Le miroir chibi.

-à lire !-
“ Viens donc me voir, plonge donc dans ce contexte fou et clâme haut et fort "vive les chibis" ! „

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Ce Rp est un Rp totalement libre et ouvert à toute personne qui souhaite venir.
/!\Message de prévention important numéro 1/!\
Si ceci à l'air d'un gros troll, ce n'en est pas un. Non, c'est un vrai Rp, pour s'amuser certes, c'est pour ça que je le poste en HRP, merci de rester un minimum sérieux dans vos réponses, non je rigole. Mais je dis non au troll !
/!\Message de prévention important numéro 2/!\
Âme sérieuse, retiens-toi. Car tu risques d'être choqué, sauf si tu as envie de t'amuser, c'est marrant aussi des gens sérieux qui deviennent des chibis.
~~/!\Message de prévention important numéro 3/!\~~
L'histoire se déroule toujours dans l'univers d'Hoshikami, parce qu'on est sur le forum d'Hoshikami en fait donc c'est logique, mais avec ce contexte hors Rp, vous n'aurez qu'à l'imaginer comme un monde parallèle, un peu comme le mode miroir dans Mario Kart en fait, je sais merci les référence.

So serious ! Je passe donc au contexte.

Dans un coin sombre de la bibliothèque, il y a un livre. Un livre magique, car à partir du moment où des étoiles sont descendues sur terre et ont pris forme humaine, tout ce qui devrait être explicable ne l'est plus. Donc à partir de là, on peut justifier le fait qu'au fond d'une bibliothèque il y ait un livre magique. Lorsque ce livre est ouvert, un sortilège transporte la personne qui regarde son contenu... Ailleurs.

Ailleurs, c'est-à-dire dans un autre monde. Non, en fait c'est le même monde. Mais tout semble inversé, c'est comme si l'on traversait un miroir. Ah, il y a aussi ce détail que j'oublie de préciser, ce détail important.
Tout ici semble identique au monde que l'on connaît, sauf les êtres vivants.
Il se trouve que tout être vivant ici, possède l'apparence d'une toute petite personne mesurant en moyenne un mètre tout au plus, des nains oui ! Leur visage ressemble à un dessin, leur bouche est constituée de deux traits noirs en fonction de leur humeur. Leurs yeux aussi ont grossit, ces gens ressemblent tous à des dessins animés, le plus amusant est que quand ils parlent ; ils ont une toute petite voix, plus ou moins aiguë.

Mais pourquoi riez-vous ? Regardez-vous donc. Vous qui, avez trouvé ce livre et plongé dans ce monde ; vous êtes pareils. Exactement comme tous ces gens, qui ressemblent à des chibis.~

Donc en soit, Hoshikami est devenu un dessin animé. Regardez donc ce pauvre cuisinier là-bas, dans ce restaurant qui a fait flamber son plat, sa tête est devenue noire et ses cheveux ont dressé en piques. Mais quelques minutes plus tard, il a repris ces couleurs. Puis là-bas, cette fille, qui n'a pas remarqué qu'elle est absolument dépitée, sa tête est devenue bleue avec de petits traits noirs qui signent la désespérance. Ah non pardon ! C'est Rêvanha ça.

◄► Une étoile et une carte.◄►

Une carte, une rétro-projection, c'est ma nouvelle. Ma carte, ma dernière, cet indice tu l'a vu, ou pas. Qui sait. Peut être tu l'as vu. Et que ce comédien danseur deviennent l'art de la rétro-projection, l'illusion ou la désillusion. Une illusion qui n'en est pas une, une réaliste ? Une futuriste ? où bien seulement magique ? Les comédiens danseurs dansent et Rêvy danse. C'est la première, la première carte. L'as de carreau, mon atout.

Ʃkaemp はは ™

~La banalité d'une journée banale.~

Cette chère Rêvanha, qui n'avait donc jamais rien à faire de ses journées d'intéressant, selon elle et s'ennuyant à mourir s'était rendue à la bibliothèque. Car en traînant dans la rue elle est passée devant la Bibliothèque, ouai. Aucune explication, à part se dire qu'elle irait chercher ce livre légendaire qu'il est absolument interdit de ne pas aimer dont l'auteur(e?) est Lewis Carroll.

Du coup, Alice, Non Rêvanha. Cherchait son livre dans un rayon du fond de la bibliothèque où étaient gardés les livres de "mondes fantastiques", ce qui est paradoxal puisque nous sommes dans un monde fantastique. Dans ce coin de la bibliothèque, il y avait particulièrement peu de luminosité, ce qui rendait ses recherches difficiles, elle se décida alors à saisir l'un de ces livres, de toute façon ils se ressemblent tous. Elle l'ouvrit donc, par curiosité, comme toute personne relativement normale qui cherche un livre et là, comme toute histoire il se passa quelque chose de fou ! En criant inconsciemment et laissant tomber le livre à terre et en rouvrant les yeux, elle venait de littéralement plonger dans le livre.

En regardant autour d'elle, elle se trouvait sur une place de la ville avec des bancs, des arbres et des lampadaires, des petits magasin, surtout cette boutique de fruit qu'elle adorait. Et puis cette ruelle aussi, celle où il y a toujours des chats, enfin... Un chat noir. Il y avait une seule chose qui la dérangeait dans cet endroit qu'elle connaissait donc déjà, c'était que le lampadaire qui habituellement se trouvait à droite était ici à gauche. Quant à la bibliothèque, elle se trouvait à environ 500 mètres d'ici.

Autre chose vînt attirer son regard, le chat noir qu'elle voyait toujours dans cette ruelle, il ne ressemblait pas à un chat. Enfin si, mais il n'avait plus de poils, sa peau était toute lisse, ses oreilles et ses yeux étaient plus grandes, en fait il ressemblait à un chat tout droit sorti d'une série d'animation. ~~Je peux même dire que c'est exactement le même chat noir que Seth utilise toujours dans la CB.~~ Chat à son habitude, le chat se rapprocha de Rêvanha pour se coller à elle en ronronna, mais Rêvanha fit immédiatement dépitée. Le chat n'était plus aussi doux qu'avant. Les yeux de Rêvanha prirent la forme d'une coque de bateau, son front devint bleu et des traits noirs en mode "hollow" apparurent. Elle le remarque voyant son reflet dans une vitre, voilà donc qu'elle comprit. En regardant les gens autour d'elle, tout le monde était devenu petit, aux formes arrondis, avec de grands yeux, ils étaient tous des chibis.~

C'est alors que Rêvanha eut l'envie de retrouver sa créatrice pour l'assassiner en remarquant que comme elle avait de petites joues potelées, tout son petit corps de chibi avec sa robe bouffante avait pris de petites formes rondes. Sa chevelure bleue marine la rendait absolument... Oui bon, c'est Alice au Pays des merveilles quoi. Voilà, je ne sais pas si quelqu'un voudra répondre à ce Rp, mais ne laissez pas ma pauvre Rêv' ici toute seule s'il vous plaît, avec un chat en plus. Un chat qui a perdu sa douceur...~

~Musique~:

Les rues sont bondées de monde. A droite, des personnes. A gauches, des personnes. Devant, des personnes. Et derrière, des personnes. Si elles sont toutes unique et se déplaçent toutes à des rythmes différents, n’allant même pas forcément dans le même sens, c’est une immense masse d’êtres humains qui grouille, sans que l’on ne puisse y distinguer grand chose.

Certaines personnes ont un style vestimentaire très particulier. Rien de bien compliqué à comprendre, c’est jour de convention. Un événement spécial centré sur les liens étoiles-humains dans les mangas, les anime, et tout ce genre de truc. Chlodwig n’était pas vraiment au courant mais l’important, c’était qu’il y ait foule.

Plus il y avait de monde et moins il y aurait de problèmes. En théorie. Même si les autorités tombaient sur lui, personnellement, au milieu de tous les autres individus, la présence d’autant de gens les dissuaderait et ils pourraient être utilisés comme bouclier. Mais pour le moment, il était déguisé.

En lapin. Un lapin blanc antropomorphe, comme celui d’Alice au Pays des Merveilles. Parce que comme ça, ça ira bien avec le reste du RP et ça sera sympa. Ah, non, il parait que c’est juste parce que personne ne pensera jamais que les membres du crépuscule se déguisent en lapins.

C’était un coup à ne pas être crédible, ça. Mais l’étoile se fichait bien de la crédibilité : elle ne lui apportait rien. Peut-être serait-elle plus important pour l’organisation en particulier, mais un doute planait toujours. A savoir, avaient-ils besoin de personnes qui trouveraient ça ridicule si on leur donnait des ordres précis pour infiltrer un quelconque endroit.

En l’occurrence, il avait pour but de se rendre à la bibliothèque. Parce qu’il avait vraiment besoin de consulter quelque chose dans un livre d’échecs. Et aussi parce qu’il n’y a pas trente six choix pour participer au topic : faire comme Rêvanha l’avait décidé. Une rébellion pourrait peut-être la bienvenue.

Sinon, il aurait peut-être pu vouloir y rencontrer quelqu’un. Qui sait, hein ? Le prochain posteur, peut-être ? Enfin bref, revenons à nos moutons. Notre lapin.

Finalement entré dans la biblitothèque, il erre. Cherche-t-il son livre sur les échecs ? Cherche-t-il autre chose ? Quoi qu’il en soit, il finit par se retrouver au milieu des livres fantastiques. Cela fait longtemps qu’il n’en a pas lu alors il en ouvre un, le regarde un peu.

Puis il le repose et en tire un autre, au hasard. Il s’amuse comme ça, cherchant un ou deux titres à télécharger - pour les lire tranquillement - avant de trouver ce livre particulier qui avait déjà fait une victime. C’est à ce moment là que la chose se reproduit et que Chlodwig est également transporté dans ce monde.

Bien entendu, il ne comprend pas vraiment ce qui arrive. Rêve-t-il ? Un pincement semble indiquer que ce n’est pas le cas. Il sort une montre à gousset et regarde l’aiguille continuer à avancer, en rythme. Tic tac, tic tac. Le temps n’a pas l’air détraqué. Mais... Chlodwig, lui, l’est.

Il est devenu un chibi. Le reste du monde est également devenu chibi. Et il n’a pas non plus l’air d’être exactement comme celui dont il venait. Ca, il pouvait le savoir même s’il n’avait pas réellement fait attention en venant jusqu’ici. Du coup, le terroriste se sent totalement destabilisé.

Perdu.

Aucun de ses repères ne sont plus là. Et en plus de ça... Il aime ce qui est mignon alors ce n’est pas vraiment le meilleur endroit pour sa santé mentale. Il ferme les yeux. Essaye de respirer pour reprendre ses esprits. Il avance un peu, tourne aussi un peu en rond. Puis rouvre ses yeux. Regarde sa montre. Il va être en retard. Pour quoi ? Ne lui demandez pas, il n’est pas encore en état de répondre.

« - Je vais être en retard, je vais être en retard. Il faut que je me dépêche. »

Il rouvre les yeux pour s’aperçevoir qu’il avait failli rentrer dans la jeune fille qui s’appelle Rêvanha. Mais ça il ne le savait pas. Il ne la connaît pas, après tout. Alors bien évidemment, il panique et sa montre lui échappe des mains.

Elle ne se casse pas, non. C’est juste que, sous le choc, encore désorienté, il la change en panda. Il le regarde un instant. Panda chibi. Marmonne des excuses bizarres à la jeune fille et lui demande de l’aider. Puis il se met à courir après le panda en hurlant :

« - Ma montre ! »

Franchement... C’est vraiment mal parti. Heureusement qu’à défaut d’être un rêve, ce n’est que du beurre.

Le miroir Chibi.

Have I gone mad ?

Rêvanha & Chlodwig & Kara [...]

Les journées de lycéenne sont toutes les mêmes, morbides et ennuyantes, il faut courir à longueur de journée dans les allées funestes de l'établissement et le soir, on retourne dans sa chambre comme un bon cobaye. Ce n'est pas que cela ne m'enchante point, c'est juste que j'aimerai sortir un peu plus et me familiariser avec Hoshikami. D'ailleurs, il paraît qu'aujourd'hui c'est un jour spécial. En fait, j'avais entendu des rumeurs sur une journée fabuleuse qui célébrait les étoiles et les humains, leur relation ou-je-ne-sais-quoi. Il fallait absolument que j'aille y jeter un coup d'oeil, ma survie mentale en dépendait. Je relevai doucement ma tête, le fait de m'être rallongé m'avait donné mal de crâne, puis je n'avais rien fait de la journée, j'étais toujours en pyjama, toujours dans le déni d'une aventure à venir. La boîte de médicament tomba lorsque je voulus la prendre, je la ramassai et la secouai, il n'y avait presque plus rien. Tant pis, j'irai en acheter une prochaine fois. L'eau dans la bouilloire sifflota, elle se déversa dans une petite tasse en porcelaine rose, j'y ajoutai un sachet de thé et avala grâce à une gorgée le cachet.

La foule grouillait comme dans une fourmilière cependant elle se situait dans les rues, rien que de la chambre je pouvais voir toutes les petites têtes assemblées. Des bruns, des blonds, des roux, des femmes, des enfants, des déguisements et des habits d'écoliers. Tout y était, c'est un rassemblement des plus gargantuesques. Un petit rire m'échappa, j'enfilai rapidement mon uniforme et dévala les étages en direction de la rue. Du haut de mon pauvre mètre soixante, je ne peux pas vraiment dire que je suis bien placée pour surplomber les fourmis qui s'agitent dans tous les sens, loin de là même. Ce n'est pourtant pas important, disons que je peux me faufiler à travers et c'est d'autant plus amusant. Je bousculai les passants en sens inverse, créant parfois des protestations ou des acclamations, même qu'un homme me posa un imposant chapeau sur la tête, qui m'arriva droit dans les yeux, mais je gardai le présent comme souvenir.

Quand les rues se rétrécissent, vers le centre-ville, la foule est beaucoup plus dispersée, quelques courageux osent y rester, ils n’ont pas froid aux yeux, pas peur de se faire écraser si le troupeau se déplace par ici. J’en profitai pour explorer les magasins, il y avait de tout à Hoshikami, des cafés, des restaurants, des boutiques de vêtements, des papeteries et une bibliothèque. Voilà qui est intéressant, emprunter un ou deux livres ne fera pas de mal, surtout en ces temps. Je poussai la porte en bois fermement, l’endroit était assez rustique, des étagères en bois croulaient sous des lampadaires scintillants, les livres étaient rangés par genre : policiers, cuisine, roman à l’eau de rose et au fond de la boutique, là où la lumière clignote d’être surexploitée, des romans oubliés. Des romans qu’on ne saurait dire s’ils sont des contes ou bien des histoires puériles. Alors, je m’approchai de cet endroit si mystérieux, retirant un des livres légèrement décalé par rapport aux autres. Le pays des merveilles hein ? Qui peut encore croire à de telles sottises ? J’ouvrai le lire un peu moqueuse, et le trou noir.

Le livre avait disparu de mon champ de vision, et surtout, ce foutu chapeau ne me tombait plus sur la tête, il avait été adapté. Pire, tout mon corps était disproportionné. Mes cheveux ondulés me tombaient presque sur les pieds, alors que d’habitude ils ne frôlent que la naissance des reins, un petit corps, des yeux ronds dont je pouvais dessiner le contour avec mes mains. J’étais transformée.. en chibi ? Mais, ils sont fous ma parole. A moins que je ne le sois, et je pense bien que ce soit le cas, un petit lapin au loin commençait à se plaindre.

« - Je vais être en retard, je vais être en retard. Il faut que je me dépêche. »

Intriguée, je m’approchai et avant que je ne puisse lui donner une leçon de morale, il percuta une jeune fille en robe, laissant sa montre tombée sur le sol, le tic-tac incessant toujours présent. Puis, la montre devient, au contact de l’homme, un panda. Rien que ça, dis donc, ma pauvre Kara, il va falloir que tu te remettes de ta folie. Une montre n’est pas un panda, et un panda n’a pas une horloge interne qui grince à chaque pas. Bref, il la poursuivit, après tout, il était en retard.

« - Ma montre ! »

Le panda se dirigeai vers moi à toute vitesse, je fermai les yeux et l’attrapa, il n’était pas très grand. Le pelage était doux, affectueux, je l’aurai bien gardé, avant que la démence ne m’enferme dans le monde des chibis. Quoi qu’il en soit, les deux jeunes gens me faisaient face, je marchai d’un pas décidé, essayant de ne pas me moquer de l’homme en lapin. Ma voix, me parut soudainement plus adorable que d’habitude, la crédibilité me payera.

« Je vous interdis de dire que vous êtes en retard. Ici, il n’est jamais trop tard pour l’heure du thé. »

Une table s’était dressée seule, pâtisseries et service en porcelaine magnifiquement décoré. Je m’assis et me servis une tasse, puis deux, elles passaient dans mon corps en un rien de temps et j’en voulais toujours plus. Je me tournai vers eux, un peu réticent à me rejoindre, me prenant sûrement pour une psychopathe.

« Suis-je devenue folle ? »