Partagez
 

 anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Message
Lowell Wellis
Lowell Wellis


Messages : 1
Date d'inscription : 20/09/2016

anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) Empty
MessageSujet: anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc)   anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) EmptyMer 21 Sep - 0:13




Nom — wellis
Prénom — lowell
Âge — 26 ans
Sexe — monsieur
Race — humain
Nationalité — anglais
Occupation — vendeur de tickets dans un cinoche, pas bien folichon mais au moins il paie son loyer.
Orientation sexuelle — hétéro






physique

couleur des yeux — ambre ; couleur des cheveux — petit blondinet ; taille — un mètre quatre vingt quinze ; poids — pas très épais (ça fait un petit moment qu'on l'a pas pesé, donc ce sera dur d'avoir un chiffre exact) ; tatouages ou piercings — bras droit, une tête de mort avec les os croisés, parce que ça lui a paru cool sur le moment... sur le moment ; cicatrices — il lui manque un bras et une jambe (cf le nb), mais à part ça, ça va, il a pas été trop amoché ; style vestimentaire — il porte un peu de tout, disons qu'il s'adapte à la situation. tant que c'est pas trop sombre, ni trop près du corps, toussa.

nb par rapport au fait qu'il lui manque un bras et une jambe. Les deux sont du côté droit (enfin, ne sont plus, techniquement) et sont remplacés par des prothèses. Si sa jambe reste une prothèse "de base", d'entrée de gamme si l'on peut parler comme cela de tels produits, et ressemblant plus à une espèce de jambe de bois de pirate en métal qu'à une jambe humaine, la prothèse de son bras elle, est une prothèse bionique qu'il s'est offert récemment. C'est cool, ça fait un peu robot, même si c'est un peu capricieux de temps en temps (et ça le restera jusqu'au jour où il aura parfaitement appris à s'en servir).



caractère

Parlez nous de la personnalité de votre personnage, ce qu'il aime, ce qu'il n'aime pas; ses points de vue; si oui ou non, ils croient aux étoiles ou pense toujours que c'est un complot contre l'humanité; ses avis vis à vis des anti-étoiles. Tout ce qui vous passe à l'esprit et qui pourrait nous éclaircir sur cette mignonne chose que vous créez.


histoire


Aah, les Wellis. Sympathique petite famille anglaise, originaire de Cambridge, Angleterre qui ont un jour décidé de toute plaquer pour partir faire un tour du monde, rêve que le couple avait depuis longtemps. Tous deux hautement diplômés et issus de familles croulant sous l’argent, ils avaient essayé de s’accommoder au mode de vie qu’il leur avait été instruit toute leur jeunesse. Mais diable, que c’était ennuyeux. Après sept ans de mariage et deux gamins, Thomas 9 ans et Lowell 6 ans, ils avaient jugé que la petite vie bien rangée n’était définitivement pas pour eux et, embarquant leurs deux rejetons, ils se lancèrent dans l’aventure de leur vie.

Autant le dire, ils ont vu tout ce qu’il y avait à voir et ont repoussé toutes les limites qu’ils pouvaient repousser - surtout celles des gamins. Ce n’est qu’après plus de deux ans (parce qu’ils ont pris leur temps, évidemment) qu’ils ont remis les pieds sur le sol anglais, plein de souvenirs et d’anecdote à raconter, mais surtout avec la conviction toujours plus forte qu’ils n’appartenaient pas au monde dans lequel ils avaient grandi.

Durant leur voyage, ils étaient tombés amoureux du Japon, et y été restés bien plus longtemps que dans les autres pays qu’ils avaient visités. Nouveau but pour les époux donc, aller y vivre. Et ce ne fût qu’un an et demi après leur retour à Cambridge qu’il partirent au Japon, ayant trouvé boulot, appartement et même écoles anglophones pour les gosses.

Lowell avait à peu près dix ans à cette époque, et aucun repère. Il avait été trimbalé de tous les côtés alors qu’il était encore très jeune, «scolarisé» par sa mère entre deux avions histoire qu’il ne soit pas trop perdu lorsqu’il devrai retourner à l’école et n’avait pour seul «ami» que son grand frère (qui était un peu dans la même galère que lui, niveau manque de repères). Mais les parents n’avaient pas l’air de s’inquiéter pour eux. Peut-être qu’ils auraient dû, surtout pour le plus âgé des deux.

L’arrivée au Japon marqua un changement assez brutal dans la vie des deux garçons. Même s’ils avaient été dans un certain nombre de pays étrangers, ce n’avait jamais été définitif. Là, ils se retrouvaient à apprendre une langue qui n’avait rien à voir avec l’anglais, dans un pays aux coutumes qui leur semblaient totalement perchées s’il fallait les appliquer quotidiennement et avec l’incertitude que tous leurs efforts serviraient à quelque chose, connaissant l’instabilité de leurs parents lorsqu’il s’agissait de vivre quelque part. Mais Lowell s’adapta, de nature extraverti et ayant le goût de l’apprentissage, il se senti chez lui assez rapidement - malgré que la plupart des japonais de son âge qu’il rencontraient étaient plus fascinés par son blond naturel que par lui-même en tant qu’être humain, mais cela ne le dérangeait pas plus que cela.

Il fût vite au niveau d’intégrer une école japonaise, tant son apprentissage de la langue avait été rapide, et même s’il avaient quelques galères de temps en temps, il s’était vite fait des amis qui n’hésitaient jamais à l’aider s’il en avait besoin. Ah, que les parents Wellis étaient fier de leur enfant ! Ils n’auraient pas pu rêver mieux que Lowell, un gamin intelligent, qui ne fuyait pas devant les défis et réussirait probablement tout. Et puis, de l’autre côté, il y avait Thomas, qui avait fait un rejet total du pays, n’allait pas en cours et crachait à la gueule des ses parents - littéralement, c’est pas une image. Lowell était le premier à s’inquiéter pour son frère et, âgé de quelque chose comme dix sept à l’époque où Thomas commençait à vraiment mal tourner, il faisait des pieds et mains pour essayer de l’aider. Mais à chaque fois qu’il tentait une approche il se faisait recevoir par des remarques glaciales, et des invitations à dégager le plus vite possible avant de se faire cogner. Il ne le montrait pas, mais il vivait très mal la haine que son frère avait pour lui, il ne la comprenait pas et s’il essayait de poser des questions, cela partait en insultes et menaces.

Il fallu un moment à Lowell pour réussir à lâcher l’affaire, et laisser Thomas dans la merde dans laquelle il s’était foutu tout seul. Aujourd’hui encore il est persuadé que ce n’était pas la bonne solution, et qu’il aurait dû accepter d’être le défouloir de son frère, de perdre une dent ou deux sous les coups dont il le menaçait tout le temps, parce qu’il sûr que faire cela aurait pu changer le cours des choses. Ses parents qui le disaient fort, mature et j’en passe, alors qu’il n’avait même pas réussi à aider son grand frère. Ce sera sûrement l’éternel regret de sa vie.

(...)

Alors que Thomas traînait dans les rues, avait mis enceinte une prostituée russe qui lui demandait maintenant de l’argent, agressait des personnes âgées dans la rue pour se payer une bouteille d’alcool ou quelques grammes de sa drogue préférée, Lowell étudiait, bossait et avait un petit appartement que ses parents l’aidaient à payer. Le mauvais fils versus le bon fils, en quelques sortes. Malgré le point sombre qu’était son frère, Lowell était content de sa vie. Plein d’amis, en couple depuis plus d’un an, un diplôme presque obtenu et des parents qui le soutenaient dans ce qu’il entreprenait.

Qu’est-ce qui pourrait mal tourner, hein ?

Le lendemain soir de ses vingt trois ans, il reçu un message. Quelle ne fût pas sa surprise lorsqu’il vu le nom de son grand frère dans sa barre de notifications. A ce moment là, son coeur s’était serré et il avait hésité à supprimer le message sans même le lire, mais avait finalement cédé.

Thomas 22:37
« Hey Lo, tu peux venir chercher ton vieux frère et l’emmener à l’hosto ? Je crois que je suis en train de crever. Papa et maman répondent pas. »

Lowell avait froncé les sourcils, et verrouillé le téléphone en essayant d’oublier ce qu’il venait de lire. Mais l’appareil sonna à nouveau.

Thomas 22:39
« Allez sois sympa. T’as l’occasion de faire la seule chose que t’as jamais faite : m’aider. Me dis pas que tu vas pas le faire ? Tu veux vraiment avoir ma mort sur la conscience ? »

Il avait eu envie de vomir en lisant ce dernier sms. Il ne savait pas trop pourquoi, mais il avait aussi envie de pleurer et sentait le picotement distinctif dans ses yeux.

Lowell 22:40
« Joue pas à ça. T’as jamais voulu que je t’aide. »

Il avait faibli et avait répondu. Il avait signé son arrêt de mort à ce moment précis.

Thomas 22:41
« Ouais et maintenant que je veux que tu m’aides, tu vas pas le faire ? »

Lowell 22:47
« T’es où ?»

La réponse ne s’était pas fait attendre et quelques minutes plus tard Lowell était en route vers l’endroit indiqué. Un ramassis d’émotions se bousculaient dans sa tête, au point où il ne savait même plus ce qu’il ressentait. Et en effet, il trouva son frère, dans un état purement dégueulasse, assis sur un bout de trottoir, emmitouflé dans une couverture à l’odeur irrespirable. Le plus jeune des deux frères ordonna au plus âgé de laissé cette horreur dehors, sinon il le laissait crever là. Et le grand frère lui obéit calmement, sans même essayer d’argumenter.

Le première partie du «voyage» s’était passée dans le calme, aucun des deux ne parlaient, même s’ils avaient probablement beaucoup à se dire. Lowell se concentrait un maximum sur la route, essayant d’oublier celui qu’il avait sur le siège passager. Mais au bout d’un moment, Thomas brisa le silence.

« Hey Lowie. »

Ca faisait longtemps qu’il ne l’avait plus appelé comme ça, et il dévia le regard le route une demi seconde pour le porter sur son frère.

« Qu’est-ce que tu veux ? »

Il entendit son frère se gratter la tête, comme s’il hésitait sur ce qu’il allait dire.

« T’as toujours été... La personne la plus importante pour moi tu sais. J’donnerais ma vie pour toi, petit frère. »

Lowell serra les dents, les émotions toujours que plus confuses.

« Epargnes moi tes conneries s’il te plait. Je te pose à l’hosto et j’entends plus parler de toi. Que t’y crèves ou pas, j’en ai rien à foutre. Je fais juste ma B.A de l’année là. »

Bien sûr, il ne pensait pas ce qu’il se disait. Il l’aimait, son grand frère, malgré tout. C’était un abruti fini, mais il était persuadé qu’il y avait de l’espoir pour lui. Peut-être était-il trop naïf. Thomas eu un petit rire et ce qui se passa ensuite ne dura qu’une fraction de seconde, mais reste la dernière image claire que Lowell a de cette soirée - et pour une raison, c’est la seule image dont il rêve (ou plus cauchemarde) régulièrement. Son grand frère qui lui ébouriffe les cheveux, dis quelque chose dont il n’arrive pas à se souvenir, et empoigne le volant, le tournant brutalement, déviant le véhicule et le faisant foncer droit dans un arbre.

Il fallait forcément que quelque chose tourne mal.

Ce dont il se souvient après, c’est de s’être réveillé dans un lit d’hôpital, avec sa mère et sa copine à son chevet, et surtout, la jambe droite en moins. Gros moment de panique pour le blondinet, au point où il s’en est évanoui. Une fois revenu à lui, les nouvelles allaient beaucoup trop vite - son frère était mort dans l’accident, son bras droit était aussi en mauvais état mais il y avait peut-être une chance de le sauver, sans compter toutes les questions qu’on lui posait par rapport aux circonstances de l’accident. Quelques jours après seulement, les médecins n’eurent d’autre choix que le délester de son bras, qui devenait un danger pour sa santé générale.

Les mois qui suivirent furent longs et difficiles. Il lui fallu un certain temps pour retrouver la motivation de vivre, mais son entourage fût d’une aide précieuse pour le remettre sur pied (mais que sur un seul, du coup). Il fallu tout de même presque trois ans pour reprendre une vie à peu près normale, ressortir avec ses amis régulièrement et surtout accepter de se regarder dans un miroir (sans oublier accuser le fait que sa copine se soit barré avec un autre gars alors qu’il était en ré-éducation parce qu’elle n’était pas sûre de supporter d’être avec un handicapé).

Mais malgré tout, la vie continue et, même s’il a pensé à se pendre à un moment ou deux peu après son accident, Lowell est bien décidé à mourir vieux et croulant !






shit's on fire, yo



Pseudo — shiza (ex-hu li ici bruh)
Vous; en cinq mots — panda revenant vert vert VERT
Personnage sur l'avatar — junkrat - overwatch
Comment avez-vous découvert le forum — huehuehue
Présence ( /7) — tous les jours à peu près
Pedobear ou bisounours — pedobear 4ever
changerlelienparvotreimage100x100
https://hoshikami.forumactif.org




Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous



anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) Empty
MessageSujet: Re: anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc)   anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) EmptyLun 26 Sep - 15:12

UESH Re bienv'nue à toi !

Finis nous vite cette fiche qu'on découvre c'que t'nous ramène sur le forum
anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) 2171173273

J'aime l'avatar en tout cas 8D

-On pensait que t'étais mort TT J'suis si heureux d'te revoir !-
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous



anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) Empty
MessageSujet: Re: anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc)   anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) EmptyMar 15 Nov - 17:25

Des nouvelles ?
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) Empty
MessageSujet: Re: anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc)   anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
anybody asked for some trouble ? •• lowie (uc)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hoshikami RPG :: Premiers Pas :: Présentations-
Sauter vers: