retenant le musicien, Lilith ne s'en inquiéta pas plus elle savait que le fil ne se casserais pas, son pouvoir n'était pas si faible après tout. Le chaton commença à miauler et à courir autour des deux jeunes et un fils rouge semblait le suivre. L'adolescente eu un mauvais pressentiment et elle sentit une pression au niveau de ses chevilles, la forçant pas la même occasion à ce rapprocher du virtuose. Le lien de sang rapprocha l'élève de son professeur au point d'être collée à lui. La jeune fille avait les joues rouge et ressentait une très grande gêne, leurs deux visages n'étaient pas très loin l'un de l'autre au point qu'elle puisse sentir son souffle chaud, elle n'osait pas respirer, son cœur battait la chamade et elle avait très chaud, la situation était des plus inconfortable. La jeune fille ne savais même plus quoi dire, elle regardait le sol et lançait de temps en temps un regard vers son professeur, elle n'aimait vraiment pas cette situation, heureusement qu'elle avait fermer la bibliothèque au préalable.

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Makoto était gène, au-delà de la peur, son embarras était venu. Il voyait son souffle bougé les mèches de cheveux du noir, leurs visage presque collé l’un à l’autre. L’élève était plus grand mais malgré tous le professeur avait vu son visage embarrasser et le souffle qu’il essayait de retenir. Mais rien à faire, l’enseignant senti un souffle dans son oreille…
Les voilà à nouveau parterre… Embarrasser comme jamais, les yeux rouge de musicien, son souffle saccadé de petit bruit de pleure étouffé rendait la scène très érotique. Les larmes coulaient sur son visage. Le jeune homme releva le professeur après c’être débarrasser du fil. A nouveau debout, le musicien tomba a genou. Ces jambes ne pouvaient plus le porter. Ces larmes d’innocent travaillaient le cœur de l’autre. Essayant de reprendre son calme face à cet homme pleurant de chaude larme, l’adolescent s’écarta un peu. La bibliothèque était fermée… à clé… Les fenêtres de même. La situation avait vraiment dégénérer. Regardant l’enseignant, il eut un pincement au cœur. Dévêtu, en pleure, dont le souffle était coupé de petit reniflement. Son corps pale était ravissant, son visage en pleure attisa quelque chose chez l’étudient… Peut-être était-ce cette envie de le faire encore plus pleure, de l’oblige à le supplier, d’être ainsi vulnérable. Personne ne sut.
Le premier bisou de ces deux hommes avait été troublé. Le professeur avait été pris de court… Ce rappelant les mots de sa mère : « si quelqu’un essaye de touche tes lèvres avec ces lèvres, fuit… ». Mais à présent que ça lui est arrivé, ces jambes ne pouvais plus le porter. Il pleura de désespoir face à un élève le fixa avec un regard effrayant.

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Il pleurait ? Il n'y avait pourtant aucune raison de pleurer se dit la jeune fille. Elle lança un regarde froid à son professeur, celui-ci essayant de se calmer était à genoux. la jeune fille se retourna et se disait que c'était un vrai cauchemar, elle savait que le musicien était fragile mais pas à ce point là. La noire et un rictus suivit d'un rire, on aurais pu la traiter de folle, mais la situation y était propice non ? Oui c'est vrai cette situation était folle, si on lui avait dit qu'elle subirais ça la jeune fille vous aurait regarder avec un regard froid et serait partie sans ce retourner, elle aurait même pu vous rire au nez tellement c'était irréelle. Oui ça devait être ça c'était un cauchemar ce qu'elle vivait, tout du moins la demoiselle l’espérait. Le virtuose avait fini par ce calmer juste derrière elle et il le regardait bizarrement, dans ses yeux la jeune fille pouvait lire la demande "Était-elle devenue folle ?", elle ne s'en cacherais pas en ce moment elle espérait que ce soit le cas. La jeune fille retira la veste de son uniforme et la mit sur les épaules de l'adulte. Un fois ceci fait elle se dirigea vers l'animal et lui retira le sang sur la fourrure puis elle le câlina en attendant que le professeur soit complètement calmé. L'héritière posa le félin doucement sur la table puis se dirigea vers son sac d'où elle pris un bouteille d'eau et la posa face faible ensuite elle reprit la clé qui était tombée un peu plus loin lors de sa chute, la glissa dans sa poche et alla s'asseoir à la table pour jouer avec le chat

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Le professeur se réveilla en sursaut, sur le banc, livre en main… Il s’était endormi en lisant l’œuvre d’Usami-sensei : « La mélodie du pianiste oublié ».
Voulant se lever, il senti quelque chose au niveau de son torse. En regardant de plus près, il remarqua une poitrine plutôt imposante… Sous le choc, il tomba à genou… Sérieusement le professeur était… une femme. Regardant autour de lui, il remarqua son étudiante Lilith Da Hellys endormie, gesticulant, comme si elle faisait un mauvais rêve.
Essayant de se relever, il glissa et s’étala sur son élevé, la réveillant. La jeune fille s’était réveillé comme soulagé, et regarda la femme devant elle, rouge et bafouillant… Elle remarqua les lunettes que cette inconnue étaient les même que ceux de son professeur de musique. La jeune femme devant elle était plutôt grande, aux formes avantageuses, aux cheveux et yeux bleus. La noire hésita, mais après un silence pesant, elle dit : « Mako…To…-sen…sei ? »… Le professeur, figer, bougea ces lèvres rosâtres mais aucun son ne voulait sortir…
Apres un second blanc, le ventre du musicien gargouilla. Il regarda son étudiante à nouveau et se baissa, en se tenant le ventre… La plus jeune regarda le professeur et lu sur les lèvres : « désolé ».
L’héritière releva son enseignant, devenu femme, et l’assit sur le banc, cherchant par la même occasion dans son sac, un gâteau emballé et le lui donna. Lilith ne semblais pas se rappeler de son mauvais rêve, et le professeur avais autre chose pour se préoccupé… Apres avoir mangé le petit gâteau, les deux jeunes femmes décidaient de quitter la bibliothèque et ramener le professeur un peu perdu à sa maison.
Il ne savait pas où mettre les mains. Cette impression de vide en bas, le troublait. Ne pas voir ces pieds quand il était début, lui fessait peur… Et pour compliquer les choses, son kimono d’homme s’était changer en celui d’une femme, même ces cheveux habituellement courts étaient longs et attaché avec une pince… Si l’Etoile Divine lui avait joue un tour, elle avait choisi le tour le plus gênant. Toujours embarrasser, et rougissant de plus belle à chaque rencontre... Pourquoi avait-il fallu que si tard, certains élèves soit encore dehors. Les garçons se retournaient à la vue de deux beautés. Une, au regard froid et tout de même discrète, et l’autre visiblement embarrassé et qui ne passait pas inaperçu avec cette apparence.
L’épreuve du tram fus le plus dur, alors qu’il était bondé, comme si l’Etoile Divine n’avait pas assez joué. Pendant les 10 minutes de trajet jusqu’à l’appartement du jeune pianiste, des mains baladeuses eut raison de la voix de la femme en kimono, qui eut quelques sons érotiques. Lilith n’hésita pas a écarté les pervers qui s’approchaient, avec son aura qui dégageait une étonnante envie de meurtre…

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C'est hommes n'étaient que des bêtes affamées et la jeune fille avait toujours envie de les réduire au néant quand elle les voyait. Bizarrement ce sentiments se faisait beaucoup plus présent aujourd'hui. Son jeune professeur se trouvant collé à la vitre la jeune fille se plaça juste en face de lui pour arrêter les quelques mains baladeuse, se baladant. En voyant le musicien l'héritière eu un sentiment de déjà vu. La situation anormale du prof lui rappelait quelque chose mais la jeune fille n'arrivait pas à se souvenir. Tandis que le train s'arrêtait et que les deux membres de l'académie descendaient du métro une douleur fusa au niveau des yeux de la noire. Depuis ce matin ses yeux la faisait souffrir mais elle avait fini par ignorer sa condition, malheureusement la douleur était tellement forte que la jeune fille ne pouvait pas l'ignorer. En fermant les yeux la demoiselle ne vit pas la marche en face d'elle et tomba à genoux. La douleur s'atténuant, l'étudiante ouvra les yeux mais elle ne vit rien. un noir complet l'entourait. La jeune fille commençait légèrement à paniquer, regardant partout autour d'elle sans rien voir, lorsque la voix féminine de son professeur résonna derrière elle. Dans sa voix la nouvelle aveugle pu reconnaître un semblant d’inquiétude. "Je suis désolée professeur mais ... Je ne vois plus rien." Tout en se retournant la jeune fille tendis les mains pour toucher son professeur et elle lui attrapa la manche de son Yukata.

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