Nom du pouvoir — Deadman.
Description du pouvoir — C'est le sang qui répond à ses appels. Sa peau se craquelle, offrant des ouvertures sur le liquide si vital aux humains, laissant ainsi libre court à son imagination. Son contrôle du sang semble parfait, il se limite cependant au sien. Alors le sang s'écoule aussi bien dans une quantité importante que minime. Des balles de sang cristallisé. Des couteaux. Des clés. Parfois la régénération de sa chair. Son utilisation est multiple et variée, dépendant aussi bien de ses émotions que des circonstances. Cependant, la jeune femme souffre d'après-coups importants. Son corps subit des transformations par la suite, restant faible aux autres dans une durée qui varie son utilisation précédente. Tout n'est qu'une question d'actes et de conséquences. Si Mesy utilise son pouvoir une heure à pleine puissance, son corps se montrera vulnérable trois jours. Néanmoins, elle possède un pouvoir offensif non négligeable. Il reste évident qu'elle ne peut surpasser la quantité utilisée de la quantité que contient son être.
- Après utilisation de son pouvoir :
++ : Son pouvoir est, naturellement, dangereux pour sa santé. Néanmoins, personne ne sait réellement quand sa mort peut-être prévue.
La haine est perceptible, palpable, peut-être même immuable chez la belle. De ses pores émanent inexorablement des sentiments négatifs mués par un passé douloureux et pesant, trop à bien y réfléchir. La jeune femme si étrange aux orbes rouges n'inspire aucunement la confiance, arborant inlassablement un faciès agressif ou froid lorsque la comédie n'est aucunement nécessaire. On tend pourtant à croire que son développement est encore d'actualité, n'ayant trouvé la liberté que récemment. C'est pourtant une montagne de rancoeur qui s'avance jusqu'à ce jour.
Néanmoins, comme chaque « humain » de ce monde, l'étoile comporte autant de qualités que de défauts. Douée d'une intelligence informatique cultivée avec le temps, elle aime à passer son temps et son énergie à démonter les ordinateurs, téléphones ou tout objets touchant la technologie, pour mieux les remonter par la suite, les améliorer pour ensuite venir vous espionner sans crainte. Un calme olympien prend ses tripes lorsqu'un écran passe devant son champ de vision, pouvant rester des heures assise sur un fauteuil à pianoter. Un café dans une main, des pocky dans l'autre, mangeant dans un rythme régulier se rapprochant d'un robot. Les migraines ne semblent être guère un problème, loin de là. C'est étrange à vrai dire de la voir ainsi, si sereine, appliquée voire maniaque dans ce qu'elle fait. On arrive à en conclure que Mesy est une entité qui tend à la perfection dans tout ce qu'elle entreprend, ne pouvant supporter l'échec.
L'étoile est un être voué à laisser des émotions noires la submerger rapidement. Un manque certain de contrôle de soi, susceptible et facile à mettre sur les crans quand on sait toucher les points sensibles. Sa violence n'a d'égale que la puissance dont peut faire preuve son pouvoir. Il reste pourtant difficile de la faire franchir cette zone de non-retour et imprévisible selon les situations ou les gens. La belle est une bombe à retardement. Ce n'est cependant pas le premier péquenaud du coin qui pourra la faire sortir de ses gonds. Il faut savoir jouer pour détériorer ce sourire en coin qui peint si souvent ses traits. Un sourire qu'il vous sera aisé de voir. Dans ces instants, la faiblesse de la dame relèvera de son incapacité à se défendre par la force ou le combat. Sans son pouvoir, l'ébène est perturbée, démunie, comme si jamais quelqu'un n'avait pris la peine de lui apprendre autre chose que par ce biais. Seul son pouvoir est important.
Oiseau de nuit, le soleil ne tient aucunement une place de choix dans son coeur, préférant se terrer sous la terre pour barrer sa rencontre avec les UV. On raconte que ses orbes si singulières auraient énormément de mal à s'adapter à la lumière du jour. De toute manière, Mesy n'est pas le genre de personne capable de se promener tranquillement dans la rue. Alors la nuit est un vague terrain de jeu à ses yeux, ne pouvant sortir que dans ces moments-là. Le jour sera alors, à l'instar de la plupart du commun des mortels, la nuit, dormant flemmarde dans un coin, ronflant peut-être même d'ailleurs. Et la nuit accueillera sa vie, son éveil. Ses pieds arpentent les toits, sautant de l'un à l'autre aisément. Les humains qui ne manqueront à personne sont souvent pris pour cible, assurant la continuité de son contrôle sur son don de ce fait, pouvant jouer avec eux. Mesy n'est aucunement une personne fréquentable, c'est une criminelle confirmée, pourtant elle évolue constamment. Comme un enfant apprend, elle apprend également.
C'est une personnalité influençable par le biais de ses rencontres, faisant irrémédiablement pencher la balance d'un côté ou de l'autre. On ne pourra néanmoins jamais effacer tout ce que son passé à endurer, ni tout ce qu'elle a fait également. Ce n'est cependant pas impossible de la perturber, la faire douter ou bien la faire réfléchir. Parce que Mesy est une personne qui aime réfléchir, se poser des questions, évoluer pour mieux s'adapter. Il manque cependant des sentiments affectueux et amicaux encore à ce jour, ne sachant guère ce qu'un ami signifie. Seule la haine persiste de prime abord, rongeant ses sangs. Ce n'est pourtant pas qu'une sanguinaire sans scrupules, une machine sans coeur. La bête a des doutes, des peurs. Comme cette peur des autres au point d'en devenir virulente lorsque la proximité se fait trop grande. Comme cette peur viscérale de retourner si profondément sous terre qu'il en deviendrait difficile de s'en sortir une seconde fois.
Capable de démontrer une large gamme de sentiments, de les simuler et les jouer correctement, on sent un entraînement avec le temps. Alors peut-être auriez-vous la possibilité de la voir aimable voire gentille. Probablement un aspect encore plus malsain à y voir de plus près.
Mesy n'est qu'une enfant muée par un sentiment de colère et de haine contre la souffrance qu'on lui a octroyée à la « naissance ». Mesy n'est qu'un être blessé.
Dans un ciel peint d'une multitude d'étoiles, l'une d'entre elles veillait. Depuis des siècles, ses orbes n'avaient de cesse de se poser sur Terre, se demandant si un jour ce serait son tour. L'étoile Divine aurait-elle besoin de ses services ? Lui permettrait-elle d'aller à l'encontre des humains ? Est-ce que cette vieille étoile pourrait trouver une moitié ? Une certaine envie émanait de son existence, celle qui s'associait inévitablement aux autres. Pourquoi pas Mesysse ?
Alors muée dans cette envie et cette impatience, cette dernière fut récompensée il y a environ vingt-deux ans environ. Enfin ce fut son tour à elle. L'étoile eut le droit de descendre sur la Terre. Un souhait qui, peut-être, aurait-on pu lui épargner à bien y songer à présent.
* * * * * *
Lentement les pupilles brunes s'étaient ouvertes sur le monde. Au milieu d'un Texas bien vaste, la jeune étoile prenait vie. Déjà alors il fut simple de voir une différence certaine chez elle. La couleur de ses yeux variait radicalement des humains, ne dénotant pourtant pas de façon flagrante qu'il s'agissait là d'une étoile. Et la mémoire qui manquait de son ancien temps, n'aida aucunement l'enfant à comprendre pourquoi. Oui, pourquoi au milieu de ce champ, la jeune fille se tenait là, debout devant une armée qui semblait sur les crans. Le doute s'installait, mais la peur également. Cette peur viscérale d'être prise au piège pour une raison qui lui était si inconnu. Les souvenirs manquaient. La logique s'envolait. La peur la broyait. Pourquoi avaient-ils l'air si menaçant ? Pourtant un homme s'approchait finalement, se portant à sa hauteur.
« Quel est ton nom ? »Cette seule phrase devint un vrai problème, démontrant nettement un manque de compréhension de sa part. L'enfant ne parlait pas cette langue, ne pouvait la comprendre. Alors les sentiments les plus primaires et les plus envahissants se peignaient naturellement sur ses traits, son faciès. Elle voulait fuir. Prendre ses jambes à son cou et fuir si loin que cela lui aurait été possible de faire. Ses jambes se refusaient à le faire. Son corps ne pouvait bouger. Pourquoi ?
« Tu vas venir avec moi. »Des mots encore si vagues, mais des gestes les accompagnaient. Cela pouvait avoir l'air rassurant pour un enfant perdu que quelqu'un se tourne sur lui, mais la jeune fille avait peur. Peur de ce trop-plein de monde sans raison, de ces armes et cette menace qu'on lisait clairement. Pourquoi ?
Pourtant, on ne laissa aucunement le choix à l'enfant, l'emportant sans demander son avis, l'endormant quand cette dernière se débattait trop.
C'était flou.
* * * * * *
Les murs furent d'un blanc immaculé à son réveil. La pureté qui s'en dégageait dénotait alors clairement avec ce qu'il en serait réellement. Cette couleur si pure, si belle n'était en rien la prémisse de ce que son avenir annonçait. Et si les souvenirs de l'étoile furent oubliés, quelques jours suffirent amplement à le lui rappeler.
« Quel est son pouvoir ? Vous êtes certain que c'est une étoile, docteur ?
▬ Tout à fait, elle a manifesté des signes lorsque nous l'avons coupée. Elle semble pouvoir entrer en contact avec son sang. Nous n'en savons pas plus pour l'instant. Ses souvenirs lui manquent comme nous le pensions. Nous allons devoir intensifier les tests pour qu'elle se révèle plus rapidement.
▬ Cette gamine est vraiment étrange. Elle était apeurée au départ, maintenant je sens un malaise quand je croise ses yeux... Probablement cette couleur rouge...»Alors les tests s'intensifiaient de ce fait, laissant l'enfant vivre des expériences qui n'étaient aucunement données d'entrevoir à cet âge. Loin étaient les après-midi dans les champs et les glaces à la vanille en été. Celle qui, retrouvant peu à peu ses souvenirs de manière forcés, se faisait appeler Mesysse par la suite. Cette jeune fille d'environ sept ans, subissait dès lors durant plus de vingt ans des batteries de tests sur sa condition. Si certains semblaient tout à fait endurables, ne relevant que de données physiques et psychologiques, d'autres se voyaient bien plus éprouvants.
L'électricité passait ses veines, remuant tout son être. Les lames s'enfonçaient dans sa chair, vérifiant aussi bien les tenants de son don que de sa régénération visiblement au-dessus de la normale. Des liquides passaient ses veines, modifiant de manière infime son organisme sans le comprendre sur l'instant. Ses cris n'avaient alors de cesse de résonner dans cet endroit, imprégnant les murs de sa souffrance. L'étoile n'était pourtant aucunement la seule entre ses murs, trouvant toujours des regards à qui s'accrocher dans ses déplacements. Les couloirs déserts regorgeaient de portes, offrant une vue sur les autres « patients ». On sentait la douleur enfantine muée par un environnement malsain. Pourtant bien loin d'y passer sa vie, il fut un jour où l'étoile se trouvait être transférée.
« Pourquoi Mesy est envoyée au Japon ?
▬ Parce que son pouvoir pourrait être utile contre la menace qu'ils essuient principalement dans la ville d'Hoshikami. Ils nous demandent de la livrer pour en faire une arme de poing. »Parce que la jeune fille âgée de quinze ans lors de son départ, n'eut aucun mot à dire, conditionnée à suivre la « vie » que l'on traçait pour elle. Tout du moins jusqu'à ce que l'âge prenne le pas.
* * * * * *
« Tenez-la plus fermement ! L'adolescence... cette gamine nous pose problème depuis un an ! Ça va la calmer ! »Des liquides s'imprégnaient dans sa chair, coulant dans ses veines, transformant petit à petit l'être presque humain que son apparence laissait à penser. Ils racontaient dans les couloirs que ce médicament servait principalement à inhiber l'évolution constante et dérangeante de son don. Ralentir les effets, attendant que la jeune femme en devenir devienne plus patiente, plus obéissante. Alors les cris résonnaient, tranchant l'air de sa souffrance. Son corps lui brûlait alors que ses muscles se tendaient, allongée sur ce lit, attachée. Ses orbes rouge sang s'écarquillaient, cherchant à sortir des orbites en quête de liberté. Le sang semblait s'amasser dans sa gorge, étouffant déjà la respiration coupée qui rythmait ce corps frêle. Sa cage thoracique se soulevait, craquante, donnant ainsi la sensation que ses os se broyaient. Des heures où la torture était plus forte que la mort. Son don se révoltait d'être inhibé, se rebellait d'être emmuré, brisant sa propriétaire. La douleur était fulgurante au-delà de ce que pouvait endurer un être humain. Alors le calme revenait comme toujours. Le même processus trois fois par semaine. Sa respiration se faisait haletante, irrégulière, proche de l'arrêt cardiaque. La Mort semblait toujours lui tendre les bras, lui laissant croire que le salut était enfin là, toquant à sa porte, mais ce n'était jamais le cas. Ainsi l'ébène revenait à la réalité, endurant à nouveau ses traitements les jours suivants.
L'étoile Divine abandonnait les siens. C'est ce que Mesy songeait alors.
* * * * * *
« Mesy, comment vas-tu aujourd'hui ?
▬ Comment voulez-vous que j'aille au juste ? Mon corps me fait souffrir et j'ai l'impression de planer hors de mon corps, je suis fatiguée.
▬ Hier j'ai cru comprendre que tu avais présenté des aptitudes en informatique. Est-ce que c'est un sujet qui te passionne ?
▬ Un ordinateur ne trompe pas. On peut tout lui faire avouer si on sait s'y prendre. Il ne peut pas trahir.
▬ Alors tu aimes ça ?
▬ Peut-être bien... »L'enfant eut naturellement une formation spécialisée en informatique, notant de ce fait son évolution sur la question. Elle y passa dès lors des jours, des heures entières, dénotant rapidement parmi les autres. Les experts firent de la jeune adolescente, une hackeuse au fil du temps, songeant qu'il s'agissait là, d'un atout non négligeable contre les crépusculaires.
* * * * * *
« Mesy, relèves-toi ! Tu peux encore continuer ! »Ses jambes étaient lourdes, fatiguées d'un effort trop conséquent sur un trop long terme. La douleur prenait ses tripes, la faisant chuter dans son test. Pourtant les armes que l'on envoyait dès lors dans sa direction, n'attendaient aucunement que la jeune femme en devenir puisse souffler. Il était évident qu'il s'agissait de sa vie et inévitablement muée par le désir stupide de vivre encore, l'entité bougeait, se relevait instinctivement. La sueur perlait sur ses pores, dévalant avidement sa chair. La respiration saccadée arpentait les lieux, résonnait dans cette pièce vide aux murs blancs. Le goût du sang s'amasser entre ses lèvres, finissant par cracher des gerbes. Où étaient partis les rires et les souvenirs heureux ? Où étaient-ils allés ?
Ce jour-là, l'étoile comprit les limites de son don, s'effondrant subitement, sa peau se craquelant jusqu'à laisser apparent des veines. C'est une monstruosité qui se dessinait.
* * * * * *
Le sang. L'odeur du sang plane dans cet endroit. Tu en es la cause. Vingt longues années de souffrance ont fait de toi un véritable monstre. Ils disaient de toi que tu ferais une arme de poing contre les terroristes, que tu serais sur la première ligne, que ton pouvoir ne pouvait être gardé à un usage personnel. Ils ne savaient cependant guère que c'est ce résultat qu'ils engendraient. Tu marches lentement dans les couloirs du laboratoire. Tu erres, laissant tes pieds traîner sur le sol. Tu connais cet endroit par cœur, toute ta vie se résume à ces couloirs et à ces murs. Tu as grandi ici, ce que tu es, est née ici et ils ont fait de toi ce que tu représentes aujourd'hui. Tu n'as pas véritablement de nom, juste un surnom que tes lippes ont un jour murmuré. Malgré tout ceci tu n'étais pas seule ici. « Où est Mesy ?
▬ Nous ne savons pas monsieur. Je … Je crains qu'elle ne se soit échappée de sa chambre !
▬ ARGH !
▬ Qu'est-ce que c'est ?! »Les cris, les hurlements, les bruits des os qui se brisent sous la force, un monstre arrive, déambulant dans les couloirs du laboratoire, tu arrives.* * * * * *
Le laboratoire était silencieux, rien ne prédisposait cette journée à un tel cauchemar pour les hommes qui y travaillaient, rien ne laissait croire qu'une telle chose arriverait. Comme à leur habitude, ils étaient venu la chercher dans sa chambre. Allongée sur son lit, Mesy ouvrait lentement les orbes sur ce monde qu'elle ne connaissait que trop bien. Ce monde se résumait à ces murs, le soleil devenait un inconnu au fil du temps, ne sachant guère plus à ce qu'il pouvait ressembler. La lune n'avait plus de forme. Sa vie ne connaissait que le béton qui armait la blancheur immaculée. Chaque jour, les expériences se multipliaient au fur et à mesure que son corps grandissait, se métamorphosait pour mieux l'endurer. Régénération partielle, pouvoir lié au sang, ils cherchaient à comprendre, à savoir d'où venaient de tels pouvoirs, comment les étoiles arrivaient réellement jusqu'ici. Qui décidait de quand ces êtres descendaient sur Terre, pourquoi existait-il un tel lien entre elles et les humains, mais surtout, ils cherchaient inlassablement à la soumettre pour créer une arme, un outil tout au plus. La jeune femme était fatiguée d'être traitée comme un objet, fatiguée de cette vie et sa haine envers eux ne faisait que croître de jour en jour. Les humaines ne méritaient guère son pardon. Ce n'était qu'un jouet pour des expériences, une arme utile dans une guère qu'elle ne pouvait comprendre et surtout, Mesy n'avait pas de cachet en tant qu'être humain. Nulle part, elle n'existait nul part ailleurs que dans ces murs, dans ces dossiers. Elle n'était rien et cela la rongeait de l'intérieur, mais elle savait que ce jour arriverait. Le jour où tout se terminerait, le jour où sa vengeance arriverait enfin, et ce jour arriva.
Le garde n'avait pas survécu en ouvrant la porte de sa chambre. Et à présent, ses pieds traversaient machinalement les couloirs pour arriver dans la salle de test. Un silence de plomb semblait régner alors, pourtant une voix n'avait de cesse de crier des instructions dans les hauts parleurs. Un fin sourire amer se dessinait sur ses lippes. Rien ne pouvait l'arrêter, bouffée par sa rage envers les humains. Le sang. Les os qui se brisaient. Les hurlements. Et enfin … le silence. L'arme se retournait contre son maître.
* * * * * *
La lumière du jour venait agresser ses orbes alors qu'enfin depuis si longtemps, ses pieds pouvaient fouler le sol. Un sol armé d'herbe. Des années que l'étoile n'avait plus eux le droit de ressentir la sensation de la verdure qui vous chatouille et l'air frais qui passait vos narines. Des larmes parce que la liberté venait à elle. Pourtant, au fond de ce labo, une âme respirait encore en plus de ses confrères étoiles. Un homme qui rendait le visage de Mesy, connu.
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