Sujet: La nuit, le danger rôde || ft max Jeu 14 Avr - 21:23
ft. max
342 mots
hrp; vala ♥ désolée c'est un peu court ;A;
T'étais restée plus tard au travail, aujourd'hui, besoin d'heures supplémentaires. Tu avais envie de te faire un peu plaisir le mois prochain, mais comme le disait le dicton, on n'obtient rien sans rien. C'est avec avec un soupir de soulagement que tu défais ton chignon, dans les vestiaires pour femme. Tes cheveux commençaient à te peser lourd quand même, à force, et ça faisait un bien fou que de les détacher. Tu te changeas en vitesse, simple jogging et haut déformé. Aucun besoin de faire des efforts de toilettes, tu ne fais que rentrer chez toi. Pas la peine d'être sur son 31 pour ça. Tu pousses un autre soupir en sortant dans la rue et voyant la nuit déjà bien installée. Cela faisait des jours que tu n'avais pas eu de soirées rien que pour toi et cela te manquait, il fallait bien l'avouer. Mais bon. C'était ainsi. Sur le chemin de ton appartement, tu te perdis dans tes pensées. Tu te mis à chantonner, une vieille chanson qui datait de tes sorties sur les plages italiennes, profitant du vide des rues. Au bout de quelques mètres, à un croisement, tu vis une silhouette qui, te semblait-il, titubait. Tu t'arrêtas immédiatement et, dans un élan de sympathie, tu t'approchas de la personne dans l'ombre. Il ne te vint même pas à l'esprit que ça pouvait être une personne dangereuse ou bien un piège, non. C'était sans l'ombre d'un doute que tu t'avanças.
« Hum. Excusez-moi, vous avez besoin d'aide ? »
La personne se trouvait être, en fin de compte, un jeune homme aux cheveux blancs et qui semblait bien amoché par l'alcool. Tu te mordis doucement la lèvre et approchas un peu plus prudemment. Tu savais très bien les dégâts que pouvaient faire l'alcool, même si tu ne les avais jamais subis. Ce n'était absolument pas pour toi.
« Je... Vous... Vous avez vraiment pas l'air bien... »
Sujet: Re: La nuit, le danger rôde || ft max Sam 23 Avr - 20:10
Encore une fois, tu n'avais rien de prévu après le travail. Aucun enfant à aller chercher de l'école, aucune course à faire, aucune femme à choyer. Tu pouvais tenter de décompresser ce soir, et accepter l'idée que cette fin de journée allait encore être une plaie.
Ce n’est pas en restant cloitré chez toi que tu avanceras dans sa vie.
Tu es dans ce bar, à regarder le fond de mon verre. Tu comme l'impression qu'une main sert fort sur ta cheville et te tire vers le fond, vers les enfers où tu tombes doucement.
Tu finis presque par aimer ça.
Tu commences à aimer l'obscurité. Tu crois que tu t'y es habitué. Tu crois que tu ne seras jamais heureux. Parce que tu sais que c'est quasiment impossible. Alors te détruire un peu plus te fait du bien.
Minuit. Tu ouvres doucement les yeux, bien que tu aimerais les garder fermés, et te rendormir tout de suite, pour retourner dans tes rêves houleux, retourner dans un autre monde, loin de la dure réalité de la vie. Mais tu ne peux pas rester couché toute la nuit dans ce bar puant. C'est déjà la nuit, tu as perdu toute une soirée.
Wow.
Tu te sens mal. Vraiment mal. Tu as encore trop abusé sur l'alcool. Tu en as marre. Tu commences à en avoir marre de cette sensation d'ivresse éphémère.
Tu sors du bar, la tête lourde. Tu grimaces et t'étales par terre. Tu te lèves d'un bon.
Tu es dans un état pitoyable.
Tu sens une brise légère te rafraichir. Une jeune femme t'aborde, voulant prendre de tes nouvelles. L'attention te touche, mais tu n'es pas assez sobre pour être gentil ce soir.
« Rentres chez ta mère gamine. Il est tard. »
Tu te sens pris de vertiges et t'affales contre le mur. Putain de loque.
(je teste la seconde personne gomen, et gomen pour l'attente)(et c'est pas top gomen again)