Inspirez. Relaxez-vous. Le sentez-vous aussi ? Cette odeur délicate, persistante et pollinique qui vous indique très clairement la nature des lieux. Vous cherchez à vous faire pardonner par votre conjoint ? Vous souhaitez déclarer votre flamme à l'élu de votre cœur ? Vous pensez simplement que votre chez-vous manque un peu de végétation ? N'ayez crainte, vous avez frappé à la bonne porte !Vous apercevez une charmante échoppe florale de 20m² qui attire votre regard grâce à la devanture agréablement colorée. Cette dernière est ornée d'un store de couleur chaude, d'un large tapis vous souhaitant la bienvenue et d'un tableau noir où est écrit à la craie quelques slogans accrocheurs. "Offrez-lui une fleur, un sourire éclorera.", y a-t-il inscrit aujourd'hui. La boutique présente plusieurs étalages garnies de bouquets chantant l'amour ou exprimant vos condoléances, de jolies compositions des fleuristes employés ou encore, de plantes synthétiques plus vraies que nature. Parmi toutes ces fleurs, il existe également un comptoir où on n'y reste jamais bien longtemps, trop occupés à embellir l'endroit pour vous donner envie d'y rester. À l'arrière, il y a aussi une porte discrète — réservée au personnel — qui se fond dans le décor et qui mène à une petite salle de détente, où du thé et des biscuits les attendent. Nous sommes ouverts de 8h30 à 19h, du lundi au vendredi, sauf en de rares occasions. (Nous fermons à l'aide de grilles métalliques coulissantes.)

Vu de l'extérieur, on peut voir par les vitrines l'intérieur de l'herboristerie qui est un peu comme une pharmacie, des produits sont exposés un peu partout, (il y a également une pièce au fond de cette herboristerie que l'on pourrait considérer comme un labo', sauf que c'est collé à une réserve de plantes cultivées par la miss) ainsi que quelques fleurs pour faire joli'w quoi C:Tsubaki habite dans un appart (avec une cuisine, un salon, sa chambre, une salle de bain, tout le tralala essentielle quoi uwu ) juste en-dessus (pour pratiquer son métier o/ ).

L'horlogerie Louvois est plus longue que large et vous accueille dans un décor aux teintes bleues, violettes et rouges. La devanture semble étroite, avec une grande vitre et une porte qui grince un peu. Très vite, on tombe sur les étagères, tables sous verre, et divers petits meubles où sont exposés quelques petits bijoux qui tic et tac. Les murs sont remplis d'horloges de tout genre, et la boutique vogue au rythme d'une musique de relaxation. Puis il y a ce comptoir, composé d'un aquarium assez large où de gros poissons se dandinent, et au-delà de celui-ci, la zone où personne n'entre. Le no man's land de l'horlogerie, à savoir la partie atelier. Tables, rangements, lumières, loupes, des montures à réparer, des choses fraîchement finies. Un beau bordel organisé, en fait, dans un style assez lumineux, et dans une ambiance aussi douce que fermée.

Vu d'extérieur, cette boutique n'a rien d'attrayant : vieille façade en bois noircie et enseigne illisible. Pourtant, quand on s'approche des vitrines on peut y trouver mille bibelots et rubans qui ne demandent qu'à embellir un vêtement. L'intérieur quand à lui est aussi organisé que désorganisé : c'est un puits sans fond dans lequel Alice se serait volontiers jetée. Au fond de la boutique se trouve un comptoir en bois laqué ainsi qu'un escalier menant à l'étage supérieur. Là-haut, il n'y a pas grand chose à voir, c'est un deux pièces constitué d'une kitchenette, d'un clic-clac et de tout le nécessaire à vivre.

Propriété d'Avalon Caldwell
Échoppe de taille moyenne, de style ancien aux boiseries un peu vieillottes. La partie magasin comprend une grande pièce avec le comptoir et les rayonnages et une petite pièce de repos qui donne sur un tout petit bout de terrasse/jardin par une grande porte fenêtre. A l'étage il y a une pièce à vivre qui comporte la cuisine et un petit salon, une chambre et la salle de bain/cabinet de toilette.

Le Saule Lecteur et l'appartement situé juste au dessus sont une belle illustration de leur propriétaire et de ses goûts. Une sorte de cocon douillet créé par son propriétaire, un lieu unique, en plein centre ville, dans lequel il se sent bien et qu’il ouvre aux passants pour qu’eux aussi puisse prendre un instant de tranquillité et de détente dans leur journée.

Le passant intrigué qui remarquerait le Saule Lecteur, verrait d’abord sa petite terrasse. Quelques tables et chaise disposé vaguement en ordre devant la vitrine du café. Poussant la porte du Saule, il sentirait en premier le mélange agréable de l’arome de café fraichement moulu mêlé à l’odeur caractéristique produit par les livres. S’il a un bon odorat, il remarquera peut être aussi les traces légère de la cigarette. Pêché coupable du propriétaire des lieux.

Sur sa droite, directement après la porte, le passant trouvera un long comptoir, accompagné de ses tabourets hauts, derrière lequel il pourra voir le propriétaire, surement accaparé par la lecture d’un livre, ou un des mi-temps employé par le Saule. S’il interroge la personne derrière le comptoir, on lui proposera un assortiment de cafés et de pâtisseries en tout genre, on lui indiquera les tabourets du bar ou le canapé et les fauteuils justes derrière pour s’installer confortablement. S’il souhaite lire et qu’il n’a pas apporté de livre avec lui, il lui sera indiqué les petites bibliothèques réparties autour des fauteuils, ou la table basse – bibliothèque au milieu de ces derniers ou encore, pour plus de choix, les rayonnages au fond du Saule. S’il se dirige vers le fond du Saule, il se retrouvera dans une partie un peu plus sombre, entouré de hautes bibliothèques remplit, peut être un peu trop, de livre en tout genre, au classement parfois douteux. Et au niveau du mur du fond, deux portes, l’une marqué « Réserve » et fermé à clef et une autres portant le sigle bien connu de « WC ».

Si en revenant vers les fauteuils il note le piano posé contre le mur de la pièce et interroge en ce sens, on lui répondra qu’il peut en jouer s’il le souhaite tant qu’il ne casse pas trop les oreilles des autres clients. Enfin une fois son temps passé au Saule fini, on lui proposera d’acheter le livre qu’il avait choisi si ce dernier lui a plu afin qu’il puisse le finir chez lui. On lui proposera aussi de revenir plus tard, dans la soirée, s’il souhaite proposer de l’aspect bar du lieu. Avec vente de bières et autres alcools, et une ambiance un peu plus festive bien qu’assez calme tout de même.

Il y deux zones encore que le passant intrigué ne peut pas aller examiner de ses yeux curieux, la Réserve, une zone à peu près rangé, comprenant d’un côté des cartons contenant les réserves de café ou d’alcool et autres élément propre à un café. Et de l’autre côté, contre le mur et débordant sur les marches de escalier menant à l’étages des cartons remplit de livres, sur lesquels sont posé d’autres livres encore, posé en pile à l’équilibre précaire.

Enfin, montant cet escalier encombré on trouvé l’appartement du propriétaire du lieu. Sorte de réserve bis, l’appartement est rempli à craquer de livre en tout genre. L’appartement, fait de deux chambres, d’une grande pièce à vivre, d’une salle de bain fonctionnelle et d’une petite cuisine donnant sur la pièce à vivre, a beaucoup d’espace que le propriétaire des lieux a su exploiter à son maximum en le remplissant de livre et de bibliothèques. Quelques autres meubles, commodes, tables, chaises, futon, etc. se retrouve aussi dans l’appartement, souvent couvert de livres eux aussi. De ci de là, à des endroits stratégique sur quelques piles de livres, on trouve des cendriers à moitié plein.

Lorsqu'on entre, on tombe d'abord sur la boutique. Aérée, de nombreuses œuvres sont présentées sur des étagères, allant du vase au petit dragon de verre. L'endroit est chaud, aussi la porte est souvent ouverte. Si on avance un peu plus on peut observer le four et l'atelier où Octans travaille, ouvert au public. Vous pourrez l'admirer parfois en pleine action.