— préfère se voir octroyer d'autres prénoms plutôt que le sien, assez complexe, et aussi éviter les jeux de mots sur l'alphabet grec.
— petit garçon né le 30/09/95 à Seattle; son signe astrologique est libra; a donc vingt ans.
— a vécu dans l'État de Washington; parle anglais et espagnol et le français avec maladresse.
— suit un cursus Lettres modernes avec assiduité; passe son temps à lire ou photographier ou errer comme un abruti.
— se déclare pansexuel car il prend ça pour une mode qui donne l'air classe mais est en réalité homosexuel.
— est très friand de bonne cuisine mais surtout des fruits de mer; mange notamment équilibré, sainement et le montre.
— possède une carrure svelte pour 5,9 pieds et 134 livres (182 centimètres et 61 kilogrammes).
— est allergique au latex.
— ressemble à Akaashi Keiji d'Haikyuu!!
FEATURES
D R I Z Z L E
Poésie envahissante en ronces sur tous les corps; sur des corps entassés par des couches superficielles de tissus. Mieux vaut-il couvrir sa honte par des draps blancs ou par le linceul de son prochain tombeau ? La vie en ce corps n'est pas bien vécue alors la mort paraît toujours plus imminente, toujours plus révélatrice. Effectivement, la symbolique du squelette n'est qu'à quelques centimètres. Elle ronge mais la bonne alimentation dévore la chair. Même s'il n'est qu'à un pas de chanceler, on garde l'équilibre, l'optimisme; celui qui se présente sous la lueur des beaux jours: Celle qui assaisonne l'épiderme d'un teint presque halé mais sapide en son intégralité.
La récolte du Soleil ne pourrait fournir qu'une corne d'abondance mais les paysans travaillant sous le labeur de l'astre n'en retire que misère et désespoir dans le regard. C'est un regard noir dans lequel jaillit un oxymore contre leur opposant par sa froide flegme. Imperturbable, presque dantesque. L'éclat de ses pupilles est absent et ne reflétera jamais l'assurance d'une telle étoile. L'émotion ? C'est presque vide, comme s'il manquait quelque chose dans le réceptacle de ses arcanes en amandes dissimulé par de longs cils. On ne sourcille pas; c'est un geste qu'on exprimera jamais tant on soutient cette dureté dans les yeux autant que dans la charogne d'un sourire rarissime. Les commissures se ternissent par la brutalité d'un cristal laborieux; les seuls moments de nitescence ne sont peut-être que liés à du sadisme. Peut-être, oui. Ou peut-être de la timidité. Parchemin indéchiffrable. Même la couleur d'un rosée finement ciselé sur les lippes comme on taille une rose délicate ne peut exprimer un rouge passion inexistant. En tout cas, ce rictus se voit capable de faire trembler la verdure des feuilles printanières à en devenir d'un ocre automnal qui rime directement avec la noirceur funeste d'une chevelure ordonnée.
Trop impeccable, trop propre, trop soigné; trop austère, trop rigoureux, trop sévère; trop noir; trop sec; trop fin. Il s'agit d'une teinte aussi flétrie que la couleur des anciennes photos devenues noires. Les tons bruns jalonnent le long de ces mèches et ce, depuis leur naissance. Aucune raie naissante mais on prétend qu'il y en ait une en dégagent le front en deux parties. Ou alors est-ce pour se cantonner sur ce grand front sans quelconque importance. Ou alors s'attarder ailleurs comme des sourcils qui évoquent cette même poésie ? Avec ces mêmes vers où l'épaisseur fait le paradoxe de cheveux trop fins pour des sourcils trop épais voire broussailleux. Mais la vraie raison est qu'une mèche grossière aurait pu gâcher la vue et titiller un nez légèrement aquilin aux profils et traits finement soyeux, seule pièce précieuse à la vanité de profiter pleinement du Soleil.
Mais toute entité semble grêle alors ? Jambes et bras martelés par la grêle dû à la sédentarité du Soleil ou autres. On aurait pu finir perforé tant la peau est subtile; plus belle que la soie mais plus fragile que le verre mais plus froide que le marbre. Oreilles attentives à chaque son que les pas séraphins font sur cette myriade de textures sans se soucier de quoi ces dernières sont vraiment faites. Le dos, on ne pourrait clairement pas lui marcher dessus tant il est fébrile. Le premier à faillir d'après le témoin que joue cette longue colonne censée tenir pied. Des mains délicates l'auraient confectionné. C'est certain, de toute façon. Des mains héritées dont les ongles sont bien polis qu'il en paraissent vernis et luisants sous la lumière du lustre céleste. Or, des mains capables de peu de choses excepté cette fabrication tant elles tremblent dans le froid dans lequel elles baignent, constamment.
Alors, elles replongent à nouveau au risque de se noyer mais retrouvent la chaleur du tissu soyeux qui les enveloppent. Trop emmitouflées mais pas assez. Le froid demande une exigence courante. Le froid demande une écharpe régulière. Le froid demande un manteau permanent. Le froid demande un style quotidien et propre, pourtant. Un style qu'on s'approprie parce qu'il rend plus beau que ce que l'on est réellement. Style dit néo-hipster, indie pour mieux rentrer dans le moule. Jouer au théâtre comme tout le monde ; chanter comme une mésange bleue les louanges de ce duvet et le requiem du corps et de la finesse conjointement.
Car la beauté et l'originalité ont tendance à moisir en harmonie ce qui fait que chaque corps est pourri pour chacune de ses démarcations. Que ce soit une cicatrice aux creux de la paume ou un piercing au niveau du lobe, le corps est enlaidi par la nature et par ce que son créateur veut en faire. Il veut être une rose mais la rose ne peut se cacher ses épines éternellement. Elle fera toujours partie des ronces, finalement.
Vulgaire chardon sans pétales qui ne pousse au Soleil. Ah, il n'est pas si beau qu'il se nomme, le temps !
DEMEANOUR
R A I N
Introversion iNtuition Thinking Judgement — INTJ
Alors vous vous posiez là. Paysage somptueux pour votre tableau et vos pinceaux. Une chaise et le pupitre de l'artiste dépliés tout ça pour avoir un lac aux allures calmes. Plus calmes qu'hier, plus calmes que demain. Le lac n'avait jamais été aussi bercé par la sonorité de la quiétude. Aucun son. Il était juste question d'un air ambiant taciturne qui assourdit les crépitements du bleu pastel suivi d'une luminosité rendant ce bleu, en quelque chose de plus azur… Le beau temps arrivait. Sans précipitation, à s'assagir sous les arbres tel un soleil couchant, se réservant la timidité, évitant de se brûler à l'exposition. Car, il ne voulait pas être découvert. Il n'avait pas couru jusqu'ici mais redoublait, au contraire, de prudence. Pas reposés sur le sol tel un cygne qui volait sur une lente danse, juste au-dessus du lac. Tournant la tête de droite à gauche, il ne voulait être suivi. Mais il remarqua vite que votre regard le faisait.
Beau temps sur tous les faciès hormis sur celui-ci. Le sourire se couvre ; il n'avait même pas reproduit le votre en le voyant. Juste une rotation de la tête et vous n’étiez plus... rien ? Car, est ce que ça lui importe vraiment de sourire ? Est ce que ça lui importe vraiment de sourire pour les autres ? Est ce que les autres lui importent vraiment ? C'est assez difficile à définir quand seul un drap blanc et épuré d'émotions vous répondait à votre bonne humeur du jour. Même si vous étiez de mauvaise humeur, est ce que ça lui aurait importé ? Vous n'en aviez aucune idée car il resta ici, debout tout de même, sans prêter une vague attention à tout cela. Soit vous n'existiez pas, soit vous n'étiez pas un problème à l'accalmie. Tout cela restait et semblait si abstrait mais à la fois fluide de lire sur un tel visage indescriptible dénué de limpidité. Il vous paraît terrifiant. Il vous paraît acerbe. Il vous paraît méprisant. Mais il vous paraît. Juste ça. Car il ne s'agissait que de spéculations à son sujet. Après tout, vous veniez juste de l'apercevoir. Paraître ne voulait rien dire. Alors le paraître en devint intrigant. Son portrait devint votre sujet de peinture.
Vous regardiez le flot de cette mare qui aurait pu refléter un visage plus pur et naturel. Plus révélateur. Plus créatif. Comme si sa respiration froide aurait pu être un indice sur son mystère. Mais il n'était en aucun cas lisible comme la boule cristal que vous teniez habituellement en votre crâne : Contenu trouble aujourd'hui. Car il ne réagissait pas. Aucune accroche en ce personnage car ce n'est qu'un objet. Inexpressif qui est immobile. Vous auriez bien aimé l'éclabousser de l'eau juste à ses côtés par votre main taquine mais vous saviez que ça n'aurait lavé que sa dignité, pas son insensibilité. Il s'en fichait et possédait un manque cruel de susceptibilité. Avait-il réellement une conscience des choses ou se fichait-il du monde ? Avait-il une conscience au moins ? Bonne conscience ?
Vous pensiez ça évident car sa nonchalance ne peut être que liée à de la prétention. Un regard condescendant se pencha sur les éclats miroitant du bassin. Condescendant envers lui-même ? Non, vous étiez certain qu'il était bel et bien snob après avoir essuyé sans trop d'efforts les critiques précédemment prises comme « bobo » ou « rat de bibliothèque ». C'était sans doute la raison pour laquelle il venait ici. Parce que pour lui, lire en solitaire n'est pas une insulte, peut-être ? Pour vous, si car vous ne le tourniez pas en qualité.
Vous cachiez votre regard pour continuer à narguer sa présomption et le harceler de votre modestie transmisse par flux, votre humanité. Alors, comme vous êtes humain, vous vouliez avoir de la pitié mais cette flegme était abominablement détestable. Regard vide qui vous jugiez sans vergogne, qui jugeait le cristal de cette eau. Car finalement, il était clair qu'il grondait des yeux ces paillettes bercées dans l'eau de ce lac. Elles avaient du potentiel pourtant. Lui-même le savait car son côté rêveur ne vous aviez pas échappé ; des soupirs évoquant une lassitude mais ils ne témoignaient pas forcément le désespoir envers ce beau monde. Peut-être le désir de quelque chose de plus idéal où tout le monde pouvait vivre en harmonie. Le monde est un milieu pour que les bohèmes vivent ; qu'ils se contentent de le décrire comme un paradis lyrique.
Tout est peut-être beau ? La muse en un échantillon. Terre faite d'eau, paysage fait d'eau, cet endroit est indéniablement le bon. Vous le pensiez aussi, tout deux. Lui aussi étant donné qu'il n'était pas parti. Vous n'étiez pas sot. Vous étiez conscient désormais que son esprit étourdi par l'idéalisme et la beauté des choses y était pour quelque chose et que cette pierre jetée dans l'eau prouvait à quel point il n'était pas stupide. Il savait lui aussi. Il savait que vous le regardiez pendant tout ce temps. Sans échanger un regard, il savait qu'on l'épiait car on le regardait toujours, sans doute. Non, peut-être plus car il était perspicace et savait faire preuve de lucidité. Probablement une logique empruntée dans ses propos ; voilà pourquoi il prononçait des mots muets à votre attention. Des mots de ses nombreux livres ou des critiques ?
Alors, oui, il jugeait peut-être silencieusement et il le savait mais ce jugement n'avait-il aucune valeur à vos yeux ? Bien sûr que non car pour vous, les critiques sont formatrices surtout lorsqu'elles demeurent objectives. Elles permettent toujours de s'améliorer d'où ce travail de perfection et l'autre l'avait très bien compris. Perfectionniste qui n'échouait jamais. Le défaitisme, ce fut hors de lui. Il ne se laissait pas pour échoué sur cet île du désespoir. Ce fut un lancer dans ce lagon. Détruire le défaitisme à coup de pierres, qui fracassait la tranquillité des ondes. Sa propre tranquillité. Était il indolent et cela ne lui demandera pas de baisser les bras pour autant si bien qu'il vous jeta, à votre tour, un regard fracassant. Il ne baissait pas les bras, il réussirait son ricochet. Seconde tentative : Échouée. Fronçant ses sourcils à nouveau, il prit le temps de se concentrer et réussit non seulement dans le lancer mais aussi à vous jeter un regard, un vrai, pour la première fois, replaçant correctement sa mèche avec soin et application dans cette disparition fugace.
Un geste prouvant sa détermination ainsi que sa fatigue. Même s'il était prêt à déterminer à n'importe quelle occasion qu'il ne se laissait pas abattre, ses forces abattues cartes sur table se retrouvaient aussi vite ruiner que le château qu'elles voulaient construire avec si peu d'énergie. Alors, le voilà le somptueux château scintillant qui s'écroula contre son support d'origine. Retour aux cendres. Retour à cette vie mourante dont on pensa qu'il n'y avait aucun espoir : Hochement de la tête pour mieux entendre le carillon de l'eau. Index sur le bout des lèvres dans le but d'un questionnement. Ceci prouva qu'il lui restait encore de l'ambition après au-delà des apparences qu'on peut se faire.
À la recherche de ses chimères lorsque ses yeux finirent par se clore une fois bien adossé contre le tronc creux de cet arbre mort. Plus aucun son ne profana ses lèvres. Même plus un soupir. Même plus un souffle. À se demander si ce garçon ne fut pas juste un fantôme...
BACKGROUND
T H U N D E R
Excitavit hic ardor milites per municipia plurima, quae isdem conterminant, dispositos et castella, sed quisque serpentes latius pro viribus repellere moliens, nunc globis confertos, aliquotiens et dispersos multitudine superabatur ingenti, quae nata et educata inter editos recurvosque ambitus montium eos ut loca plana persultat et mollia, missilibus obvios eminus lacessens et ululatu truci perterrens.
Cumque pertinacius ut legum gnarus accusatorem flagitaret atque sollemnia, doctus id Caesar libertatemque superbiam ratus tamquam obtrectatorem audacem excarnificari praecepit, qui ita evisceratus ut cruciatibus membra deessent, inplorans caelo iustitiam, torvum renidens fundato pectore mansit inmobilis nec se incusare nec quemquam alium passus et tandem nec confessus nec confutatus cum abiecto consorte poenali est morte multatus. et ducebatur intrepidus temporum iniquitati insultans, imitatus Zenonem illum veterem Stoicum qui ut mentiretur quaedam laceratus diutius, avulsam sedibus linguam suam cum cruento sputamine in oculos interrogantis Cyprii regis inpegit.
Verum ad istam omnem orationem brevis est defensio. Nam quoad aetas M. Caeli dare potuit isti suspicioni locum, fuit primum ipsius pudore, deinde etiam patris diligentia disciplinaque munita. Qui ut huic virilem togam deditšnihil dicam hoc loco de me; tantum sit, quantum vos existimatis; hoc dicam, hunc a patre continuo ad me esse deductum; nemo hunc M. Caelium in illo aetatis flore vidit nisi aut cum patre aut mecum aut in M. Crassi castissima domo, cum artibus honestissimis erudiretur.
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Beebo vient squatter Hoshikami grâce ou à cause de mon homme android andromède. J'kiffe grave le design sincèrement et ptn vos smileys je décède. Bon allez, pour le kiff, on va pas se priver:
Bon sinon la vie est belle, y a pas de code donc wala, j'suis réglo. Moi en six mots #pasrégloenfait: Aublysodon, guéridon, rhododendron, lyophilisation, céladon, Pokémon.Bon j'gratte l'amitié comme je gratte des Solitaire (hihi beau jeu de mots. lol nn ) mais si ma fiche vous plaît, j'suis pour les câlins car #bisounours. Faîtes péter les commentaires
Jun Amantea
Messages : 60 Date d'inscription : 09/05/2016 Avatar : Mitsuru Kirijo ▬ Persona Disponibilité : full sry ► 3│3 Post-it : The d e v i l is real and she isn't a little red girl with horns and a tail. She can be b e a u t i f u l because she's a fallen angel and she used to be god's f a v o r i t e
Carte d'identité Occupation: Chasseuse de prime ▬ Tueuse à gage Nationalité: Italienne Lié à: Teide Hirapati
Sujet: Re: r e q u i e m (ℇ) m.e.m. // {u.c.} Mer 18 Mai - 2:31
Han comment j'suis fan de ton avatar l'est trop bo Et j'aime le codage de ta fiche. Et ton visu. Et tout quoi.
J'te souhaiterais bien la bienvenue mais j'viens de débarquer alors voilà quoi en plus j'suis pas validée j'sais même pas si j'ai le droit de poster sur les autre fiche lel oups
Oksana Andreïev
Messages : 47 Date d'inscription : 12/05/2016 Age : 28 Avatar : Integra Hellsing - Hellsing Disponibilité : Indisponible [3/2, tout va bien] Post-it :
Sujet: Re: r e q u i e m (ℇ) m.e.m. // {u.c.} Mer 18 Mai - 9:52
MAIS MON DIEU Y A QUE DES FORTS EN CODAGE ET GRAPHISME ICI ! Bienvenue ~ Ton gars, il est trop beau °^° Par contre, "Allergique au latex" ...
Invité
Sujet: Re: r e q u i e m (ℇ) m.e.m. // {u.c.} Mer 18 Mai - 10:05
Jun— Mais la même ! Quand je débarque sur un fo, j'ai tellement peur de partir en vrille sur toutes les sections. Enfin je m'écouterai, je partirai déjà RP. /PAN/ Sinon... Merci et bienvenue à toi aussi ? 8D
Oksana — Merci et re-merci ! Ca me va droit au cœur ♥ Et.... #BISOUNOURS
Katsu — no, ça ne vient absolument pas de moi hihi !, je tiens à éclaircir le sujet car je ne veux pas passer pour un gros plagieur; je suis une grosse merde en codage autant qu'en graphisme ! :c limite je connais rien. Les crédits sont cachés, faut cliquer sur le nom sur le premier slide. La créatrice a décidé de les mettre là... Du coup j'induis en erreur DD: Idem pour l'ava, c'est grâce à Andro ♥♥
Bon sinon mdr, je t'explique mais je te dis surtout merci ♥ ET PTN LE LATEX MDR. J'avais pas capté au début. Bon, je garde, c'est original... hein ? Merci de la remarque 8D
Tout ça signé, le gars qui fait des pavés.
Larken Edelhart
Messages : 106 Date d'inscription : 27/04/2016 Age : 30 Avatar : Konoha (Haruka Kokonose), Kagerou Project Disponibilité : Disponible, mais long pour RP x)
Carte d'identité Occupation: Policier Nationalité: Lié à: Lila Black
Sujet: Re: r e q u i e m (ℇ) m.e.m. // {u.c.} Mer 18 Mai - 10:56
Bienvenue à toi ! Encore quelqu'un qui va être validé avant moi ! xD
Invité
Sujet: Re: r e q u i e m (ℇ) m.e.m. // {u.c.} Mer 18 Mai - 11:23
Hihi merci ! Enfin jsp si j'aurais fini même si j'ai le temps en ce moment, une météorite peut atterrir sur ma maison et dans ce cas, je n'aurais pas fini...